Bon nombre d'automobilistes se ruent sur les cartes censées montrer les stations ayant -ou pas- du #carburant, avec les prix. Mais les informations sont parfois incomplètes, voire pas du tout à jour.
On commence par les cartes "participatives". Elles viennent parfois à la base des données du gouvernement (cf la suite), et misent surtout beaucoup sur les signalement des automobilistes utilisateurs.
mon-essence.fr (capture ci-dessous), applications diverses, etc.
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Sur l'application Gasoil Now, par exemple, "à chaque fois qu’il y a un premier signalement pour une station, cela apparaît, et on affiche aussi le nombre de confirmations par d’autres utilisateurs et la date de la confirmation la plus récente", dit son fondateur.
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Ces cartes misent donc beaucoup sur la participation.
Elles ne peuvent pas prétendre être totalement exhaustives, ni à jour en temps réel : "On ne peut pas promettre que les données sont fiables à 100 % et personne ne le pourrait, ce serait du rêve !"
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Chaque gérant de station-service est censé (et même obligé par la loi de) remplir les informations sur "une interface spécialisée et sécurisée ou sur un serveur vocal".
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Mais la principale limite de cette carte est que les données sont souvent… loin d’être à jour.
Au Carrefour Contact de Gracay (Cher), par ex., les prix affichés pour le gazole et pour le sans-plomb 95 ou 98 datent du 28 août. Les choses ont évidemment bien changé depuis.
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Enfin, la carte de TotalEnergies (services.totalenergies.fr/stations). Le réseau comporte environ 4 000 stations-service, sur un total de 12 000 en France.
Telle est d'ailleurs la principale limite de cette carte, en plus du fait que les données ne sont pas toujours totalement à jour.
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Bref, aucune carte n'est parfaite, mais celles participatives et basées au départ sur les données du gouvernement sont forcément les plus fiables.
🌧️ Il a beaucoup plu en septembre (surtout durant la deuxième semaine du mois), avec des cumuls de précipitations supérieurs aux normales sur la moitié nord du pays.
A l'inverse, plusieurs territoires à l'ouest et au sud-est sont déficitaires.
• 58 695 cas positifs au #Covid ont été recensés en 24h, versus 61 121 vendredi dernier (-4%).
• Deuxième jour consécutif avec un nombre de cas quotidiens inférieur à celui à J-7.
• Quelques jours de plus, et on pourra assurément parler de "pic".
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Près de 56 500 cas positifs sont recensés chaque jour (en moyenne glissante), en hausse de 5 % sur une semaine mais en légère baisse pour le deuxième jour consécutif.
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Le taux de positivité semble lui aussi se stabiliser, un peu au-dessus de 27 %.
🏥 Le nombre de patients #Covid19 admis chaque jour (en moyenne glissante) à l'hôpital continue d'augmenter... mais de moins en moins vite : +13 % sur une semaine désormais.
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Idem s'agissant des admissions quotidiennes dans les services de soins critiques : "seulement" +2 % sur une semaine.
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On voit bien, sur ce graphique, comment les taux d'évolution ont "ralenti" au fil des jours.
🇩🇪 Le nombre d'admissions à l'hôpital de patients #Covid19 par semaine en Allemagne est en forte hausse, notamment chez les personnes âgées d'au moins 60 ans, à des niveaux très élevés.
Contrairement à ce que dit Philippe Martinez, la France n'a pas été "condamnée par l’Organisation internationale du travail" pour des réquisitions en 2010.
"L’OIT a adressé des remontrances à la France, mais sans la condamner", résume un expert. ⤵️
A l’automne 2010, en pleine réforme des retraites, le gouvernement de Nicolas Sarkozy avait réquisitionné certains salariés grévistes de plusieurs raffineries ou dépôts pétroliers afin que ceux-ci soient débloqués.
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L’OIT a rendu sa décision 9 mois plus tard.
"L'objet des réquisitions a porté sur le maintien de l’ordre public" et les arrêtés "avaient une portée volontairement limitée dans la nature des travaux requis, le nombre de personnes affectées et la durée de la mobilisation".
• Pour la première fois depuis un mois et une semaine, le nombre de cas positifs au #Covid en 24h est inférieur à celui à J-7.
• 64 218 cas ont été recensés en 24h, versus 65 537 jeudi dernier (-2%).
• Un pic aura été passé si on a plusieurs jours de baisse à la suite.
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Près de 57 000 cas positifs sont recensés chaque jour (en moyenne glissante), en hausse de 10 % sur une semaine mais en légère baisse par rapport à hier, du coup.