Le réseau #SafeBoxNetwork part d’une intention : faire en sorte que les informations d’un journaliste ne disparaissent pas avec lui s’il est enlevé, emprisonné, ou assassiné.
Depuis le début d’année, huit journalistes ont été tués rien qu’au Mexique. (2/12)
Dans un premier temps, les journalistes menacés peuvent mettre à l'abri leurs informations sensibles, en les partageant avec notre réseau mondial de journalistes. Nous les conservons de manière sécurisée sans travailler dessus. (3/12)
Si l’un de ces journalistes est empêché de faire son travail (enlèvement, prison, meurtre), nous pourrons poursuivre ses enquêtes avec nos médias partenaires et les publier dans le monde entier. (4/12)
Protéger, en plus de poursuivre et de publier.
Le réseau #SafeBoxNetwork complète la mission poursuivie par Forbidden Stories depuis ses débuts. Il vise à agir avant que les menaces reçues par les journalistes ne se traduisent par des crimes. (5/12)
En s’appuyant sur notre réseau international, le #SafeBoxNetwork a un objectif clair : dissuader les ennemis de la presse de s’en prendre aux journalistes, car ce qu’ils chercheraient à cacher serait exposé dans le monde entier.
Tuer le messager ne tuera pas le message. (6/12)
En faisant savoir publiquement qu’ils ont partagé leurs enquêtes en cours avec le réseau de Forbidden Stories, les journalistes peuvent dissuader ceux qui les menacent de s’en prendre à eux.
C’est ce qu’a fait le journaliste paraguayen @GuachireM dans un tweet en mars. (7/12)
Le réseau est déjà une réalité.
Il y a quelques semaines, Forbidden Stories a réuni une douzaine de journalistes menacés provenant de toute l’Amérique latine lors d’un atelier au Brésil. Ils ont commencé à protéger leurs informations auprès du réseau #SafeBoxNetwork. (8/12)
« [Avec le #SafeBoxNetwork] nous pouvons faire savoir à ceux qui sont en face que même s'il arrive quelque chose à l'un d'entre nous, l'enquête sera publiée. Je pense que cela protège à la fois notre travail et notre vie. » (Óscar Parra / Colombie) (9/12)
« Pour moi, le réseau #SafeBoxNetwork représente un espoir. Les ennemis de la presse réfléchiront à 2 fois avant de commettre de tels crimes. Ça n'en restera pas là s'ils s'en prennent à moi. Même s'ils me tuent, ils ne me feront pas taire. » (Jonathan Cuevas / Mexique) (10/12)
Le #SafeBoxNetwork est ouvert à tous les journalistes menacés à cause de leurs publications.
Aujourd’hui, nous publions un tutoriel pour les guider pas à pas. Retrouvez également l’annuaire des premiers journalistes du réseau ainsi qu'une FAQ. (11/12)
Vous n’êtes pas un journaliste menacé, mais aimeriez nous aider ?
Faites connaître le réseau #SafeBoxNetwork autour de vous ! Plus il est connu, plus il est dissuasif. Vous pouvez également faire un don pour soutenir notre mission. (12/12)
La red #SafeBoxNetwork se fundó bajo una simple premisa: garantizar que la información sensible de un periodista no desaparezca con él si es secuestrado, encarcelado o asesinado.
Desde principios de año, ocho periodistas han sido asesinados sólo en México. (2/12)
En primer lugar, los periodistas amenazados pueden mantener su información sensible a salvo compartiéndola con nuestra red mundial de periodistas. Nosotros protegemos la información. (3/12)
For the past several months, we have been working with threatened journalists around the world on a new way to defeat impunity for crimes against the press.
The #SafeBoxNetwork was founded on one simple premise: to ensure that a journalist's sensitive information does not disappear with them if they are kidnapped, imprisoned or murdered.
Since the beginning of the year, eight journalists have been killed in Mexico alone. (2/12)
First, threatened journalists can keep their sensitive information safe by sharing it with our global network of journalists. We store it securely without working on it. (3/12)
🇲🇽 María Teresa Montaño Delgado, founder of @TheObserverMex.
Her investigations on cases of corruption and embezzlement by the state’s administration have earned her many threats. She shares her information with the #SafeBoxNetwork.
You might be wondering how the #PegasusProject came together: more than 80 journalists from 17 medias in 10 countries working on one global surveillance story.
A #thread on the "making-of" of the leak heard around the world. 1/11
It all started with more than 50,000 records of phone numbers, accessed by @FbdnStories and @AmnestyTech.
The goal? Put faces, and stories, behind the numbers. 2/11
Through open-source research, colleague's phone books and the technical know-how of @AmnestyTech, we began to put together the outline of the stories that were released this week. 3/11
Dans la foulée des révélations du #PegasusProject, le monde est sous le choc.
🇮🇳 L'Inde fait face à son propre Watergate. Les manifestations se multiplient contre le gouvernement, accusé d'utiliser Pegasus pour surveiller journalistes et opposants. (1/6) lemonde.fr/international/…
#PegasusProject 🇫🇷 Emmanuel Macron a convoqué ce matin un conseil de défense "exceptionnel, dédié à l'affaire Pegasus et à la question de la cybersécurité."
Le Président "suit au plus près ce dossier" qu'il prend "très au sérieux" @GabrielAttal. (2/6)
#PegasusProject 🇫🇷 Une délégation parlementaire au renseignement s'apprête à ouvrir un enquête sur l'affaire, selon le président du Sénat Gérard Larcher. (3/6)
The #PegasusProject has sparked an enormous reaction around the world.
🇮🇳 India is facing its own Watergate. Protests are growing against the government, which is accused of using spyware to monitor journalists and political opponents. (1/6)
#PegasusProject 🇫🇷 French President Emmanuel Macron summoned an "emergency defense council on Pegasus" this morning.