❌🔞 D’après l’enquête de @hrw (2020) les agents de la police égyptienne arrêtent arbitrairement des personnes #LGBT, les détiennent dans des conditions inhumaines, leur font systématiquement subir des mauvais traitements & des torture et incitent leurs codétenus à les violenter.
Les forces de sécurité arrêtent régulièrement les gens dans la rue en se basant simplement sur leur expression de genre, les piègent via certains sites de réseaux sociaux ou des applications de rencontres, et fouillent illégalement le contenu de leurs téléphones.
Les procureurs utilisent ces éléments pour justifier des détentions prolongées, sans jamais mettre en doute la véracité des rapports de police et lancent des poursuites judiciaires injustifiées à l’encontre de ces personnes.
Human Rights Watch a documenté des cas de torture lors de la garde à vue, y compris des passages à tabac graves et répétés ainsi que des violences sexuelles, souvent commises sous le prétexte d’effectuer des examens anaux forcés ou des « tests de virginité ».
Les policiers et procureurs agressent verbalement les détenus, leur arrachent des aveux forcés et leur refusent l’accès à un avocat et aux soins médicaux. Ces récits détaillés, qui n’avaient jamais été publiés ailleurs, notamment de la part d’une fille de 17 ans,
ont été recueillis sur fond d’intensification des poursuites judiciaires pour relations homosexuelles supposées, dans le cadre de la vague de répression anti-LGBT qui a débuté après le concert de Mashrou’ Leila au Caire en 2017. hrw.org/news/2017/09/3…
Sarah Hegazy, placée en détention en 2017 après avoir brandi un 🏳️🌈 lors de ce concert, avait déclaré que les policiers l’avaient torturée et avaient incité ses codétenues à la frapper & à la harceler sexuellement. Elle s’est suicidée en juin 2020 au Canada, où elle vivait en exil
Les cas décrits dans ce rapport – le plus récent date d’août 2020 – démontrent que les mauvais traitements qu’elle a subis font partie d’une tendance plus générale et systématique d’abus à l’égard des personnes LGBT en Égypte.
« Les autorités égyptiennes semblent être en lice pour battre le record régional des pires atteintes aux droits des personnes LGBT, tandis que la communauté internationale garde un silence affligeant », a déclaré Rasha Younes, chercheuse auprès du programme Droits LGBT à @hrw
« La mort tragique de Sarah Hegazy aurait dû déclencher une onde de choc et de solidarité mondiale, mais l’Égypte a continué sans ciller à cibler et violenter des personnes LGBT, simplement en raison de qui elles sont. »
Sous la présidence d’Abdel Fattah al-Sissi, les autorités mènent depuis longtemps une campagne d’arrestations et de poursuites contre ceux dont l’orientation sexuelle ou l’identité de genre, réelle ou supposée, ne se conforme pas à leur conception binaire du genre.
Un homme a témoigné qu’après l’avoir arrêté en 2019 au Caire, les policiers l’avaient frappé jusqu’à ce qu’il perde connaissance, puis obligé à rester debout pendant trois jours dans une pièce sombre et mal aérée, les mains et les pieds attachés par une corde.
Une femme a déclaré qu’après l’avoir arbitrairement arrêtée lors d’une manifestation au Caire en 2018, les policiers lui avaient fait subir trois tests de «virginité», à différents moments de sa détention :
« Une policière m’a attrapé et pressé les seins, elle m’a saisi le sexe, regardant à l’intérieur de mon vagin, puis a ouvert mon anus et y a inséré sa main si profondément que j’ai senti qu’elle en sortait quelque chose.
J’ai saigné pendant 3 jours et j’ai eu du mal à marcher pendant des semaines. Je ne pouvais plus aller aux toilettes et j’ai commencé à avoir des problèmes médicaux dont je souffre jusqu’à aujourd’hui. »
La police a forcé trois hommes ainsi qu’une fille et une femme transgenres à subir des examens anaux. Lorsqu’un de ces hommes a présenté sa carte de personne handicapée, les policiers la lui ont insérée dans l’anus.
À propos de l’impunité, un activiste fait remarquer : « Les agents sont des individus. Chacun d’entre eux a une idée de torture qu’il met en œuvre impunément. Les seules différences en matière de techniques de torture et d’agression découlent de leurs préférences personnelles. »
Tout récemment, au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies en mars, l’Égypte a refusé de reconnaître l’existence des personnes LGBT, faisant fi de son obligation de protéger les droits de tous sur son territoire, sans discrimination.
« Lorsque les forces de sécurité arrêtent arbitrairement les gens et leur font subir des abus susceptibles de les marquer à vie, la moralité et l’ordre public ne sont pas protégés, mais détournés », a conclu Rasha Younes.
« Les partenaires de l’Égypte devraient suspendre leur appui à ses forces de sécurité abusives jusqu’à ce que le pays prenne des mesures efficaces pour mettre fin à ce cycle d’abus, afin que les personnes LGBT puissent vivre librement dans leur pays. » @EmmanuelMacron
#Thread Comment comprendre le déni des autorités sanitaires pour les traitements précoces de la Covid ? (HCQ, Azithromycine, Iermectine, Favipiravir, et même la vitamine D)
Nous nous efforcerons ici d’informer les citoyens sur l’état des connaissances médicales, sans parti-pris particulier pour tel ou tel de ces traitements vis-à-vis desquels nous n’avons aucune forme de lien ni d’intérêt particulier.
Le scandale de la méta-analyse de Fiolet et al. (2020) qui visait à décrédibiliser l’HCQ et dont l’un des auteurs, Nathan Peiffer-Smadja, est un ancien doctorant de Yazdan Yazdanpanah, qui soutient comme lui le Remdesivir de l’industriel Gilead, montre que cette remarque importe.
✔️#Thread Le droit au salaire est le cœur de la lutte sociale. Sa mise en place signera l’avènement d’une société plus juste et réellement démocratique
Le droit au salaire permet de reconnaître que nous sommes tous des producteurs de richesse et des acteurs de la démocratie
L’économie actuelle fonctionne selon les règles des détenteurs du Capital (patrons & actionnaires). Ce sont eux qui créent « le marché de l’emploi » et qui le mettent sous tension (chômage) pour baisser les salaires et maximiser les bénéfices (chantage, plans sociaux...)
Mettre en place le droit au salaire permet de sortir de ce type d’économie fondé sur la prédation des salariés/employés par des grands patrons et des actionnaires qui s’enrichissent en produisant de la misère sociale et des désastres écologiques.
La corruption des médecins commencent dès la fac : aucune en France n’a rédigé un document pour définir sa politique en matière de conflits d’intérêts. A quoi s’ajoutent les rémunérations, les cadeaux, le Ghostwriting, le financement des conférenciers... capital.fr/economie-polit…
Aussi incroyable que cela puisse paraître le contrôle de la production scientifique dans l’univers de la recherche médicale s’exprime donc d’abord par la mainmise des laboratoires pharmaceutiques sur la formation continue obligatoire des médecins :
Sous la pression de l’administration Trump, qui ne pense qu’au dernier coup d’éclat, et qui quelques jours auparavant rétablissait les pelotons d’exécution, la FDA autorise l’injection d’ARNm synthétique de Pfizer/BioNtech comme traitement contre le Covid-19.
Les « vaccins » à ARN ouvrent un tout nouveau marché qui pèse déjà des milliards : celui de l’ARN synthétique et par extension celui des thérapies géniques.
Le Pr Fourtillan faisait l'objet d'un mandat d'amener d'un juge d'instruction parisien lorsqu'il a été arrêté, écroué à la maison d'arrêt de Nîmes, puis interné, jeudi 10 décembre.
On lui reprocherait, entre autres, d'avoir donné des traitements expérimentaux à des malades souffrants de la maladie d'Alzheimer ou de parkinson leparisien.fr/societe/essais…
Il est question de technologies « invasives » et de soldats dotés d’implants qui améliorent les capacités physiques, perceptives, cognitives et psychologiques, et permettent une connectivité entre leur cerveau et des systèmes d'armes ou d'autres soldats.
La BBC s’en fait aussi l’écho google.fr/amp/s/www.bbc.… et rappelle que dans le même genre, cette année, Elon Musk a dévoilé un cochon appelé Gertrude avec une puce informatique de la taille d'une pièce installée dans son cerveau.