Requérants : SYNDICAT DES MEDECINS D’AIX ET REGION (SMAER) et autres...
Bravo à nos médecins courageux, sérieux, et indépendants :
Lors de l’audience (avec 1 représentant du ministère et 2 de l’ANSM), le juge a fait préciser les modalités de l’étude du dossier.
L’ANSM doit écrire aux 8 labos bénéficiant de l’AMM, qui ont 3 mois pour renvoyer un dossier scientifique.
Mais l’ANSM tarde à lancer la procédure
Pourtant, pour le Remdesivir, la décision a été prise en quelques semaines, alors qu’il est plus difficile d’obtenir une ATU (Autorisation) qu’une RTU, car la RTU concerne des médicaments aux effets connus, ayant déjà une AMM, alors que l’ATU concerne des médicaments sans AMM.
En outre, les labos ne seront pas intéressés, ne dépenseront pas un centime pour un travail qui profitera à d’autres, la molécule étant dans le domaine public, et donc orpheline, sans labo pour financer des études et en faire un produit lucratif comme le Remdesivir ou les vaccins
Les requérants ont donc proposé à l’ANSM de leur fournir les éléments (ils les ont tous) que leur fournissent habituellement les labos. Habituellement ils ont le travail tout mâché par les labos, ils n’ont qu’à valider.
Pour le Remdesivir ils ont travaillé comme pour la certification du 737 Max pré rédigée par Boeing, les effets rénaux graves et le peu d’efficacité étaient connus quand ils ont validé le bénéfice/risque.
Comment justifier une telle différence de traitement !?
Les requérants ont insisté sur l’urgence, avec une seconde vague qui n’est pas finie que la troisième commence, qu’une politique du tout vaccin commence à battre de l’aile avec les délais et surtout les mutants,
et qu’il est urgent de considérer des traitements qui ont fait suffisamment la preuve de leur efficacité et de leur innocuité (en tout cas d’avantage que les vaccins géniques expérimentaux), pour être essayés, et que la France ne devait pas une fois de + se retrouver à la traîne.
Cette urgence a bien été soulignée par le juge dans ses considérations.
Et maintenant ? L’ivermectine sera bien reconnue prochainement comme un traitement efficace contre le #Covid, mais pas par les autorités françaises.
Pourquoi ? Parce que la décision finale sera prise par des énarques, qui tiennent tous les postes décisionnels du pays. En plus de leur absence d’indépendance d’esprit, je n’ai jamais vu un énarque dire de lui même « désolé, j’ai fait une erreur, on va changer cela ». Jamais.
Pourtant l’erreur est humaine, et la reconnaître donne ensuite plus de crédibilité, mais ce ne sont pas des hommes, ce sont évidemment des surhommes, d’où leur salaire 💶.
Alors la réponse sera « Signes d’efficacité, mais études insuffisantes, il en faut d’autres pour décider ».
Alors qu’il n’y a que des études favorables, dont 18 RCT, faites dans les normes qu’ils réclamaient pour le Pr Raoult.
Par contre quand un autre pays comme les USA ou le Royaume Uni, ou l’OMS validera l’ivermectine, ils embrayeront (et ne seront pas les seuls).
Ils diront : « nous avons toujours suivi le consensus international, en n’approuvant pas quand ils n’approuvaient pas, en approuvant quand ils approuvent ». Je n’ai pas tort, c’est les autres.
Voilà à quoi notre pays en est réduit. Voilà à quoi tiennent nos politiques de santé.
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#Thread ☠️ L’Afrique en proie aux firmes agrochimiques
Les agriculteurs de Kano, au Nigéria, appellent à interdire les #OGM en raison de leurs effets néfastes sur leur système agricole, leur santé et l'environnement. #Soutien! vanguardngr.com/2021/01/farmer…
À la fin des années 1990, des chenilles résistantes aux insecticides envahissent les champs de coton du Burkina Faso (70% des exportations du pays).
La production chute.
Monsanto arrive avec sa solution miracle : le coton transgénique (OGM) qui produit lui même l’insecticide.
Les expérimentations commencent dès 2003 sans étude d’impact ni débat public ni contrôle. Monsanto clame que c’est un succès total : des rendements exceptionnels, des paysans en meilleure santé... le tout prouvé par des études financées par Monsanto.
🔻 Un rapport commandé par le gouvernement britannique à l’Université Cambridge souligne que nos modèles économiques continuent d’être construits sans que la nature apparaisse comme une entité essentielle de notre vie économique : une aberration totale.
Notre propension à financer la destruction du tissu vivant découle, selon les auteurs, du fait que nos économies jugent leur « performance » en s’appuyant sur la mesure « erronée » de la croissance du produit intérieur brut (PIB), et donc de la création de richesse à court terme.
Ce paradigme « ne tient pas compte de la dépréciation des actifs, comme la dégradation de l’environnement naturel ».
Les scientifiques plaident au contraire pour une prise en compte de la valeur des « services écosystémiques ».
Les avocats, une profession libérale qui traite avec des clients, vont être autorisés à assumer la fonction de juge, normalement dévolue aux magistrats de la fonction publique, un statut qui garantie leur indépendance lemonde.fr/societe/articl…
« Une telle proposition est l’aveu criant du manque de moyens de la justice » selon Céline Parisot, présidente de l’Union syndicale des magistrats.
« C’est faire assumer une charge juridictionnelle à des personnes qui ne bénéficient pas des garanties du statut de magistrat et qui ne présentent pas non plus de garanties d’indépendance », alerte Céline Parisot.
#Thread Le regard de 7 spécialistes du droit, chercheurs et universitaires, sur les lois liberticides et la notion de « sécurité globale » diffusée par le gouvernement.
Le film est née de la sidération des universitaires interviewés en décembre 2020 durant les manifs contre la loi Sécurité Globale. Tous déclaraient être très inquièts.
CHRISTINE LAZERGES, Prof. émérite de l’Université Panthéon-Sorbonne
« Il y a dans le titre de cette de loi quelque chose d’effrayant, de l’ordre de l’énorme mensonge, la sécurité globale ne peut être qu’un mirage sauf dans un monde de la transhumanité que bien peu souhaitent »
🔻Renaud Piarroux, Chef de service à la Pitié Salpêtrière (APHP), membre de l'Institut Pierre Louis d’épidémiologie et de santé publique (INSERM), révèle les manigances de Bill Gates pour créer un marché du vaccin.
L’exercice du droit procède d’une mise en scène et son interprétation relève de l’arbitraire des juges. Chaque phase de la procédure permet de protéger les justiciables privilégiés et chaque faille dans la séparation des pouvoirs offre aux magistrats une opportunité de carrière.
Ceux qui atteignent les plus hautes fonctions ont su prendre les « bonnes » décisions dans leurs emplois précédents. À l’inverse, les juges opiniâtres qui n’écoutent pas les conseils de leur hiérarchie vont au-devant des ennuis.