D'après un sondage Viavoice pour @LesAssises, une majorité de Français juge que la qualité du traitement médiatique de la campagne #présidentielle a été "bonne".
Mais avec de gros clivages : seuls 27% des électeurs d'Eric Zemmour et 79% de ceux d'Emmanuel Macron le pensent.
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Une petite majorité de Français sondés estime aussi que le travail des médias durant la campagne a été "utile", surtout pour connaître les programmes (beaucoup moins pour aider à faire un choix de vote, paradoxalement).
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Un point très frappant : près de la majorité des sondés ne fait pas confiance dans les médias concernant la politique.
Cette part est nettement moins grande concernant la santé, les questions de société, le sport, la culture, etc.
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Ceci pourrait notamment s'expliquer par le fait que 61% des Français interrogés estiment que le traitement médiatique des personnalités politiques varie selon leur bord.
Cette part atteint 79% des électeurs de V.Pécresse, 78% de ceux d'E.Zemmour et 71% de ceux de M.Le Pen.
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Bien que la campagne ait été très perturbée (#Covid, guerre en #Ukraine, etc.), les deux tiers des Français disent s'intéresser à la vie politique.
On atteint 79% chez les retraités et 74% chez les cadres.
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Enfin, la télévision reste (de loin) le média privilégié pour s’informer pendant cette campagne.
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Etude menée en ligne du 25 au 27 avril, sur un échantillon représentatif de 1 000 personnes.
Les indicateurs hospitaliers diminuent depuis un mois, ils n'ont (quasiment tous) jamais été aussi bas depuis l'arrivée d'#Omicron début décembre.
[Version zoomées depuis fin octobre]
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En dézoomant, on voit bien à quel point #Omicron a fait grimper la part de patients hospitalisés ou en soins critiques "avec Covid", c'est-à-dire infectés par le SARS-CoV-2 mais pris en charge pour autre chose (les bandes claires).
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La frontière peut bien sûr être assez ténue pour classer un patient "avec Covid", notamment car "pour certaines maladies graves, c’est parfois compliqué d’exclure que le #Covid soit à l’origine de la décompensation d’un organe".
Pour la France, la DGS répond que "devant toute situation où le patient présenterait un ou plusieurs facteurs de risques, il est recommandé que celui-ci consulte son médecin traitant, mieux à même d’apprécier sa situation particulière".
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Le médecin pourrait alors décider, dans certains cas très précis (un patient de 58 ans et souffrant de comorbidités par exemple), de prescrire voire d’administrer un deuxième rappel à quelqu'un de moins de 60 ans.
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Être mis en examen, visé par une plainte ou par des accusations variées n'empêche pas forcément un député de la majorité d'être investi candidat à sa réélection aux #legislatives2022.
Plusieurs exemples dans la liste diffusée hier. ⤵️
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Hier matin, on apprenait qu'une plainte pour violences et harcèlement avait été déposée par une ex-assistante parlementaire contre Anne-France Brunet (Pays de la Loire), qui dément ces accusations.
Quelques heures plus tard, Anne-France Brunet a été officiellement investie.
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Thierry Solère (Hauts-de-Seine) est mis en examen pour plusieurs motifs, dont "détournement de fonds publics", "trafic d’influence passif" et "emploi fictif". Il "conteste formellement l'intégralité des accusations".
• 37 958 cas positifs ont été recensés en 24h, contre 49 482 samedi dernier (-23,3 %). #Covid19
• La moyenne sur la semaine écoulée tombe à quasiment 40 000 cas par jour, au plus bas depuis plus de cinq mois. 📉
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-23,3 % par rapport à J-7 ce soir : le rythme de baisse a ralenti ces derniers jours, mais il reste assez rapide.
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Doit-on s'attendre à un ralentissement de la baisse prochainement, voire à une future remontée due aux sous-lignages BA.4 et BA.5 (très très peu présents actuellement) ?
Impossible à prédire, quelques éléments de réflexion en attendant 👇
Pour les Français de l'étranger, Marc Ferracci (un très proche d'Emmanuel Macron) obtient la 6e circonscription tandis que la 9e (initialement pressentie à Zineb El Rhazoui) n'est toujours pas attribuée.
Ce preprint a été mis en ligne le 2 mai sur researchsquare.com (retiré ensuite 48h en raison d'un "bug technique", d'après un responsable de la plateforme).
Il a donné lieu à quelques articles, dont celui-ci au titre particulièrement tranché.
Les auteurs ont voulu tester l'affirmation selon laquelle #Omicron était moins virulent que les variants précédents (dont #Delta), et pas uniquement en raison de l'immunité croissante de la population par la vaccination et les infections.