#Thread L’épidémie de Zob n’est que la conséquence de l’accélération de la privatisation de la société et de la radicalisation de la pensée manageriale
Les aficionados des vaccins ont débridé le capitalisme qui déroule le tapis rouge à l’extrême droite pr valoriser le macronisme
La privatisations du secteur public et de la société toute entière est intimement liée à la pensée manageriale, à différencier évidemment du nazisme, mais qui est tout de même fille du nazisme (Cf Chapoutot franceculture.fr/emissions/la-g…).
Le management est l’art de produire le consentement et l’illusion d’autonomie chez des sujets aliénés, il est utilisé pour sauvegarder les fondements du système économique dominant en imposant des mesures contraignantes aux individus plutôt qu’aux entreprises.
La crise sanitaire a débuté alors que le peuple français était engagé dans l’une des batailles les plus importante de son temps : la défense du service public et du système de retraite, le cœur de notre modèle social, l’emblème de notre République sociale et solidaire.
L’attaque n’était pas juste une énième réforme abaissant nos droits sociaux, c’était d’ordre philosophique, entamant la transition d’un modèle socio-économique socialisant, égalitaire et performant vers un modèle capitaliste, inégalitaire et défaillant
Le mouvement des Gilets Jaunes a ajouté une profondeur politique et philosophique inestimable à ces revendications en alertant sur la nécessité de la démocratie participative, en prenant comme symbole le RIC, en organisant des assemblées populaires.
On avait là les deux ingrédients nécessaires pour faire advenir une République sociale, solidaire et écologique :
- l’a-capitalisme (socialisme, communisme, solidarisme*... peu importe le nom)
- la démocratie.
Une bombe atomique contre la classe capitaliste.
Cette joyeuse et courageuse furie populaire et citoyenne, capable de jeter hors de nos frontières le vrai danger, le capitalisme crade et radicalisé, aka le capitalisme industriel et financiarisé, s’est pris le mur de la crise sanitaire en pleine face.
Ironique. Au moment où un sursaut révolutionnaire prenait la France aux tripes, un simple virus vient la démolir en révélant l’impact des mesures contre-révolutionnaires menées depuis des décennies et en exacerbant leurs conséquences sociales et sanitaires.
Et pendant qu’on était tous cloîtrés, isolés, masqués, déprimés, désocialisés... les riches se sont gavés comme jamais, ils ont continué de précariser le service public, acheté des médias, investi dans l’industrie crade de demain, surinvesti dans le greenwashing et le biopouvoir.
Et la gauche reniait les siens, ne voyant que des complotistes et des racistes dans les sceptiques de l’industrie pharmaceutique et du système de santé privatisé, créant de toute pièce avec les macronistes un groupe de marginaux éjectés de la vie politique... et de la vie sociale
Pourtant la gauche avait jusque là toujours su pointer les mésusages des vaccins par les Gvts de droite, dès les premières lois d’obligation vaccinale, notamment la loi anglaise de 1853 qui obligeait en théorie tous les enfants à se faire vacciner contre la variole.
En réalité, seule la vaccination des pauvres était surveillée à l’entrée des usines, des ateliers ou des établissements de charité.
Les gauches européennes dénonçaient les libéraux qui utilisaient la vaccination comme fer de lance de l’industrie chimique et prétexte pour désengager l’État de l’aide sociale et de l’hygiénisme classique incarné par James Chadwick et François-Vincent Raspail.
La défiance envers les vaccins accompagne la naissance des premiers mouvements ouvriers, féministes et de protection animale – l’expérimentation animale devenant nécessaire à cette nouvelle médecine biologique qui émerge.
Il n’est ainsi pas étonnant qu’entre 1870 et 1945, tous les votes contre les lois d’obligation en Europe coalisent une partie des démocrates-chrétiens et des ténors de la gauche progressiste, tel Adolf Vogt 🇨🇭 ou Julius Moses 🇩🇪
Dans les années 1960 et 1970, le climat général de remise en cause du scientisme et du complexe militaro-industriel alimente la défiance de la gauche envers les vaccins, le développement de l’industrie pharmaceutique est questionné et le profit de qqs multinationales est dénoncé
Aujourd’hui, seule LFI, derrière son opportunisme politique mal placée, a montré une capacité à écouter les vrais experts en philosophie politique et en santé publique, et malgré un programme économique peu ambitieux, tient encore la barre de la République sociale et solidaire.
La levée des brevets est une revendication purement démagogique quand on prône de vacciner les gens avec des produits brevetés par le Gvt US qui n’hésite pas, dans d’autres dossiers, à cracher sur la France pour quelques milliards de dollars.
Il faut savoir ce qu’on veut, et la lutte anticapitaliste sait ce qu’elle veut, et aucune guerre, aucune épidémie, aucune catastrophe naturelle, aucune pression sociale ni politique ne la fera dévier de sa priorité : extraire le peuple libre des griffes du capital.
Les produits à base d’ARN auront peut être permis de diminuer un peu la mortalité chez les + de 70ans dans les sociétés qui les maltraitent déjà de base et qui empoisonnent les gens
Ils ont surtout radicalisé le capitalisme libéral et régénéré l’impérialisme américain pour 10ans
Ils ont lancé le top départ de la démocratisation des biotechnologies vendues par le secteur privé en les imposant comme la chose la plus essentielle au monde, jusqu’à être obligatoire, quand en même temps il devient hors de prix d’accéder à une alimentation saine et équilibrée.
Dès lors c’est évidemment reculer pour mieux sauter. Et tout est en place jusqu’aux antennes 5G et aux moustiques OGM pour sauter le plus loin possible dans l’horreur d’une société privatisée, sécurisée, contrôlée, numérisée, empoisonnée, précarisée, dévitalisée, extrêmedroitisée
La crise aura contribué à faire de la santé publique et de la recherche une question résolument politique, intéressant l’ensemble des citoyens
Réjouissons nous que la santé et le savoir scientifique aient mnt aux yeux de tous le statut de choses publiques terrestres.org/2020/06/26/fai…
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Ce business model agressif et invasif est né du Brexit qui a entraîné l’avènement d’un nouveau régime d’accumulation du capital. Celui-ci n’est plus porté par les institutions habituelles de la finance, c’est-à-dire les banques, les assurances et les fonds d’investissement,
mais par les acteurs de la 2ème financiarisation : les hedge funds, qui spéculent sur des actifs titrisés, les fonds de capital-investissement, qui prennent le contrôle de firmes non cotées, ou encore les fonds de trading à haute fréquence et les fonds de spéculation immobilière.
Les informations actuellement disponibles permettent d’affirmer que :
2014-2019 : les NIH (Gvt US) financent des chercheurs de Wuhan pour développer des coronavirus (SARS et MERS) génétiquement modifiés capables d’infecter l’humain via Spike.
Le vaccin ZyCoV-D contient un brin d'ADN synthétique qui code pour la protéine Spike, ainsi qu'une séquence génétique activant le gène injecté.
Une fois que l’ADN pénètre dans les noyaux de nos cellules, il est converti en ARNm, et ce dernier est ensuite traduit en protéine S.
C’est la différence avec les vaccins à ARN dont la substance active vise le cytoplasme, et n’a pas besoin d’aller dans le noyau de nos cellules pour être traduit en protéine Spike. nature.com/articles/d4158…
@force_ouvriere s’est positionné contre les sanctions prévues par la loi sur la crise sanitaire le 10 août.
La CGT et SUD exigent le retrait du Pass sanitaire et demandent plus de moyens et de personnels pour les services de santé, ainsi que la levée des brevets, notamment.
SUD exige clairement l’abrogation de l’obligation vaccinale.