Nous en sommes à +1,1°C de réchauffement (entre 1850-1900 et 2011-2020), dû aux activités humaines.
Notre meilleure estimation est que l'intégralité du réchauffement planétaire est la conséquence des activités humaines et tout particulièrement de l'utilisation de pétrole, gaz, charbon.
Chaque incrément de réchauffement supplémentaire va continuer à augmenter la fréquence et l'intensité des extrêmes chauds.
Chaque incrément de réchauffement supplémentaire va continuer à augmenter les changements moyens de température chaque région, davantage au-dessus des continents.
Chaque incrément de réchauffement supplémentaire va continuer à augmenter la fréquence et l'intensité des extrêmes chauds au-dessus des terres émergées, mais aussi des vagues de chaleur marines.
Les extrêmes chauds peuvent être amplifiés dans les villes en particulier la nuit (effet d'îlot de chaleur) mais limités par l'évaporation (plans d'eau, végétation si les sols sont humides).
Le stress thermique et hydrique est identifié comme l'un des risques majeurs liés au changement climatique en Europe (confort thermique et santé, dégradation des écosystèmes terrestres et marins, pertes agricoles).
Limiter les risques liés au changement climatique demande d'agir à la fois sur les causes (émissions de gaz à effet de serre, sortir le + vite des énergies fossiles) et agir sur les conséquences (adaptation structurelle tenant compte de l'évolution à venir des extrêmes chauds).
Nous allons atteindre un niveau de réchauffement d'1,5°C dans les prochains 20 ans et il important d'anticiper ses conséquences. Chaque incrément de réchauffement évité compte et cela demande de réduire massivement les rejets de gaz à effet de serre, le + vite possible.
C'est important de comprendre les causes (rejets de gaz à effet de serre), les conséquences (niveau de réchauffement global et implications locales y compris pour les extrêmes), les risques et les leviers d'action #literacieclimatique
Il existe des options d'atténuation et d'adaptation faisables, efficaces, et qui présentent de multiples bénéfices vis-à-vis des multiples facettes d'un développement soutenable.
Il est important de comprendre les risques associés à une maladaptation ou aux options permettant de réduire les émissions de gaz à effet de serre mais présentant des effets indésirables (sociaux, vis-à-vis des écosystèmes ou de la sécurité alimentaire, par ex) #transitionjuste
Est-ce que cette génération d'élèves, qui vont passer le bac cette année, l'a étudié en cours?
Les programmes d'enseignement sont-ils à la hauteur des enjeux climat, biodiversité, soutenabilité?
Pourquoi ces enjeux ne font-ils pas partie de la feuille de route @NatEduc?
Orages intenses, averses de grêle et réchauffement planétaire, quel est l’état des connaissances pour 🇫🇷🇪🇺🗺️ ?
Voici ma tentative de résumé, merci aux spécialistes de compléter!
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La grêle se forme dans les systèmes orageux caractérisés par des mouvements ascendants intenses qui emportent en altitude un contenu important d'eau en surfusion qui condense sur des noyaux de glace...
Lors de leur chute, les grêlons sont affectés par la sublimation, fonte et évaporation. La diversité de la grosseur des grêlons que l’on retrouve au sol (averses de grêle) dépend de ces processus et de l’altitude correspondant au niveau de fonte.
Global greenhouse gas emissions from the transport sector 🚗🚛🚂✈️🚢 have increased by around 2% per year between 2010 and 2019, and account for around 15% of global greenhouse gas emissions resulting from human activities.
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Shifts to bikes and e-bikes is a modest, yet cheap, option to reduce greenhouse gas emissions #mitigation
En toute transparence, voici ci-dessous les points clés des 3 volumes des rapports du GIEC de 2021-2022 que j'ai été invitée à présenter hier au Président de la République, avec @wolfgangcramer et @CelineGuivarch.
J'ai rappelé l'ampleur du travail d'évaluation de l'état des connaissances, mobilisant 781 auteurs principaux, des milliers de contributeurs et relecteurs, l'examen de 66 000 publications scientifiques, la prise en compte de 200 000 commentaires de relecture...
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Et le fait que ces rapports du GIEC constituent un socle scientifique commun, reconnu par tous les pays.
Le rapport de synthèse est en cours de préparation pour cet automne.
Bonjour !
Voici, pour les francophones, un long fil qui présente les points clés que j’ai retenus du rapport du groupe III du GIEC d’avril 2022 sur l’état des connaissances scientifiques vis-à-vis de l’atténuation du changement climatique...
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c’est-à-dire les interventions humaines pour réduire les émissions ou renforcer les puits de gaz à effet de serre.
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Cette évaluation a été préparée par 278 scientifiques de 65 pays qui ont examiné les éléments factuels de + de 18 000 articles scientifiques et pris en compte des milliers commentaires au cours des étapes successives de relecture
Je suis intervenue la semaine dernière et cette semaine dans deux lycées, à Nancy et Saint-Denis, pour échanger avec les élèves et les éco-délégué(e)s autour des sciences du climat, du changement climatique, des relations sciences-société, de l'action pour le climat
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Je suis impressionnée par la profondeur de la réflexion de ces lycéennes et lycéens, par leur gravité, par leur capacité à prendre la parole en public pour présenter leurs projets, la lucidité avec laquelle ils analysent leurs actions, les réussites et les limites.
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Comment faire en sorte que cette parole des lycéennes et des lycéens soit davantage entendue? Mieux écouter leurs mots et leurs maux? Leur préoccupation par rapport à la justice climatique?
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Au fait, qu'appelle-t-on l'#atténuation du changement climatique? Il s'agit d'interventions humaines visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre ou à en renforcer les puits.
Nouveau terme, "avoid, shift, improve" : éviter, transférer, améliorer
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