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Les tentatives de #Poutine de négocier une augmentation de l'approvisionnement en gaz de la #Chine sont au point mort
Au lieu du projet Power of Siberia-2 de 50 milliards de mètres cubes, que le #Kremlin pousse depuis plus de 7 ans, #Pékin a décidé de donner
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Les tentatives de #Poutine de négocier une augmentation de l'approvisionnement en gaz de la #Chine sont au point mort
Au lieu du projet Power of Siberia-2 de 50 milliards de mètres cubes, que le #Kremlin pousse depuis plus de 7 ans, #Pékin a décidé de donner
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la priorité à un nouveau gazoduc depuis le Turkménistan.
Bien que le gaz turkmène coûte à la Chine 30% de plus que le gaz russe et que les négociations sur une remise avec Achgabat aient échoué, Pékin a donné son feu vert au projet de la ligne D, qui importera 30 milliards
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Bien que le gaz turkmène coûte à la Chine 30% de plus que le gaz russe et que les négociations sur une remise avec Achgabat aient échoué, Pékin a donné son feu vert au projet de la ligne D, qui importera 30 milliards
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de mètres cubes du Turkménistan chaque année.
Malgré toutes les ouvertures et déclarations de la Russie sur un « partenariat stratégique » indestructible, la Chine parie sur le Turkménistan. «Les pipelines d'Asie centrale sont considérés comme un investissement clé dans
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Malgré toutes les ouvertures et déclarations de la Russie sur un « partenariat stratégique » indestructible, la Chine parie sur le Turkménistan. «Les pipelines d'Asie centrale sont considérés comme un investissement clé dans
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dans l'espace énergétique et géopolitique de la Chine. C'est une chaîne d'approvisionnement à valeur stratégique qui transcende les aspects commerciaux
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