Il fait doux en ce moment en France, mais on en parle moins que pendant les quelques semaines fraîches de septembre / octobre. Pourtant, l'anomalie actuelle sur 30 jours glissants (+1,43°C) dépasse déjà la plus forte anomalie négative mesurée après l'équinoxe (-1,38°C) [1/5] 
Remarquez que les "30 jours glissants" actuels recoupent la période fraîche de mi-octobre. Dans 6 jours, l'anomalie sur 30 jours devrait avoisiner +2,5°C.
Par rapport aux normales 1981/2010, une telle période anormalement chaude devient d'une affligeante banalité en 2020 [2/5]
Par rapport aux normales 1981/2010, une telle période anormalement chaude devient d'une affligeante banalité en 2020 [2/5]
Il y en a déjà eu trois, une par saison :
Hiver : +3,87°C du 27 janvier au 25 février
Printemps : +3,4°C du 6 avril au 5 mai
Eté : +2,85°C du 24 juillet au 22 août
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Hiver : +3,87°C du 27 janvier au 25 février
Printemps : +3,4°C du 6 avril au 5 mai
Eté : +2,85°C du 24 juillet au 22 août
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Pour trouver une telle anomalie de sens opposé, il faut remonter près de 4 ans en arrière, -2,89°C du 28 décembre 2016 au 26 janvier 2017.
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Avec tout ceci, il faut désormais que la période du 15 novembre au 31 décembre soit plus froide que la moyenne 1981/2010 pour que 2020 ne devienne PAS l'année la plus chaude jamais observée en France. Plus que jamais d'actualité, donc, et à suivre !
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