Depuis la mi-décembre, la hausse fulgurante des tests positifs a été portée par le #Omicron. 2/11
La part de #Omicron dans les entrées
hospitalisation conventionnelle est à ce jour nettement plus faible. 3/11
La part de #Omicron dans les entrées
entrées en soins critiques est encore plus faible. 4/11
Cela s’explique par une différence de temporalité (décalage d'environ 7 jours par rapport aux infections) mais aussi par une augmentation plus mesurée de la proportion des patients touchés par #Omicron dans les hospitalisations que dans les tests positifs. 5/11
A l’aune de la fréquence de tests positifs dans les populations respectives, #Omicron
circule davantage parmi les personnes vaccinées que non-vaccinées ; c’est l’inverse pour #Delta. 6/11
Parmi les patients infectés ou hospitalisés, la part touchée par le variant Omicron est plus
élevée chez les plus jeunes et chez les personnes vaccinées. 7/11
Pour les personnes testées positives de moins de 80 ans, la proba d’être hospitalisée est moins forte si affectées par #Omicron que par #Delta. C’est surtout le risque d’aller en soins critiques qui est particulièrement réduit avec #Omicron pour tous les statuts vaccinaux. 8/11
Le vaccin, et plus particulièrement la dose de rappel, sont efficaces pour lutter contre les
hospitalisations après infection par #Omicron, même si l’efficacité est réduite par rapport à #Delta. 9/11
En revanche, l’efficacité contre l’infection diminue nettement pour le variant #Omicron par rapport au variant #Delta, même si le rappel aide nettement. 10/11
Pour finir, variants confondus : du 6/12/2021 au 6/1/2022, les non vaccinés représentent 9 % de la population de + de 20 ans mais : 19 % des tests PCR+ symptomatiques, 44 % des admissions à l'hôpital, 58 % des entrées en soins critiques, 44 % des décès. 11/11
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