1/n Alors que les médias, et d'autres, s'efforcent avec constance et acharnement de présenter les refuzniks, ceux q refusent le principe du pass sanitaire et de la vaccination universelle, comme des semi-analphabètes, loufoques et écervelés, la réalité pourrait être plus nuancée.
3/n Mais d'abord, une anecdote personnelle. Je ne compte plus les personnes, autour de moi, qui, vaccinées, se comportent comme si le Covid n'avait jamais existé et ne prennent plus aucune précaution ni dans leur propre vie, ni surtout, par rapport aux personnes âgées vulnérables
4/n Je pose la question: avez vous autour de vous une majorité de personnes vaccinées qui se comportent comme cela ou trouvez vous qu'en général les personnes vaccinées sont prudentes et responsables?
5/n Ces personnes ont "gobé" les messages propagandistes sans aucune réserve. Elles sont persuadées ou ont envie de se persuader qu'elles ne représentent aucun risque pour les autres.
6/n Et si les différences dans les attitudes vis à vis du pass sanitaire et de la vaccination universelle pouvaient aussi s'expliquer par une différence dans l'échelle de valeurs?
7/n Cet article, cité plus haut, fait remarquer que le camp des sceptiques n'a pas été entamé par les intenses campagnes de communication pro-vaccination universelle aux USA. Ils sont toujours 40%
8/n Les pro-vaccination universelle et indiscriminée les traitent de conspirationnistes d’imbéciles et ne veulent pas s'abaisser à débattre. 
9/n Les motivations de ceux qui acceptent la vaccination universelle sont claires, elles sont de type hédoniste: la conviction que grâce à la vaccination on va retrouver tous les plaisirs de la vie, sortir faire la fête...
10/n Ils en veulent donc beaucoup à ceux qui semblent s'interposer et contrarier cette perspective en refusant la vaccination universelle telle que le gouvernement cherche à l'imposer.
11/n D'un autre côté, bien que les figures mises en avant dans le camp des refuzniks puissent être des conspirationnistes ou des leaders politiques motivés par leurs ambitions personnelles, ils ne sont pas représentatifs des 40% de refuzniks américains.
12/n Une étude a montré qu'en réalité, bp de refuzniks ont des motivations à la fois rationnelles et basées sur des principes moraux. Les refuzniks ne sont pas les abrutis que la propagande scientiste veut nous faire croire. Ils sont en fait plutôt éduqués.
13/n Leurs motivations sont complexes, à la fois moins conformistes et égoïstes que celles des convaincus. Leurs questionnements tournent autour du rapport bénéfice-risques, de la défense des libertés fondamentales, d'une analyse critique des incohérences des décisions prises.
14/n Ce peut être des personnes qui sont prêtes à sacrifier leur bien-être personnel à des principes et non simplement des personnes qui sont irrationnellement terrorisées par des vaccins comme on les a constamment dépeintes.
15/n Les refuzniks ont bien vu que le débat, en particulier, en ce qui concerne le rapport bénéfice-risque des vaccins pour les enfants et adolescents a été totalement escamoté blogs.bmj.com/bmj/2021/07/13…
16/n Entre deux risques, ils préfèrent prendre celui d'une maladie due au hasard qu'un risque qu'ils s'infligeraient, à eux mêmes ou à leurs enfants, volontairement.
17/n Le calcul, très complexe, du rapport bénéfice-risque, leur donne plutôt raison, en ce qui concerne les risques graves. Via @capalutwit
https://twitter.com/RWMaloneMD/status/1416426039039909894
18/n Noter qu'ici le calcul du rapport bénéfice-risque est présenté sur la base d'évènements instantanés et d'un bénéfice comme d'un risque mal connus, en réalité.
19/n Ce qu'on peut dire c'est que les bénéfices d'un vaccin tendent à décroître avec le temps et qu'ils sont d'autant plus surestimés qu'ils seront calculés sur une courte période de temps, ce qui est une constante pour ces vaccins.
20/n Les risques du vaccin commencent le jour de la vaccination, vaccination qu'on veut très rapide et massive. Ils sont très mal connus et tendent à apparaître, à condition d'être activement recherchés, avec le temps.
21/n Les risques de la primo-infection, c'est à dire du seul type d'infection qui peut représenter un risque relativement important selon l'état de santé et l'âge, s'étalent sur plusieurs années.
22/n Le calcul instantané du rapport bénéfice-risque est donc excessivement favorable au vaccin, pour cette raison parmi d'autres.
23/23 Voici un excellent texte, paru dans un journal de droite, et je ne suis pas de droite, qui explique avec panache les enjeux des orientations prises q sont bien plus fondamentaux que la présentation caricaturale faite par les médias via @Paul_Gaspais
https://twitter.com/FouquetVictor/status/1415582258958852098
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