@EMA_News : « L’injection du vaccin aux femmes enceintes doit être envisagée seulement si les bénéfices potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus »
L’EMA parle de « vaccin à ARNm à nucléosides modifiés »
✅ Modifié : la conception de cet ARN a en effet fait appel au génie génétique pour modifier sa structure moléculaire.
❌ Il n’est pas mention dans cette appellation du fait que cet ARN est un produit synthétique.
On parle bien d’une molécule synthétique dont le processus de fabrication exact est gardé secret par l’entreprise, et qui fait appel à des processus de synthèse chimique.
C’est un ARN artificiel, différent de l’ARN naturel produit par les êtres vivants google.fr/amp/s/amp.fran…
Or, diffuser de nouveaux produits commerciaux (et lucratifs!) issus du génie génétique et de la biologie synthétique n’est pas anodin et doit faire l’objet au préalable d’un débat public démocratique et d’une réflexion éthique, exactement ce que ne veulent pas les industriels.
❌ Aujourd’hui, fabriquer de nouveaux gènes, réécrire des génomes entiers, créer de nouveaux organismes, repenser la vie et son évolution, tout cela est désormais possible grâce à la biologie synthétique. quebecscience.qc.ca/sciences/biolo…
Les premiers organismes génétiquement modifiés (OGM) étaient le fruit du transfert d’un gène d’un organisme à un autre −d’où le terme transgénèse
Voici venu le temps des créations génétiques artificielles, programmées à partir d’un ordinateur, puis introduites dans un organisme
Depuis deux décennies, les coûts de la synthèse et du séquençage de l’ADN ont drastiquement chuté ; les outils bio-informatiques et les algorithmes se sont développés ; les nouveaux outils biotechnologiques pour éditer l’ADN, comme CRISPR, se sont démocratisés…
Tout cela nous permet d’imaginer et de créer, pour de vrai, des constructions génétiques qui n’existaient pas, et de les insérer dans un hôte à un endroit précis dans son génome.
Or, le contrôle démocratique est absent au profit de multinationales et de chercheurs déviants...
On peut désormais agir sur les organismes en ordonnant temporairement à leur génome de produire via nos cellules telle ou telle molécule (vaccin à ARN), on peut aussi les doter d’un caractère additionnel permanent, manipuler en profondeur le génome voire le réécrire intégralement
C’est de la biologie vue à travers les yeux d’ingénieurs, d’informaticiens et de codeurs observe Vincent Martin, Pr. à l’Univ Concordia (Montréal). Elle est le fait de scientifiques frustrés par la progression par “essais et erreurs” qui prédomine en biologie traditionnelle.
L’industrie crasse préfère des systèmes standardisés, avec des résultats prévisibles et constants. C’est plus sûr pour ses investissement et sa rentabilité. Alors on applique de plus en plus cette approche au vivant.
Dès 2010 une équipe du Maryland a introduit dans une bactérie vidée de son génome une copie de ce génome entièrement synthétisée en laboratoire, créant ainsi « la première espèce capable de se répliquer dont le parent est un ordinateur ».
En 2013, deux équipes de Yale et Harvard ont reprogrammé des bactéries E. coli pour leur faire produire des protéines jamais vues dans la nature et les rendre plus résistantes aux virus. On ne parle plus d’OGM mais d’OGR, soit des organismes génétiquement reprogrammés.
En 2014, une autre équipe a synthétisé un chromosome entier, soit plusieurs centaines de gènes. Et ce, non pas chez une bactérie, mais chez Saccharomyces cerevisiae, la levure de boulangerie, qui est un eucaryote, c’est-à-dire un être plus complexe (nous sommes des eucaryotes).
En mai 2019, une équipe du Laboratoire de biologie moléculaire MRC situé à l’Université de Cambridge, au Royaume-Uni, a annoncé dans Nature la synthèse du génome complet de la bactérie E. coli (voir l’infographie ci-dessous).
L’équipe a remplacé chaque petit segment d’ADN naturel par son équivalent produit artificiellement. Au passage, les chercheurs en ont profité pour récrire les règles du jeu. « Le code génétique contient une certaine redondance. On a simplifié ce code. » declare un chercheur.
Le but est d’optimiser le vivant en l’artificialisant.
Résultat : « la nature emploie 64 codons, mais notre bactérie n’en utilise que 61 », reprend Wes Robertson. « Et la bestiole fonctionne bien, même si elle se reproduit plus lentement que ses pairs. »
Début 2019, des chercheurs de Floride ont poussé le concept encore plus loin. Ils ont annoncé, dans la revue Science, avoir créé quatre nouvelles bases, nommées cette fois S, B, P et Z, qui doublent l’alphabet original et peuvent être insérées dans l’hélice d’ADN.
On parle même de faire disparaître les 4 bases naturelles pour créer de nouvelles formes de vie, inspirées de l’originale, mais qui seraient incompatibles avec les virus (qui recourent à l’alphabet naturel) et donc inattaquables.
Ça revient un peu à transformer sa chair en acier
Car au-delà des exploits d’ingénierie, ces transhumanistes ont l’ambition de fabriquer des molécules ou des organismes « utiles » : méduses modifiées qui traquent et détruisent des polluants ; levures qui produisent des bioplastiques et des carburants etc...
Si nous ne reprenons pas un contrôle démocratique sur la Recherche et l’Industrie, les multinationales imposeront la modification du vivant (et la privatisation du vivant qui va avec) comme solution « écologiques » et pour leurs propres bénéfices.
À l’Université Concordia de Montréal, un pavillon avec au sous-sol, des machines imposantes munies de bras robotisés pipettent des solutions d’ADN dans des centaines de petits puits. « C’est notre fonderie de génomes, la seule au Canada, indique Vincent Martin.
« On y assemble en accéléré de grands nombres de séquences d’ADN afin de fabriquer des génomes à insérer ensuite dans des êtres vivants. »
Fonderie, circuits, interrupteurs, châssis biologiques, oscillateurs génétiques... les termes contrastent avec ceux des sciences du vivant.
Même l’expression « être vivant » disparaît au profit de l’expression « système biologique ».
V. Martin cherche un potentiel commercial. « On veut par ex. que l’organisme synthétise de l’acide adipique, une substance a la base du nylon qu’aucun organisme ne produit naturellement
J’ai pas traduit «summary» j’ai dit qu’une étude (en cours) et 400 pages sur un vaccin génique* expérimental, à la technologie non éprouvée, sensé être administré en masse, pour un #NoFake ça envoie peut être du lourd mais dans la Recherche c’est sommaire, c’est même rien du tout
Déjà, au delà du vaccin de Pfizer ou de celui de Moderna, la technologie employée, l’ARN modifié synthétique, jamais autorisée sur l’humain auparavant, n’est pas encore officiellement reconnue comme efficace, médicalement, par la communauté scientifique.
Les plastiques sont produits par l’industrie pétrochimique, ils pourraient être facilement remplacés par des materiaux à base de cellulose, d'amidon ou même de chanvre, mais la majorité sont fabriqués à partir de produits pétroliers polluants, pour des questions de rentabilité.
L’AGRA « Alliance pour une révolution verte », financée par la fondation Gates, dirige son « aide humanitaire » vers le développement d’une agriculture OGM, chimique et intensive en Afrique depuis 2006.
Gaël Sliman a longtemps hésité entre l’influence et le sondage, et visiblement, il hésite encore. L’institut Odoxa reprendre le flambeau d’une conception pour le moins ambigües du métier de sondeur.
Odoxa le fait volontairement en dégageant les bons pourcentages pour les bons clients, au lieu d’essayer de refléter au mieux l’opinion réelle du pays. ojim.fr/agence-odoxa-s…
« C'est Deliveroo, le vrai responsable. C'est Deliveroo qui fait travailler un sans-papier » selon l'avocat des restaurateurs juifs. lefigaro.fr/faits-divers/j…
« Deliveroo n'est pas cité à comparaître et n'aura pas à expliquer son action. C'est comme si on voulait exonérer Deliveroo de toute responsabilité. Les lampistes ont été convoqués et pas le bénéficiaire du système » toujours selon l’avocat.
Les actionnaires de deliveroo : Amazon (16%) et des fonds d’investissement britanniques et américains (T Rowe Price, Fidelity Management & Research Company, Greenoaks, General Catalyst, Bridgepoint).