J'en profite pour poser une question aux professionnels des médias sur le traitement des sujets scientifiques. Les grands médias ont des journalistes scientifiques.
Ces derniers sont-ils consultés lorsqu'un sujet scientifique doit être abordé dans une autre rubrique ? 1/6
Dans l'exemple là, on présente un documentaire qui parle d'un remède contre le paludisme. C'est traité dans le rubrique TV (@TVMAG ). OK. C'est forcément écrit par un journaliste de la rubrique TV (@dechab). OK.
Normal. 2/6
Sauf que, sur le fond du sujet abordé, la réalité est un poil plus complexe, comme on peut le voir ici (@LeFigaro_Sante par @CecileThibss )...
Bien-sûr, on ne va pas demander aux journalistes scientifiques de rédiger les articles de la rubrique TV...
3/6
Mais est-ce que des collaborations, des synergies, ne seraient pas souhaitable ?
Quand on cause foot, on met en avant des journalistes spécialisés dans le sport. Sans aller jusque là, ne pourrait-on pas au moins recourir aux compétences internes sur les thèmes scientifiques ? 4/6
Ne pourrait-on pas imaginer de solliciter les journalistes compétents sur les thèmes scientifiques, même pour un article en dehors de leur rubrique, histoire de vérifier les informations ?
Ici, je parle de cette histoire d'Artimisia et je prends l'exemple de @Le_Figaro .
5/6
...Mais forcément que je pense aussi très fort à ce qu'il se passe depuis le début de la crise du Covid et ce dans la majorité des médias.
6/6
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Nous avons connu des restrictions bcp plus light que des pays comme la France.
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Pas de limitations dans les déplacements, juste des recommandations, même au moment "le plus dur". Les attestation de déplacement comme en France, on n'a jamais eu ça.
2/16
Alors oui, on a fermé les bistrots à certains moments, et certains commerces. Et dans les supermarchés les rayons jugés "non-essentiels" étaient rendus inaccessibles.
Et on le masque est devenu obligatoire à l'intérieur dans plein d'endroits.
3/16
Vous savez, on oppose souvent "les médicaments chimiques" prescrits par "la médecine officielle" aux "médicaments naturels" prescrits par la "médecine alternative".
Et en gros, vous êtes sensés choisir l'un ou l'autre.
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C'est souvent un argument de marketing.
"Ma poudre de perlinpinpin, 100% naturelle, que je vous offre au prix de CHF 29.90 la boîte au lieu de CHF 35.10 (rien que pour vous, profitez en), vous évitera d'avoir à vous gaver de médicaments chimiques de chez Big Pharma."
2/13
Paludisme : la résistance des parasites aux dérivés de l’artémisinine touche maintenant l’Afrique pasteur.fr/fr/espace-pres…
Daté d'août 2020.
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On savait que le parasite responsable de la malaria avait développé une résistance au principe actif de l'Artémésia dans certaines zones d'Asie. Et on craignait que ça se répande.
D'où des controverses.
Articlé daté de 2018 sante.lefigaro.fr/article/paludi…
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Je n'ai pas encore pris le temps de visionner "Malaria Business". Mais selon le résumé, on ramène ça à une histoire de remède efficace, naturel et bon marché qui serait dénigré par des lobbyistes au service de Big Pharma.
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Ou alors est-ce qu'il ne critique le principe du fact-checking que lorsque ça porte sur son travail à lui ?
Hein ?
Comme disent les conspi : je pose juste la question...
Soyons clairs. C'est une polémique puante.
Le Ministre français de l'Éducation a repris à son compte un vieux hoax 1000 fois débunké (cet article date de septembre 2016...) 3/9