📖#Livre#LundiLivre « Poussière et sueur », LIU Xinwu, Roger Darrobers (traducteur), 2012, Éditions @Gallimard 刘心武《尘与汗》
Quand on met ensemble les deux mots « poussière » et « sueur », à quoi cela peut vous faire penser ? Vous découvrirez la réponse de Liu dans ce livre.
👨🏻🏫Né en 1942, dans la province du Sichuan, LIU est ancien rédacteur en chef de la revue « Littérature du Peuple », il est le chroniqueur et le témoin de l'évolution fulgurante de Pékin, capitale historique depuis plus de six siècles, confrontée à la modernité.
Ses œuvres font de lui un représentant du néo-réalisme, qui s'intéresse aux gens ordinaires et met en scène les laissés-pour-compte d'une société en pleine transformation.
Passionné aussi par l'étude du roman « Le rêve dans le pavillon rouge », il est connu pour plus de dix ans de recherche sur ce roman.
Dans « Poussière et sueur », LIU dépeint une série de petites personnes souvent négligées qui luttent dans les bas-fonds du monde social, montrant la trajectoire de vie des gens ordinaires dans le cycle des marées hautes et basses de l'économie de marché.
📝Résumé :
C’est un dimanche ordinaire à Pékin. Lao He, cinquante sept ans, est un ouvrier migrant parmi tant d’autres, survivant d’une histoire tragique.
Employé comme jardinier par la municipalité, il vit dans un foyer près du quartier d’Andingmen. Des visites familiales à la traditionnelle loterie sur la place principale, mille événements, souvent cocasses, vont rythmer son unique journée de loisir.
LIU Xinwu reconstitue la vie de tout un quartier populaire avec ses ivrognes, ses escrocs, ses braves gens et quantité de personnages pittoresques, d’une marieuse surnommée la Girafe à un loueur de trampoline.
L’occasion de décrire, avec tendresse, une société en pleine transformation, entre mode de vie traditionnel et modernité citadine.
💡Commentaires :
« LIU Xinwu arrive à brosser le portrait d'une société chinoise nouvelle avec ce petit roman d'à peine 120 pages...A noter, le traducteur, Roger Darrobers, explique très bien la culture chinoise avec les notes de bas de page. »
« C'est un peu la confrontation de deux mondes : jeune et vieux, campagne et ville, ancien et contemporain. L'histoire des famines s'efface peu à peu. La société change devant le regard résigné de Lao He. Un livre d'une grande humanité. »
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🎼Le Changde Sixian est un genre de Quyi populaire dans les régions de Yuanjiang et de Lishui à #Changde, dans la province du #Hunan.
🎼À la fin de la dynastie Ming et au début de la dynastie Qing, les ballades des provinces Jiangsu et Zhejiang ont été introduites à Changde. En combinaison avec la musique folklorique locale, celles-ci ont connu des évolutions et ont formé le genre de Quyi appelé Changde Sixian.
🎼Cette forme artistique doit son nom aux instruments à cordes utilisés pour l’accompagnement musical : la cithare yangqin, le luth Pipa, l’instrument à trois cordes sanxian, l’instrument à deux cordes huqin, etc. Les paroles sont chantées en dialecte de Changde.
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La plupart des jades de la culture de Liangzhu sont des néphrites, c'est-à-dire une roche et une variété verte de la trémolite, qui est habituellement blanche. Mais quelques-unes sont en serpentine, dans des tombes moins luxueuses et provenant de cimetières ordinaires.