De nombreux scientifiques espèrent retrouver sur #Mastodon des échanges apaisés et enrichissants, semblables à ceux de leurs premiers pas sur Twitter... sans pour autant quitter celui-ci.
Échanges de plus en plus clivés et tendus (notamment sur le #Covid19), insultes voire harcèlement, nécessité de bloquer des comptes... L'arrivée tambour battant de Musk chez Twitter a été "la grosse goutte qui a fait déborder un vase déjà bien rempli", dixit @flodebarre.
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S'inscrire sur #Mastoton, "c’est comme se retrouver dans un monde normal avec des gens sympathiques et sans avoir à les bloquer", en sourit @Vadeboncoeur_Al.
"C’est très apaisé, je n’ai pas vu pour l’instant de polémique monter", abonde @francoiscuenot.
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Illustration de ce mouvement : l'instance mstdn.science, qui permet "aux scientifiques et aux passionnés de science" d’échanger sur les sujets qui les intéressent, voit son nombre d'utilisateur grimper de jour en jour.
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Outre ces scientifiques en leur nom propre, certaines organisations débarquent elles aussi sur #Mastodon.
Les prochains rapports d'@EPIPHARE seront publiés conjointement sur les deux plateformes. Le compte Mastodon d'@ete_fr, "en sommeil" depuis 2 ans, a été activé.
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Même s’ils en critiquent certaines difficultés d’utilisation, les scientifiques apprécient aussi sur Mastodon la modération, jugée "plus efficace" que sur Twitter : "Ça ne pourra probablement jamais être pire."
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Néanmoins, ils se disent "très curieux de voir comment fonctionnera le système à la première controverse". Comme une sorte de "crash test".
La France fait pâle figure par rapport à l'Angleterre s'agissant de la vaccination de rappel adaptée à #Omicron.
En 🏴
• 3 habitants âgés d'au moins 75 ans sur 4
• plus d'1 sur 2 âgés d'au moins 50 ans
...ont reçu une dose cet automne.
En 🇫🇷, on est à 10 % de la cible.
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En France, plus précisément, seuls 36% des plus de 60 ans ont reçu 2 doses de rappel... la 2eme dose parfois il y a plusieurs mois.
F. Braun a donné dans @le_Parisien le chiffre de "10 % de vaccinés" cet automne parmi la cible éligible (essentiellement les plus de 60 ans).
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Comment expliquer une telle différence avec l'Angleterre ? Sans doute notamment par une communication assez limitée des autorités sanitaires (clips télé, quelques interviews, etc).
En Angleterre, le NHS envoie des courriers nominatifs (exemple ci-dessous).
Tout d’abord, la grève a été maintenue jusqu’au 2 novembre à la raffinerie TotalEnergies de Gonfreville, l’un des deux sites alimentant l’Île-de-France.
La raffinerie "monte en puissance depuis une semaine", mais il faut du temps pour un retour total à la normale.
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Le carburant doit parvenir jusqu’aux stations de région francilienne en transitant - lentement - par des gazoducs, puis par camion depuis les dépôts pétroliers.
Un expert pointe "un problème de logistique, et non un manque de produit".
Les nombres bruts d'hospitalisations et de passages aux urgences pour #bronchiolite chez les enfants de moins de 2 ans sont, eux aussi, à des niveaux beaucoup plus élevés que les pics des années précédentes.
"La #bronchiolite est là tous les ans, de façon +/- intense. Elle a augmenté très rapidement cette année et on s’est retrouvé avec des services saturés", dixit la présidente de la Société française de pédiatrie.
Ceci n’aurait pas forcément été le cas il y a 5 ou 10 ans.
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Les filles nées en 2022 pourraient vivre 93 ans et les garçons 90 ans en moyenne, d'après les nouvelles estimations de l'@InseeFr.
Depuis 1900, l’espérance de vie à la naissance aurait alors progressé de 37 ans pour les femmes et de 42 ans pour les hommes. ⤵️
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Quant à l'espérance de vie moyenne à 65 ans, c'est-à-dire le nombre d'années restant à vivre à cet âge-là, elle devrait stagner pour les générations "palier" nées entre 1941 et 1955 (consommation d’alcool et de tabac, risque de suicide plus important, etc).
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Par ailleurs, l'écart d’espérance de vie entre les femmes et les hommes à la naissance et celui à 65 ans diminuent en continu au fil des années.
En 2022, il atteint respectivement 2,2 et 1,6 années.
🔴 L'@EMA_News approuve ce jeudi le vaccin de Sanofi Pasteur🇫🇷 (basé sur le variant Beta et avec adjuvant) en dose de rappel chez les personnes déjà vaccinées.
On l'avait presque oublié, depuis le temps.
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@EMA_News L'EMA dit avoir reçu et analysé des "données suffisamment solides sur la qualité, la sécurité et l'immunogénicité du vaccin".
Les effets indésirables constatés "étaient généralement bénins et disparaissaient quelques jours après la vaccination".
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L'été dernier, Sanofi avait annoncé des résultats immunologiques (via les titres d'anticorps neutralisants) très encourageants de son vaccin basé sur le variant Bêta en dose de rappel contre les variants #Omicron BA.1 et BA.2.