"Je me sens comme un fantôme qui ne ressent plus rien. Il y avait peut-être d'autres solutions que les médicaments."
Pour mettre fin à ses souffrances psychiques, Shanti De Corte a choisi l'#euthanasie. Morte à 23 ans. Paix à son âme. #sadworld
Mais un passage de cet article pose question : une thérapeute aurait proposé une thérapie mais la psychiatre de Shanti De Corte a préféré décliner l'offre. Pour rappel, l'#euthanasie est proposée quand tout a été essayé médicalement. Lire cet extrait : rtbf.be/article/shanti…
Des psys , sensés soigner la souffrance psychique, trouvent normal de proposer l'#euthanasie comme solution médicale finale aux patients les +souffrants qu'ils n'encouragent plus à vivre, les abandonnant à la mort tout en les convainquant qu'il n'y a plus d'issue possible.
Pourtant, d'autres soignants auraient essayer de l'aider à continuer à vivre. Sauvant des patients très désespérés pensant à l'#euthanasie contre leur souffrance psychique, les aidant à retrouver l'espoir en la vie. Et ils en sont guéris. Shanti De Corte n'a pas eu cette chance.
Pourrait-il y avoir des dérives dans la procédure d'examen de demande d'#euthanasie ?
Suite à la demande d'enquête sur le cas Shanti De Corte ,la #justice a clos l'affaire judiciaire car : l' intervention médicale mortelle à la demande d'un patient incurable n'est pas un crime.
Bcp s'interrogent sur des risques de dérives (influences malsaines d'autrui sur personne vulnérable,...) dans l'#euthanasie.
Attaqués par "trolls" dont seul argument-type "euthanasie vaut mieux que suicide car cadre contrôlé ", occultant dérives(=croyance irrationnelle pour eux)
Beaucoup de soignants n'acceptent pas l'#euthanasie comme solution médicale ultime. Cela pose le problème de la défaillance d'un système de santé dont le but des "soins" est d'apaiser des patients en grande souffrance psychique en les gardant en vie.
S'il y avait eu réadaptation de soins(autre psychothérapie, moins de médoc,...) par autre équipe médical, comme proposée à Ostende et si sa psychiatre/d'autres psys l'y avait encouragée plutôt que d'accepter sa demande d'euthanasie, Shanti De Corte serait peut-être encore en vie.
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C'est officiel. Elon Musk est maintenant patron et propriétaire du réseau social "Twitter" qu'il a acquis pour 44 milliards de dollars. Confirmé par lui-même : "L'oiseau est libéré" a-t-il tweeté ce vendredi le 28 octobre 2022.
Le fait qu'Elon Musk est, à présent, propriétaire de "Twitter" est également confirmé par la presse, suite à son tweet : "The bird is free." francetvinfo.fr/internet/resea…
Au sujet de la naissance de "Twitter", il serait intéressant d'en savoir plus sur la création de ce réseau social. francetvinfo.fr/internet/resea…
Si un individu fait une demande mûrement réfléchi (et sans être influencé par quiconque) d'euthanasie en raison d'une maladie incurable physique ou psychique, je ne suis pas contre et je respecte son choix.
J'espère juste qu' en Europe, la Commission d'experts ferra bien son travail de manière à s'assurer que l'individu, qui fait la demande d'euthanasie, ne subit pas d'emprise psychologique le forçant à prendre cette décision mortelle.
En Europe, les demandes d'euthanasie sont bien encadrées par les Commissions d'experts pour éviter des dérives. Mais je vois qu'au Canada, les contrôles ne sont pas aussi stricts... alliancevita.org/2022/10/cas-li…
1. L'article de Cécile Morin, membre du CLHEE (Collectif Lutte et Handicaps pour l'Égalité et l'Émancipation), du 11/3/2022 dans Médiapart, alerte sur les pénibles conditions de #travail des personnes en situation de lourd #handicap dans les #ESAT. blogs.mediapart.fr/morin-cecile/b…
2. Cécile Morin y parle de l'enquête (durant 6 ans) du journaliste Thibault Petit sur les #ESAT. Il a écrit un livre à ce sujet titré "Handicap à vendre". #handicap#travail babelio.com/livres/Petit-H…
3. Dans son livre "Handicap à vendre", couverture avec la citation "Resteriez-vous sept heures à trier des vis ? eux, oui ! " d'un directeur d'#ESAT , Thibault Petit y dénonce des mauvais traitements subis par les handicapé(e)s dans leur #travail. blogs.mediapart.fr/morin-cecile/b…
1. Durant ces 2 ans et demi de crise sanitaire mondiale, les médias ont rarement parlé de la manière dont se faisait le "tri des patients" malades du Covid aux urgences des hôpitaux. Cela semble être un sujet "tabou".
2. On espère tous que, lors de la prise en charge, selon le serment d'Hippocrate prêté par tous les médecins, ils soigneraient bien tous les malades de manière équitable. Et si un choix cornélien doit se faire, quelles vies leur sembleraient plus valables d'être sauver ?
3. Sur le tard, les infos finissent par se diffuser "à bruit", n'apparaissant pas en couverture des journaux, tant ce sujet de "tri des patients" suppose que les médecins décident de ne pas sauver certains patients. Douloureux pour des soignants idéalistes, moins pour d'autres...
1. Il y a certaines vérités, celles s'éloignant du "communément admis" ou du "politiquement correct", qui sont réduits à néant par les agissements de trolls de la bienséance "no fake", ceux-ci ridiculisant d'honnêtes auteur(e)s les faisant passer pour ""irrationnel(le)s".
2. Au sujet des agissements des trolls de la bienséance "no fake", càd #nofakemed , cela s'est vu particulièrement au cours des deux ans de cette pandémie COVID, maintenant tous reconvertis dans la lutte contre les "poutinolâtres".
3. C'est une tendance "binaire" dans le jugement : ceux qui suivent sans se poser de questions les directives gouvernementales occidentales, et ceux qui s'y opposent... nommés "complotistes" par ces trolls de bienséance #nofakemed ou "no fake" incapables d'y voir des nuances.