C’est illégal selon la loi française, mais Corteva est la plus puissante multinationale américaine de l’agrochimie. L’équivalent de l’allemand Bayer-Monsanto. Et elle fait ce qu’elle veut en France avec la bénédiction de LREM et ce genre d’entrepreneur
« Après avoir lancé la variété de colza Agile, nous proposons cette année notre innovation génétique tolérante au sclérotinia. Nous avons de nombreuses innovations à lancer en maïs, tournesol, et soja dans les années à venir » (La Dir marketing de Corteva) terre-net.fr/observatoire-t…
Corteva, issu de la fusion de Dow Chemical et Dupont, c’est aussi ça :
C’est nimp cette manif. Le gars milite pour légaliser les nouveaux OGM au profit des multinationales de l’agrochimie. Comme si le patronat défilait main dans la main aux côté de la CGT.
Face à la législation en vigueur, Cédric Villani, député LREM élu président du bureau de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST),
affirmait le 22 octobre 2020 son ambition d’amener à la révision de la définition légale d’un OGM pour en exclure les techniques d’« édition de génome » comme CRISPR-Cas9.
Il y a 20 ans, le 24 mars 1999, 13 États membres de l’OTAN, dont les États-Unis, la France et l’Allemagne, bombardaient la Yougoslavie. Cette guerre dura 78 jours et se nourrit de bobards médiatiques destinés à aligner l’opinion des occidentaux sur celle des états-majors.
«Les Serbes commettent un génocide, jouent au football avec des têtes coupées, dépècent des cadavres, arrachent les fœtus des femmes enceintes tuées et les font griller», prétendit le ministre de la défense allemand, Rudolf Scharping, dont les propos furent repris par les médias.
Les « crises » n’existent pas pour les milliardaires. c’est un concept que les politicards, les actionnaires et le grand patronat relayent inlassablement par les médias dont ils sont propriétaires pour nous convaincre de faire des « sacrifices » monde-libertaire.net
Il s’agit pour ces rapaces, au nom des « crises », de pouvoir licencier, fermer des entreprises, réduire des prestations sociales, faire pression sur les salaires… tout en continuant de verser des dividendes mirobolants aux actionnaires, et faire des profits gargantuesques.
C’est ainsi que l’entreprise Sanofi, qui n’a pas été foutue de créer un vaccin ou de trouver un traitement pour lutter contre le coronavirus, après avoir reçu en 10 ans plus d’1 milliard d’aides publiques (notre argent), va licencier en France 1700 salariés, dont 340 chercheurs.
🔻Pourquoi l’ivermectine est méprisée par les laboratoires, le Gvt, et les autorités sanitaires alors qu’elle pourrait éviter des milliers de décès dus au COVID-19 ?
Nous avons affaire à des laboratoires privés. Pour survivre, ces laboratoires doivent en permanence innover. Pour financer la recherche, il faut des bénéfices, et sans bénéfices, pas de recherche, et sans recherche, plus de laboratoire.
Medincell développe une version injectable de l'ivermectine comme traitement préventif contre le COVID-19.
🔻Enquête ouverte après le décès d’un étudiant en médecine de 24 ans à Nantes.
Il avait été vacciné à l’AstraZeneca il y a 10 jours.
Le rapport de l’autopsie évoque « une hémorragie interne causée par une thrombose. » google.fr/amp/s/amp.oues…
La famille se pose des questions autour du vaccin :
« Mon frère, au-delà d’être quelqu’un de brillant, prenait soin de lui. Il faisait attention à ce qu’il mangeait, faisait du sport, n’avait aucun antécédent médical. Il était en parfaite santé. »
De son côté, l’Agence européenne du médicament (EMA) avait exclu la semaine dernière le lien entre la plupart des thromboses et la vaccination par AstraZeneca.
#Thread « Au rythme actuel, il est estimé que la pollution plastique des océans triplera d’ici 2040 pour atteindre 29 millions de tonnes par an, soit l’équivalent de 50 kilos de plastique par mètre de côtes à travers le monde. »
« Plastiqueurs » : entreprise qui détruit ou endommage l’environnement et la santé publique à l’aide de matières plastiques. » env-health.org/a-lire-les-pla…
Le vrai problème est la partie invisible et peu documentée de la pollution plastique, qui inclut la question fondamentale des intrants chimiques qui composent les différentes variétés de plastiques – bisphénols, phtalates pour les plus connus.