«Kharkiv a bien changé en 9 jours de guerre. Il semble qu’en une semaine, les barbares russes aient causé plus de dommages que les Allemands en deux ans d'occupation», témoigne le journaliste et militant Volodymyr Tchistiline (#Kharkiv a été occupée par les nazis de 1941 à 1943) 
« A partir de 18h, avec le couvre-feu, on plonge dans les ténèbres. Les gens essaient de ne pas allumer inutilement les lumières à cause de la menace des bombardements » #Kharkiv #Ukraine
« Outre les bombardements continus, les Russes tentent de semer la panique en annonçant de grandes frappes à venir, et une soi-disant capitulation. Mais personne ne pense à capituler, même ceux qui doivent quitter temporairement leurs proches », affirme cet habitant de #Kharkiv
« Aujourd'hui, dire "bonne nuit" à Kharkiv a une signification différente - les bombardements peuvent frapper la nuit. Alors croyons en notre armée, soutenons-nous, et prions pour l'Ukraine !», lance Volodymyr, qui vit dans cette grande ville russophone
(Photos V. Tchistiline)
(Photos V. Tchistiline)
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