Trajectoires d'insertion professionnelle des jeunes formés par alternance ou par la voie scolaire selon le plus haut diplôme et son domaine de spécialité
Je vous laisse deviner les alternances qu'on a le plus développées...
Taux de croissance entre 2011 et 2021 1 du nombre de publications scientifiques auxquelles au moins un auteur du pays participe dans les 15 premiers pays producteurs (en %, compte entier)
Type d'emploi et secteur d'activité selon le lieu de travail et la nationalité des docteurs des promotions 2016 et 2018 en emploi trois ans après l'obtention de leur diplôme (en %)
Les crédits budgétaires publics de Recherche (CBPRD) en 2022 (en M€) - Détails par objectifs socio-économiques des crédits consacrés à l'environnement, à l'énergie et aux transports (M€)
Les SHS complètement absentes: un problème non-politique.
En revanche, pas de trace dans la com' des présidences d'université d'une critique sur la proposition de renforcer la modulation des services
(i.e. permettre aux présidences de forcer les EC à enseigner plus, tout en leur supprimant leurs heures comp').
Le rapport commence par un tapis de name dropping assez rare pour ce type de document : Henri-Bénédicte de Saussure, Joseph Fourier, Eunice Foote, John Tyndall, Svante Arrheniu, Albert Einstein, Henri Becquerel...
Plusieurs douzaines de noms qui personnifient la science.
« Soutenir l’investissement en crypto-actifs »
En ouvrant le statut de Jeunes Entreprises Innovantes aux startups spéculatives qui ne font pas d'innovation.
Parce que pourquoi pas ?
Ca parle « web 3.0 », ce qui inquiète sur le sérieux des rapporteurs.
La mission propose donc que les startups spéculatives dans la crypto soient des JEIC « Jeune Entreprise d’Innovation et de Croissance » (elle ne font pas d'innovation, mais de la croissance)
Et donc de leur filer le #CIR avant un an d'avance.
Il va falloir mettre en place une haute autorité indépendante chargée de juger la véracité des déclarations publiques des membres du gouvernement, ou on ne va jamais s'en sortir.
[#VeilleESR#LRU] @MartinHirsch confond l'évaluation des enseignements à des fins d'amélioration continue (qui est bien prévue dans la loi), et l'évaluation des enseignants à des fins de mise en concurrence (qui n'est pas prévue dans la loi parce que très problématique).
Ce qui est prévu, et qu'on fait : on évalue les *enseignements*.
Après un cours, on demande l'avis des étudiants sur ce cours (et pas sur l'enseignant), ce qui nous permet d'améliorer le cours (et pas l'enseignant).
Cet avis doit être tenu le plus secret possible. Pourquoi ?
Parce plus l'avis est "transparent", c'est-à-dire publié, plus il devient un objectif (pour briller et être attractif, obtenir une prime ou une promotion, ou obtenir des budgets).
Or, loi de Goodhart : une mesure qui devient un objectif cesse d'être une bonne mesure.