đź”´ #Blackrock et le drame du #CreditSuisse
un article de Ernst Wolff
Credit Suisse, la deuxième banque suisse, était au bord de l'insolvabilité la semaine dernière. Après que des fonds de clients d'une valeur de 100 milliards de francs suisses aient déjà été retirés au 🔽
un article de Ernst Wolff
Credit Suisse, la deuxième banque suisse, était au bord de l'insolvabilité la semaine dernière. Après que des fonds de clients d'une valeur de 100 milliards de francs suisses aient déjà été retirés au 🔽
2.
quatrième trimestre 2022, de nombreux autres investisseurs ont perdu confiance au premier trimestre 2023. En raison de l'augmentation des sorties de fonds, le coût de la couverture du risque de défaillance des obligations du Credit Suisse a fortement augmenté. Cette 🔽
quatrième trimestre 2022, de nombreux autres investisseurs ont perdu confiance au premier trimestre 2023. En raison de l'augmentation des sorties de fonds, le coût de la couverture du risque de défaillance des obligations du Credit Suisse a fortement augmenté. Cette 🔽
3.
situation a entraîné l'effondrement du cours de l'action, qui a chuté de 31 % au cours de la seule journée du 15 mars.
Lorsque l'actionnaire majoritaire, la Saudi National Bank, a annoncé qu'elle n'investirait plus d'argent dans la banque en chute libre, une ruée sur les 🔽
situation a entraîné l'effondrement du cours de l'action, qui a chuté de 31 % au cours de la seule journée du 15 mars.
Lorsque l'actionnaire majoritaire, la Saudi National Bank, a annoncé qu'elle n'investirait plus d'argent dans la banque en chute libre, une ruée sur les 🔽
4.
clients était imminente. Cette situation devait être évitée à tout prix, car le Credit Suisse est l'un des quelques 30 établissements financiers d'importance systémique dans le monde, dont l'effondrement pourrait déclencher un effet domino dans le secteur bancaire et 🔽
clients était imminente. Cette situation devait être évitée à tout prix, car le Credit Suisse est l'un des quelques 30 établissements financiers d'importance systémique dans le monde, dont l'effondrement pourrait déclencher un effet domino dans le secteur bancaire et 🔽
5.
constituer une menace existentielle pour le système financier mondial.
Jeudi dernier, la Banque nationale suisse (#BNS) a pris en charge la mission de sauvetage. Elle a accordé au Credit Suisse un prêt de 50 milliards de francs suisses et tout semblait aller pour le mieux. 🔽
constituer une menace existentielle pour le système financier mondial.
Jeudi dernier, la Banque nationale suisse (#BNS) a pris en charge la mission de sauvetage. Elle a accordé au Credit Suisse un prêt de 50 milliards de francs suisses et tout semblait aller pour le mieux. 🔽
6.
Mais il s'est avéré que ce montant n'était pas suffisant pour une stabilisation durable, car après une brève hausse, le cours de l'action a de nouveau chuté de près de 18 % à la fin de la semaine.
Des signes de plus en plus nombreux indiquaient que les problèmes étaient 🔽
Mais il s'est avéré que ce montant n'était pas suffisant pour une stabilisation durable, car après une brève hausse, le cours de l'action a de nouveau chuté de près de 18 % à la fin de la semaine.
Des signes de plus en plus nombreux indiquaient que les problèmes étaient 🔽
7.
beaucoup plus graves que ne l'avait admis la direction du Credit Suisse. D'une part, des rumeurs circulaient selon lesquelles #BlackRock voulait reprendre la banque, ce qui a été immédiatement démenti par le plus grand gestionnaire d'actifs au monde. D'autre part, selon 🔽
beaucoup plus graves que ne l'avait admis la direction du Credit Suisse. D'une part, des rumeurs circulaient selon lesquelles #BlackRock voulait reprendre la banque, ce qui a été immédiatement démenti par le plus grand gestionnaire d'actifs au monde. D'autre part, selon 🔽
8.
divers rapports, des pourparlers ont eu lieu avec la plus grande banque suisse, #UBS, qui a elle-même été renflouée par la Banque nationale suisse pour 54 milliards de dollars en octobre 2008.
En fait, l'UBS a annoncé dimanche qu'elle reprendrait immédiatement le Credit 🔽
divers rapports, des pourparlers ont eu lieu avec la plus grande banque suisse, #UBS, qui a elle-même été renflouée par la Banque nationale suisse pour 54 milliards de dollars en octobre 2008.
En fait, l'UBS a annoncé dimanche qu'elle reprendrait immédiatement le Credit 🔽
9.
Suisse pour environ 1 milliard de francs et qu'elle paierait 0,25 franc pour une action qui avait été évaluée vendredi à 1,81 franc. Le gouvernement suisse a soutenu la proposition d'UBS et a accepté de suspendre une loi qui fixe un délai de six semaines pour une telle 🔽
Suisse pour environ 1 milliard de francs et qu'elle paierait 0,25 franc pour une action qui avait été évaluée vendredi à 1,81 franc. Le gouvernement suisse a soutenu la proposition d'UBS et a accepté de suspendre une loi qui fixe un délai de six semaines pour une telle 🔽
10.
reprise.
Mais l'opération a été rejetée par le Credit Suisse. Apparemment, il ne restait plus qu'une option : pour éviter un effet domino, le gouvernement suisse devait tirer le frein à main et nationaliser la banque. Mais cela n'a pas été nécessaire, car l'UBS a augmenté 🔽
reprise.
Mais l'opération a été rejetée par le Credit Suisse. Apparemment, il ne restait plus qu'une option : pour éviter un effet domino, le gouvernement suisse devait tirer le frein à main et nationaliser la banque. Mais cela n'a pas été nécessaire, car l'UBS a augmenté 🔽
11.
son offre de reprise à 0,76 franc par action, mais a obtenu en échange un engagement de crédit de la Banque nationale suisse pouvant aller jusqu'à 100 milliards de francs.
Dimanche soir, l'annonce officielle a été faite : #UBS reprend le #CreditSuisse, un concurrent qui 🔽
son offre de reprise à 0,76 franc par action, mais a obtenu en échange un engagement de crédit de la Banque nationale suisse pouvant aller jusqu'à 100 milliards de francs.
Dimanche soir, l'annonce officielle a été faite : #UBS reprend le #CreditSuisse, un concurrent qui 🔽
12.
affichait encore vendredi une valeur boursière de 8 milliards de francs. Elle bénéficiera d'une garantie de perte de 9 milliards de francs de la part du gouvernement et d'un crédit pouvant aller jusqu'à 100 milliards de francs garanti par la Banque nationale suisse. 🔽
affichait encore vendredi une valeur boursière de 8 milliards de francs. Elle bénéficiera d'une garantie de perte de 9 milliards de francs de la part du gouvernement et d'un crédit pouvant aller jusqu'à 100 milliards de francs garanti par la Banque nationale suisse. 🔽
13.
Etant donné que l'accord a été conclu sans les actionnaires d'UBS et de Credit Suisse et sans le Parlement suisse, nous nous demandons s'il ne s'agit pas d'un jeu de poker d'initiés. Peut-être un coup monté par des acteurs financiers qui se connaissent bien ? 🔽
Etant donné que l'accord a été conclu sans les actionnaires d'UBS et de Credit Suisse et sans le Parlement suisse, nous nous demandons s'il ne s'agit pas d'un jeu de poker d'initiés. Peut-être un coup monté par des acteurs financiers qui se connaissent bien ? 🔽
14.
Un coup d'œil sur les relations des personnes les plus importantes impliquées pourrait aider à trouver une réponse.Le directeur général du Credit Suisse et celui de l'UBS sont tous deux des contributeurs du #WEF. Les deux banques, à leur tour, appartiennent aux partenaires 🔽
Un coup d'œil sur les relations des personnes les plus importantes impliquées pourrait aider à trouver une réponse.Le directeur général du Credit Suisse et celui de l'UBS sont tous deux des contributeurs du #WEF. Les deux banques, à leur tour, appartiennent aux partenaires 🔽
15.
stratégiques du #WEF, y compris #BlackRock.
En outre, le directeur de la Banque nationale suisse est également un contributeur du WEF, et son prédécesseur est aujourd'hui vice-président de BlackRock, dont le président, Larry Fink, siège au conseil d'administration du WEF 🔽
stratégiques du #WEF, y compris #BlackRock.
En outre, le directeur de la Banque nationale suisse est également un contributeur du WEF, et son prédécesseur est aujourd'hui vice-président de BlackRock, dont le président, Larry Fink, siège au conseil d'administration du WEF 🔽
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avec Klaus #Schwab depuis 2019.
Et ce n'est pas tout. Comme cela a également été annoncé dimanche, la Réserve fédérale et la BCE ont également donné leur feu vert à l'accord. Le principal conseiller des deux banques centrales n'est autre que BlackRock.
avec Klaus #Schwab depuis 2019.
Et ce n'est pas tout. Comme cela a également été annoncé dimanche, la Réserve fédérale et la BCE ont également donné leur feu vert à l'accord. Le principal conseiller des deux banques centrales n'est autre que BlackRock.
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