Résumé rapide : en juin 1940, Stirling s’engage dans le Commando n°8 et se retrouve au Caire début 1941. C’est là qu’il a l’idée du SAS mais il lui reste à convaincre sa hiérarchie (il a 25 ans). Pour vendre le truc, il cherche à obtenir le soutien de types influents.
Il se trouve qu’à ce moment précis, le meilleur soutien dont il puisse rêver c’est Dudley Clarke : le mec est l’inventeur des British Commandos et c’est aussi le type le moins conventionnel qu’on puisse imaginer, un pur génie en matière de désinformation.
Du coup Stirling va le voir et, sans grande surprise, Clarke trouve l’idée excellente. Sauf qu’il impose une condition en contrepartie de laquelle il fera tout ce qui lui est possible pour que l’idée de Stirling voit le jour : le nom.
Clarke tient absolument à ce que ça s’appelle le Special Air Service (SAS). Pourquoi ? Eh bien parce que ça faisait un moment qu’il enfumait les nazis avec une unité factice qui portait ce nom : l’apparition d’un vrai SAS donnait de la crédibilité à ses plans. #Fin
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