En faisant de la veille sur l’#InfluenceMarketing, je me rends compte que les communicants sont parfois les plus mal chaussés question déontologie😑… Exemple du site "influenceurs.fr" 1/10 influenceurs.fr
C’est pas inintéressant, mais ça sent quand même très fort le #NativeAdvertising qui ne dit pas son nom… Et ce n’est indiqué nulle part : pas de page annonceur, même pas de page mentions légales ➡️ rien 3/10
Bon je dois avouer que ce n’est pas trop compliqué de sentir la combine, car il y a Marc 4/10 influenceurs.fr/author/marc/
Quitte, à ne pas indiquer son nom, Marc, pense à le faire aussi pour le nom de ta photo 5/10
Après, Marc (de Zordo, donc) est bien connu dans le landerneau de la com'/marketing, car Marc est le patron de Getfluence 6/10 usine-digitale.fr/article/getflu…
Et Getfluence est précisément spécialisé dans le native advertising, avec une idée intéressante : créer une marketplace entre les médias et les annonceurs ➡️ choix des médias qui correspondent à l’image de marque + tarification claire = bonne idée 7/10 getfluence.com
Mais, on en revient toujours au même point : le native advertising, sans identification claire que le contenu est sponsorisé va :
8/10
1.Nuire à la marque, car les lecteurs qui comprendront n’aiment pas être pris pour des jambons
2.Nuire au site/média, car au fur et à mesure il se démonétise : les lecteurs ne lui font plus confiance
9/10
Bref à la fin, tout le monde est perdant. Et mettre en ligne des sites "maisons" sans aucune identification (même pas de mentions légales, de RGPD !) ne va pas arranger les choses 10/10
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Je me rends compte que l’usage d’un whois n’est pas encore une évidence pour tous dans les services marketing/com’/RP/DG : certains n’y ont jamais été formés, d’autres n’ont aucune appétence pour la "technique" et ceux qui n’en voit pas l’intérêt/délègue 1/12
Pourtant ça peut éviter de perdre beaucoup de temps/énergie/argent. Ça arrive (malheureusement) encore que des campagnes de com’ ou nouvelles marques se montent, sans avoir vérifié si le nom de domaine correspondant est libre (et si non à quel prix) 2/12 lefigaro.fr/societes/2016/…
Il faut soit refaire le naming de toute la campagne/marque, soit racheter le nom de domaine éponyme (et ça peut coûter $$$, surtout si le vendeur se rend compte des moyens financiers de l’entreprise qui veut racheter) 3/12 developpez.com/actu/314585/Il…
Le who’s who du native advertising en France via @lorisguemart (article @arretsurimages en libre accès), mais ça ne s’arrête pas là : il y a pléthore de vrais-faux médias ➡️ Getfluence est cité, mais ce n’est pas la seule agence à le faire, loin de là 1/13 arretsurimages.net/articles/vos-m…
Exemple dans le domaine de la #RSE avec le bien nommé "RSE Magazine" qui publie des "articles" sur l’engagement social et environnemental d’entreprises, et ne mentionne plus depuis des années si les articles sont "sponsorisés" ou non 2/13 rse-magazine.com/RSE_r32.html
On a en réalité affaire à une vaste opération de #greenwashing et de #socialwashing : un onglet "annonceurs" est bien planqué tout en bas de page (ce qu'un lecteur lambda ne verra jamais) et renvoie vers un dossier sur le site de VA Press (voir🔽) 3/13 vapress.fr/Services-aux-a…