Pour sa sécurité, je ne dévoilerai pas l’endroit. Mais je vous laisse apprécier certains commentaires des clients.
J’aimerais bien que l’argent public (nos impôts, donc) ne serve pas à engraisser des marchands de sommeil au titre de la protection de l’enfance.
Ce n’est pas pour rien que l’on demande depuis des années, sans être entendus, l’interdiction des placements d’enfants à l’hôtel.
Il est temps que les parlementaires prennent leurs responsabilités. De tous bords.
MàJ : j'ai eu l'Aide Sociale à l'Enfance au téléphone.
La jeune fille sera placée aujourd'hui dans un appart-hôtel décent.
On progresse, mais cela reste dramatique qu'il soit acceptable qu'une enfant placée se retrouve seule, sans adultes auprès d'elle.
Pour ceux qui me suivent depuis longtemps, j'ai décidé cette fois de ne pas pratiquer le name and shame.
Les enfants placés qui dénoncent leurs conditions de vie risquent de se voir refuser la protection "jeune majeur" une fois les 18 ans atteint et de finir à la rue.
Néanmoins, comme l'hôtelier se fait de la thune sur le dos enfants placés et que son hôtel est insalubre, je communique le lieu pour que cela ne se reproduise plus !
56 euros la nuit que l'ASE verse avec nos impôts !
Des associations, dont @innocencedanger, demandent au parquet de Paris l’ouverture d’une enquête judiciaire sur l'association l'Ange Bleu, présidée par Latifa Bennari.
Après une longue enquête, nous avons constaté qu'elle protège des pédocriminels.
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Des associations de protection de l’enfance et de lutte contre les violences sexuelles ont décidé de saisir le parquet de Paris en demandant l’ouverture d’une enquête judiciaire pour faire la lumière sur les agissements de Latifa Bennari, présidente de L'#AngeBleu
Ces associations, qui saisissent chacune le parquet via un signalement respectif, alertent la justice sur des faits de non dénonciation d’agressions sexuelles.
1) Concernant les modalités de placement, même en période de pandémie, l’autorité attachée aux décisions des juges des enfants ne s’efface pas devant les préconisations sanitaires.
2) Si l’on doit naturellement prendre en compte ce contexte, il n’en demeure pas moins que les modalités des droits de visite et d’hébergement tels que fixées par les juges des enfants prévalent.