« Depuis la chute de l’URSS, les marines occidentales n’avaient plus d’ennemis capables de leur disputer la haute mer, d’où un recentrement sur les missions de crise plus que de guerre.
« On en parle peu, car la logistique se fait dans l’ombre, mais elle est le nerf de la guerre: qu’est-ce que la guerre sinon une situation qui exige d’être capable de positionner les bons moyens, au bon endroit, au bon moment ? » @BARKHANE_OP@519eRt