Maintenant qu’on peut se déplacer en France, je cherche un point de chute pour ma transhumance Paris-Marseille que je ferai sur deux jours. C’est horrib’, tous les hôtels sont fermés. #FirstWorldProblems
Enfin, tous les hôtels où je veux bien aller.
Je vais finir au Sofitel Bellecour, trop dur.
Ou alors quelqu’un connaît un hôtel vraiment excellent vers Clermont?
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Quelques arguments sur les matières à enseigner dans le tronc commun d'un lycée, et pourquoi PowerPoint ne me semble pas stupide a priori. (1/7653235)
L'instruction publique a pour but de donner à l'élève *qui en est capable* les facultés nécessaires pour devenir un homme libre et vertueux, et un citoyen responsable. Libre = instruit, connaissant le monde et la place qu'il y occupe, raisonnable et capable de communiquer.
Le début de cette instruction, tout le monde le connaît, c'est lire, écrire, compter. C'est le rôle du primaire et, de plus en plus, semble-t-il, du collège, hélas.
Une des leçons de la crise du Covid : je comprends mieux comment on peut briguer un poste à grosse responsabilité. Ce n’est pas toujours de l’arrivisme.
Parfois les managers en place semblent si mauvais, et la situation si pénible qu’on en conclut que la seule manière d’améliorer cela, c’est d’être à leur place.
A leur place on aura enfin le pouvoir de changer la situation, et on ne pourra pas faire pire qu’eux. Réflexion fréquente et sans doute vraie en temps de crise.
J’ai pas envie de travailler aujourd’hui, alors j’ai demandé au helpdesk de me migrer Office de 32 en 64 bits. Je fais ça deux fois par an environ, ça prend 4 heures et ça échoue.
C’est parti très fort avec du power shell, et là, ils cherchent à installer... non, pas Office, mais l’agent de télédistribution qui va installer Office.
La cantine va fermer que ce sera pas fini.
On oscille entre du power shell et des analyses de logs. Si je m’en tire bien, j’aurai vers 16h un PC sans Office, que je pourrai wipe et réinstaller moi-même.
Ces sorttises de classement de Shanghai me font penser à un autre joli cas où la réalité essaie de se conformer à une norme inventée hors de tout contrôle : le score d’audit.
Dans une boîte où je travaillais il y a 10 ans, on n’avait rien trouvé de mieux que de *noter* les services lors des missions d’audit.
La mission était d’audit classique (identifier les risques, apprécier l’efficacité des mesures de réduction des risques, alerter sur ce qui restait dangereux) mais elle se transformait en remplissage de la grille de notation.