"People with long Covid present various symptoms, but we don’t find anything amiss when we examine them!"
Really?
Here’s a brief overview of physiopathology with objective evidence and biomarkers widespread in long Covid cases: [thread] #FlawedJAMAStudy#ApresJ20#JAMAgate
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Hypometabolism of the central nervous system correlating to neurological problems, observed via PET scan of the brain: sciencedirect.com/science/articl…
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L'émission 24H Pujadas du mardi 16 novembre présente l'étude JAMA sur un lien supposé entre la croyance d'avoir été infecté et le Covid long, et énonce des graves contre-vérités et des fake news.
A 14' de l'émission, la journaliste @justinefraysslci.fr/replay-lci/vid… #JAMAgate
/ Justine Frayssinet dit que l'étude a suivi 27000 patients qui présentaient des symptômes persistants après une infection supposée au covid.
Cette information est totalement fausse.
L'étude ne parle que de 914 personnes.
/ @CheckNewsfr@AfpFactuel@decodeurs @20minutesFakeOff
"A total of 914 participants reported having had COVID-19 infection before the serology test, including 453 (49.6%) with a serology test result positive for SARS-CoV-2 (Table 2)."
C'est d'ailleurs toute l'habilité de l'étude qui impressionne avec une cohorte de 27 000 personnes /
Sur les plateaux tv, @DavidPujadas, @MartinBlachier, Caumes, Calvi, s'appuient sur l'étude de @JAMAInternalMed sur les liens entre croyance et symptômes du covid long, en reprenant ses conclusions.
Cette étude est scientifiquement et MATHÉMATIQUEMENT fausse. #FlawedJAMAStudy 👇
"L'étude est solide grâce à une très grande cohorte".
En fait, non, les groupes significatifs sont petits, voire négligeables.
Il est évoqué 30 000 personnes dans la cohorte, mais en réalité on s'intéresse à seulement 1000 patients qui sont positifs. #FlawedJAMAStudy
[2/n]
D'autres études ont déjà été publiées sur des dizaines de milliers de personnes *infectées*, donc bon, on est loin de la cohorte en béton dans cette étude.
Pour les auteurs, les auteurs qui ont eu le covid auront une sérologie positive. Toute leur analyse est basée sur cela.
3/n
Sont interrogés :
🔹Dr David Strain, Maître de conférences clinique principal, Université d'Exeter
🔹Prof Kevin McConway, Professeur émérite de statistique appliquée, The Open University
🔹Dr Jeremy Rossman, Maître de conférences honoraire en virologie, Université du Kent
.../...
D. Strain : “It misses a very simple explanation. Whether the participants had COVID or not, there is no doubt that they were experiencing some illness that they attributed to COVID. There are multiple viral illness other than COVID that cause “long symptoms””.
.../...
"L'expérience antérieure peut influencer les symptômes actuels, mais les symptômes actuels peuvent influencer (le souvenir) de l'expérience antérieure. Il n'y a tout simplement aucun moyen de savoir ce qui se passe."
Poke @pascale_santi@sfoucart
"les chercheurs n'ont pas vérifié d'autres infections, de sorte que leur conclusion selon laquelle les symptômes de longue durée de ces personnes doivent avoir été causés par des «croyances» tombe à plat"
"Ils ne peuvent pas déduire une explication de « croyance à la maladie »
[corrélation CL/ infection - suite]
L'article du Monde sur l'étude Matta et al. publiée dans JAMA évoque un argument de C. Lemogne. ⬇️
Les auteurs disent ne pas trouver non plus de corrélation significative entre ce critère combiné et les symptômes.
Etudions l'argument.
C. Lemogne fait référence à ce tableau, et à la nouvelle colonne Model 7 :
Pour que cet argument soit décisif, il faudrait que la spécificité du critère "test biologique (PCR, test rapide) et/ou diagnostic d'un médecin" soit meilleure que celle des tests sérologiques.
Or les auteurs de l'étude n'évaluent ni la spécificité combinée de ce critère,