Les USA vont investir "1.15 milliard de dollars pour enquêter sur le long COVID et les effets à long terme sur la santé d'une infection par le SARS-CoV-2" (environ 1 milliard € sur 4 ans)
À quoi ressemble les signes et le tableau de guérison de l'infection par le SARS-CoV-2 dans la population?
Combien de personnes continuent de présenter des symptômes du COVID-19, ou même de développer de nouveaux symptômes, après une infection aiguë #LongCovid #COVID19
Quelle est la cause biologique sous-jacente de ces symptômes prolongés ?
Qu'est-ce qui rend certaines personnes vulnérables au #LongCovid et pas d'autres ?
L'infection par le SARS-CoV-2 déclenche-t-elle des changements dans l'organisme qui augmentent le risque d'autres affections, telles que des troubles cardiaques ou neuro-psychiatriques chroniques ?
Le NHS cite l'étude sur 177 personnes publiée récemment dans le JAMA pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33606031/ indiquant que 9 mois après l'infection par le SRAS-CoV-2, un tiers des personnes signalaient encore des symptômes tels que la fatigue.
Il est absolument urgent que le @Sante_Gouv@olivierveran et l'Europe se saisissent de ce sujet, c'est une bombe à retardement sanitaire ; il est indispensable de lancer de vastes études su le sujet :
Céline Laville, Pdte du CNI sur @BFMTV sur la défiance vaccinale
"j'ai une collègue qui a eu une sclérose en plaque (SEP) après vaccination hépatite B"
Madame, c'est faux
C'est une vieille rumeur et il est étonnant qu'une soignante puisse émettre une telle hypothèse (farfelue)
"Les résultats...ne révèlent pas que la vaccination est un facteur de risque de SEP. Au contraire, ils suggèrent systématiquement que la vaccination est associée à une probabilité + faible d'être diagnostiqué avec la SEP au cours des 5 prochaines années" n.neurology.org/content/93/9/e…
De même, le ROR n'entraîne pas d'autisme (Andrew Wakefield a été répudié par ses pairs, en raison d'une falsification de ses données, et privé de l’exercice de la médecine au Royaume-Uni) bmj.com/content/342/bm…
La méthode : 2.000 pers de 18 à 64 ans (cross-sectional survey sur la population en âge de travailler, soit 58% de la pop totale), dans un fichier BVA, avec un auto questionnaire en ligne (genre, âge, niveau d'éducation, travail, milieu de vie, famille, ... cf 👇)
Autres données : IMC, tabagisme, antécédents à risque, maladies chroniques, Covid précédent ou non (avec perception de sa gravité), antécédent de PCR, personnes + dans l'entourage 👇
Puis exclusion des personnes ayant eu un #COVID19 (2,9% des participants, reste 1942)
Le #COVID19 serait désormais la 1ère maladie nosocomiale
Dans 57 % des cas (SPF), le patient était à l'origine de la contamination, dans 34 %, il s'agissait d'un professionnel et dans 6 % d'un visiteur. L'utilisation des chambres doubles pourrait expliquer 14% des cas nosocomiaux
Il serait donc urgent de vacciner les soignants des EHPAD, ou plutôt de les sensibiliser massivement à l’intérêt de cette vaccination, car 42,8% de professionnels exerçant en Ehpad/USLD ayant reçu une première dose de vaccin, c'est insuffisant.
Même si actuellement nous ne savons pas si le vaccin "stérilise" le vacciné (immunité stérilisante), et empêche toute contamination (ce qui est d'ailleurs rare en général), des études récentes sur les vaccins OA PB et M suggèrent qu'ils pourraient réduire la transmission du 🦠
Bien que Johnson & Johnson ait révélé des données montrant que son vaccin a un taux d'efficacité inférieur à celui des ARNm (72 vs 95% aux USA), les premiers jours du déploiement suggèrent que l'injection unique est très demandée, et le déploiement très rapide. #COVID19
Le vaccin Johnson & Johnson peut de plus être conservé au frigo pendant trois mois, ce qui facilite sa distribution dans des sites non médicaux (stades et centres de congrès par exemple)
Seuls les approvisionnements vont donc limiter l'accès
De plus il est réputé avoir moins d'effets secondaires, ce qui, dans un pays où l'arrêt de travail entraine des pertes de revenus,