▪️ Elle booste les niveaux en anticorps anti-Spike
Dose 2 vs Dose 3
▪️ Efficacité contre l'infection symptomatique de 84-94%
▪️ Efficacité contre les formes sévères de 92%
▪️ Aux USA ≥93% des effets indésirables ne sont pas graves
Pourquoi la 3è dose ? 1- L'épidémie reprend partout très rapidement en Europe ➡️ éviter la saturation des hôpitaux, l'apparition de nouveaux variants
A 6 mois les vaccins autorisés en Europe restent efficaces contre les formes graves de COVID-19 mais l'efficacité diminue contre l'infection asymptomatique et symptomatique mais n'est pas nulle !!
4- Les vaccins réduisent la transmission de Delta et Alpha chez les cas contacts vaccinés de 40-71% et accélèrent la clairance virale
Quand on compare les personnes ayant reçu deux doses vs une 3è dose, on a un retour à une efficacité élevée contre l'infection symptomatique et les formes graves
▪️ 14-29 effets graves déclarés par million de doses aux USA
▪️ Sur 25 millions de 3è dose aux USA, la plupart des effets indésirables non graves (95% des effets indésirables !) sont attendus : mal de tête, fièvre, fatigue, douleur, frisson
▪️ Dans les effets graves rapportés sur 25 millions de doses : dyspnée, décès, fièvre, douleur à la poitrine, asthénie
⚠️ Un effet rapporté n'est pas forcément attribuable au vaccin (il n'y a pas forcément de causalité)
Parmi les 82 décès après la vaccination, ceux-ci sont survenus chez des personnes entre 69 et 90 ans (médiane : 79 ans) pour 26,3 millions de doses
De manière générale, 236 décès (coïncidence) sont attendus pour 10 millions de vaccinés en 1 jour
=> on est en-dessous
Sur ces 26 millions de doses aux USA, 54 cas suspectés de myocardite/péricardite ont été rapportés chez des sujets d'âge médian de 51 ans et dans les 3 jours en médianes suivant le vaccin (1-7 jours)
Parmi les 12 cas confirmés, 75% sont guéris des symptômes
Plus globalement on a autant d'effets indésirables pour la dose 3 que pour la dose 2 pour Pfizer
Thread ⤵️
Une étude dans Science importante sur le potentiel corrélat de protection chez l'Homme avec le vaccin de Moderna dans une sous-cohorte de l'essai de Phase III
Le risque de COVID-19 diminue quand les niveaux en anticorps augmentent (Fig. A)
Un corrélat de protection met en relation les niveaux d'anticorps et l'efficacité des vaccins en terme de protection
Leur étude permet de répondre à "Est-il suffisant d’avoir un taux d’anticorps élevé pour être protégé ? Et à quel taux ?"
Précédemment Khoury et al. avec une modélisation ont constaté qu'une protection à 50% correspond à un cinquième du titre (quantité) d'anticorps trouvé dans le plasma convalescent en moyenne
3⃣ Autre étude en ligne mais sans doute frauduleuse
- Le 3è auteur se rétracte
- Le 1er auteur refuse de partager les données brutes
- Le pseudo-journal choisi a publié moins de 10 articles depuis début 2019
Sondage Nature : "À l'heure actuelle, les gouvernements n'en sont qu'au stade des promesses vertes, mais jusqu'à présent, nous n'avons vu aucune action visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre"
Six répondants sur dix ont déclaré s'attendre à ce que le monde se réchauffe d'au moins 3 °C d'ici la fin du siècle, par rapport aux conditions d'avant la révolution industrielle. C'est bien au-delà de l'objectif de l'accord de Paris de limiter le réchauffement à 1,5-2 °C
88 % des répondants ont déclaré qu'ils pensaient que le réchauffement climatique constituait une " crise", et presque autant ont déclaré qu'ils s'attendaient à voir des impacts catastrophiques du changement climatique au cours de leur vie
Revue narrative sur les caractéristiques et l'efficacité de 17 vaccins autorisés dans le monde par rapport aux différents variants (Alpha, Beta, Gamma, Epsilon, Eta, Zeta, Iota, Kappa, Delta, Mu et Lambda)
La proportion (%) de la surface terrestre mondiale touchée par une sécheresse extrême au cours d'un mois donné a atteint un maximum de 22 % en 2010-2019 ; une valeur qui n'avait atteint un maximum que de 13 % en 1950-1999
Les températures chaudes font diminuer le rendement des principales cultures de base du monde -6,0 % pour le maïs ; -3,0 % pour le blé d’hiver ; -5,4% pour le soja et -1,8 % pour le riz en 2020, par rapport à 1981-2010, ce qui expose au risque croissant d’insécurité alimentaire