La courbe des primo-injections continue de diminuer : 1 900 par jour en moyenne.
Il reste un peu plus de 3 millions de non-vaccinés âgés d'au moins 18 ans en France.
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Les raisons de cette faible appétence pour #Novavax sont multiples : difficulté à trouver un centre dans certains départements, épidémie qui a fortement chuté en février, etc.
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En Guyane par exemple, "sur 600 personnes qui s’étaient inscrites, nous avons enregistré environ 500 désistements".
La raison ? "Il n’y a plus de passe sanitaire, et ils disent avoir l’impression que l’épidémie est finie et que se faire vacciner n’est plus nécessaire".
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Certains non vaccinés se disent aussi rebutés d'avoir découvert qu'avec #Novavax, il faudra (d'après les règles fixées à ce jour) recevoir une dose de rappel... Pfizer ou Moderna.
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Le ministère de la Santé indique que 130 centres de vaccination proposent du #Novavax et assure qu'il existe une "demande".
Explications et témoignages dans notre article. 👇 via @le_Parisien
Par ailleurs, le sous-lignage BA.2 du variant #Omicron est désormais largement majoritaire en France (57% des cas séquencés dans l'enquête Flash du 28 février).
• 101 747 cas positifs ont été recensés en 24 heures, contre 74 818 jeudi dernier.
• La moyenne sur la semaine écoulée est proche de 80 000 cas par jour (+35% en semaine). #Covid
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Le même graphique, mais avec une échelle logarithmique. 👇
Si le taux de croissance ou de décroissance sur une semaine est constant, la courbe est droite.
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Si l'on fait arbitrairement + 11 000 hier et - 11 000 ce soir (incident technique puis rattrapage), voici ce que donne l'évolution du nombre de cas en 24h par rapport à celle à J-7.
Le chiffre est fou : plus d'1% de la population en Corée du Sud a été testée positive au #Covid hier.
En France, le maximum atteint a été près de 0,8% des habitants testés positifs en 24h, le 25 janvier.
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La Corée du Sud n'a connu qu'une seule véritable vague de #Covid, mais pas n'importe laquelle : elle est déjà plus forte que celle de janvier en France et atteint le niveau de celle au Danemark.
Les autorités reconnaissent qu'elles ne s'attendaient pas à une telle ampleur.
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Le mois dernier, face à #Omicron, les autorités ont mis fin au dépistage de masse et au contact tracing très intensif. Les tests PCR sont réservés en priorité aux plus de 60 ans, les pus fragiles.
Cette étude, menée jusqu'en novembre dernier, le confirme d'abord : les personnes âgées sont beaucoup plus à risque de forme grave que les jeunes.
Les plus de 60 ans représentent 72 % des patients hospitalisés mais seulement 27 % de la population.
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Le niveau de vie joue aussi beaucoup.
Chez les 35-49 ans, le taux d’hospitalisation des 20 % les moins aisés est 1,6 fois plus élevé que celui moyen. Ce ratio est de 1,5 chez les 50-74 ans et de 1,2 chez les plus de 75 ans.