Thread by @MartinFierro769

1/n Est-ce que quelqu'un a remarqué que nous en sommes à la troisième crise mondiale parfaitement évitable en 13 ans, depuis 2008? Ces crises, non seulement creusent les inégalités en enrichissant les + riches et en appauvrissant les plus pauvres...

2/n ...mais rognent nos libertés au prétexte de la menace et de la terreur.
La 1ère crise fut provoquée par les banques et la finance, dans leur soif inextinguible d'accumulation des richesses. Elles en sortirent gagnantes et impunies, renflouées par les états, c'est à dire nous.

3/n Au prix de la souffrance, et de l'appauvrissement des peuples.
La deuxième crise, en 2009, fut provoquée par les Pharmas. Plus exactement par un groupe d'experts à l'OMS, restés anonymes, mais suspectés de forts conflits d'intérêts avec les Pharmas, qui décrétèrent la phase >

4/n>5 pandémique, permettant ainsi le déclenchement des pré-contrats de vente des vaccins aux état et la vente de centaines de millions de doses de vaccins aux états riches pour un virus grippal en réalité bénin.

5/n On pensa, plus tard, que ce virus était bénin, d'une part, parce qu'il était naturel, le résultat de mutations et recombinaisons lentes, et aussi parce que les personnes âgées l'avaient probablement déjà rencontré par le passé.

6/n Voici deux documents. L'un écrit par moi en septembre 2009 google.com/search?q=gripp… et un autre diffusé par ARTE à l'époque odysee.com/@personne:a/pr…

7/n Observer la réaction des gens au début du reportage et l'interview de Drosten vers la mn 19 expliquant qu'il s'agit d'un virus bénin, en réalité d'une épidémie de grippe parfaitement banale.

8/n Cette 3ème crise est une prophétie auto-réalisatrice très très probablement due à un mélange de conflits d'intérêts, de révérence envers les autorités chinoises pourvoyeuses de contrats, d'intervntn trouble d'un intermédr P Daszak, ayant des relations très proches avec elles

9/n mais aussi d'une idéologie, l'idéologie scientiste, selon laquelle science et technologie sont synonymes de progrès. Selon cette idéologie la recherche scientifique, pour aussi dangereuse soit-elle, ne doit être ni limitée, ni encadrée, ni contrôlée.

10/n Si le virus semble cette fois bien plus virulent, mais essentiellement pour les personnes âgées ou souffrant de pathologies qu'on peut qualifier de sociétales, comme l'obésité et le diabète, c'est parce qu'il semble bien qu'il ait été fabriqué spécialement pour l'être.

11/n A chaque crise les échelles de valeurs sont bouleversées, la démocratie est rognée, les plus faibles souffrent et on annonçait il y a peu que 118 millions de personnes supplémentaires vont souffrir de la faim et 9 millions, dont des enfants, pourraient en mourir.

12/n On nous demande de tout mettre en suspend, y compris, de plus en plus, la démocratie, pour faire face, au nom de la terreur.

13/n Pendant ce temps, les plus riches, surfent sur la vague de panique, s'achètent des yacht privés à plusieurs centaines de millions pour mieux s'isoler. Ils peuvent se le permettre, cette crise leur a permis de s'enrichir de manière indécente, au détriment de tous les autres.

14/n Ce qui est préoccupant, lors de cette crise en dehors de l'appauvrissement et de la souffrance générés est le déficit démocratique croissant qui apparaît.

15/n L'attachement et les garde-fous démocratiques apparaissent bien fragiles en France, sous la coupe d'un "petit père du peuple" issu du monde de la finance, qui châtie et qui sermonne, avec un large acquiescement des médias.

16/n Sous sa coupe, les Français doivent travailler, oui, de plus en plus, pour des salaires décroissants, voient réduire leurs impôts, en échange de services publics y compris hospitaliers de plus en plus réduits, sont incités à consommer, ça oui, c'est très important pour la >

17/n >"croissance", même s'il n'est pas dit quelle croissance et pour quoi faire, mais, en revanche s'ils sortent manifester on leur casse la gueule, et s'ils ne marchent pas droit, on les prive de leurs droits élémentaires de citoyens.

18/n Nous ne sommes pas responsables de cette crise, en revanche c'est nous qui la paierons, et personne d'autre.

19/n Le coût d'opportunité de ces crises sont immenses. Elles nous laissent exsangues et incapables de nous atteler au plus grand défi qui nous attend, qui n'est pas une priorité pour les multinationales et la finance, de changer de civilisation pour ne pas éteindre l'humanité.

20/20 Petit à petit, le néolibéralisme nous enferme dans le double rôle de producteurs et consommateurs dociles, nous privant de tous nos droits de citoyens.