Lino Ventura se bagarrant en braies dans "Deux Romains en Gaule", ça vaut le détour !
Une charmante pochade gauloise inspirée des aventures d'#Astérix, avec Jean Yanne, Pierre Mondy, Roger Pierre, Jean-Marc Thibault, Pierre Tornade...
Le patron du café de Flora me rappelle un célèbre scénariste de BD... 🤔
Son établissement est fréquenté par des poètes et des philosophes célèbres. L'un d'eux est sans doute en train de graver ses pensées. Signera-t-il Furax ?
"Je prendrai un saucisson chaud de Lugdunum." 👍
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Toujours dans le Moniteur : alerte au vin frelaté à Paris en 1793 !
"La section de l'Unité dépose des procès-verbaux dressés par des chimistes qui prouvent l'improbité et la cupidité de beaucoup de marchands de vin qui mixtionnent cette boisson d'une manière dangereuse".
⚗️🧪🍷
On a dû arrêter la fabrication, il y a des sans-culottes qui devenaient aveugles...
Finalement, la Commune nomme des "commissaires dégustateurs" chargés de débusquer les fraudeurs...
(extrait du "Moniteur universel" du 8 frimaire an II-28 novembre 1793).
Une petite merveille gothique à la frontière de la Bourgogne et du Forez : le cloître du couvent des Cordeliers de Charlieu (Loire), édifié fin XIVe-début XVe siècle.
Un fil promotionnel dédié à @Pierremorac. 1/9
Les chapiteaux du côté nord illustrent les vices et les vertus. On y croise des singes enchaînés, un chien encapuchonné et un cochon. 2/9
Beaucoup d'animaux étranges, dont certains à tête humaine, directement échappés du laboratoire d'un savant fou ! Mention spéciale pour le porc-épic à pattes de chèvre. 3/9
Moment préféré des dépouillements d'histoires diocésaines de la Révolution française publiées à la fin du XIXe siècle : les châtiments divins, rapportés par la "tradition", qui frappent les profanateurs.
Ici, le briseur de croix dont le corps finit lui-même par se déliter... 1/n
Les briseurs de croix se font aussi briser les jambes. Logique. 🤕 2/n
Rira bien qui rira le dernier.
Bien avant Gwynplaine et le Joker, le rictus maudit du citoyen Rajaud... 3/n
Le rendez-vous incontournable de juin : plaisir de recevoir le volume annuel "Dix-huitième siècle", la revue de référence des dix-huitiémistes francophones, éditée par @SFEDS3. Avec un dossier "Peuple en colère". 1/4
Comme l'année dernière, un n° sous le signe de l'engagement en faveur d'une recherche collective de qualité, loin du trompe-l'oeil de "l'excellence", destiné à masquer l'actuel gâchis de compétences, la vraie gangrène de l'université. Bcp d'articles co-signés Camille Noûs. 2/4
Bien sûr, dans une thématique "peuple en colère", plusieurs articles traitent de la période révolutionnaire. 3/4
Complément indispensable de l'exposition "Les Flandrin, un parcours entre Lyon, Paris et Rome" au @mbalyon, visite de l'église Saint-Germain-des-Prés à Paris pour admirer les décors peints par Hippolyte Flandrin (1842-1863), dont la restauration s'est achevée il y a 1 an. 1/6
Pour dépasser les procès d'intention, je vais vous parler d'un de mes sujets de recherche à travers une brève chronologie pour comprendre, de 1789 à nos jours, la pluralité du royalisme en France. Utilisé seul, ce terme n’a aucune raison de servir d’anathème politique. 1 /15
Le terme « royaux » apparaît d’abord à la fin des Guerres de Religion (an. 1590), pour désigner les partisans d’Henri IV opposés aux ligueurs. Dans les années 1780, le mot « royaliste » est utilisé pour qualifier les partisans du réformisme autoritaire de Louis XVI. 2/15
En 1789, le terme royaliste désigne les partisans de l’absolutisme et ceux (les monarchiens) qui acceptent la Révolution tout en défendent une supériorité du roi sur l’Ass. nationale. Laquelle fait le choix d’un pouvoir législatif fort (tout en gardant la forme monarchique). 3/15