😷 Résultats intéressants de la nouvelle enquête #CoviPrev.
La part de personnes disant porter le masque en public, se laver les mains régulièrement ou encore éviter les serrages de mains et embrassades ne diminue pas en décembre, pour la 1ère fois depuis... près d'un an.
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Comme chaque mois, il s'agit d'un sondage auprès de 2 000 personnes majeures. Il peut y avoir des différences entre ce que les gens répondent faire et ce qu'ils font en réalité. Le plus intéressant, ce sont peut-être les tendances.
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En décembre, donc, 18% des gens disent porter le masque en public, 28% dans les transports et 28% avec des personnes vulnérables.
Le retour de l’épidémie de #Covid, l'approche des fêtes et les hôpitaux débordés sont les principaux "moteurs" aux gestes barrière.
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12% des sondés disent que rien ne leur ferait respecter les gestes barrière (dont le port du masque en lieu clos), et même 32% de ceux non-vaccinés.
Parmi ceux qui ne portent pas ou peu le masque, près de la moitié disent qu'ils ne le feront... "que si c'est obligatoire".
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On note qu'aérer les pièces "toutes les heures quelques minutes" est le seul geste barrière moins respecté en décembre qu'en novembre.
Les températures très froides (sondage réalisé du 5 au 12 décembre) peuvent l'expliquer.
26 % des sondés disent qu'ils comptent moins respecter les gestes barrières lors des fêtes que l'an dernier (on était alors en pleine première vague #Omicron), et même près de la moitié des 18-24 ans.
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Par ailleurs, quasiment toutes les personnes testées positives cet automne disent avoir respecté l'isolement.
Un quart des sondés symptomatiques ou cas contact disent ne pas s'être fait tester, notamment car ils n'étaient pas "inquiets" de savoir s'ils avaient le #Covid.
7/10
Enfin, moins de la moitié des sondés se disent éligibles au nouveau rappel de vaccin contre le #Covid19.
Ça fait peu, vu qu'officiellement tous les adultes le sont... mais eux ont été interrogés quand la règle officielle n'était pas claire.
Les trois quart d'entre eux se disent "favorables" à ce nouveau rappel.
Parmi le quart défavorable à se refaire vacciner, les raisons le plus souvent avancées portent sur les effets indésirables, et sur la caractère "nécessaire" et "efficace" d'un nouveau rappel.
Alexis, 28 ans, est mort malgré un appel au Samu puis un passage aux urgences. Sa famille a porté plainte : "Il me manque chaque jour, il était plus qu’un frère."
Margaux parle avec émotion de son conjoint, "un homme simple, qui ne créait jamais de conflit". "Il était généreux, un pilier pour ses trois sœurs, avec le cœur sur la main. Lors de l’enterrement, certains ont été surpris du monde qu’il y avait", abonde la mère d’Alexis.
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La vie de Margaux, de ses trois enfants et de sa belle-famille a basculé en trois jours.
Le 11 mai 2022, Alexis appelle le Samu car il a mal au thorax : "Ça me prend dans les poumons, ça se diffuse dans le dos, les épaules et les bras, ça devient douloureux de respirer."
Le SARS-CoV-2 n'ayant pas du tout disparu, il est normal qu'il continue à évoluer.
De nouveaux variants apparaissent en permanence, avec un profil de mutations un peu différent à chaque fois. Certains d'entre eux se démarquent, car plus transmissibles, plus sévères, etc.
Les prothèses de hernie, nouveau "scandale de santé publique" ?!
De nombreux patients se plaignent de douleurs après l'opération et appellent à l'aide : "Je prenais tous les médicaments de la planète pour me calmer."
@le_Parisien Commençons du départ. Une hernie de la paroi abdominale survient au niveau de l’aine (hernie inguinale) ou du ventre, quand un morceau d’intestin s’enfonce au niveau d’un trou et vient cogner contre la peau.
En général, on opère car il y a un risque de grave complication.
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@le_Parisien Longtemps, le chirurgien faisait de la suture pour réparer. Désormais, il place généralement une prothèse d’une dizaine de centimètres de long, sorte de "morceau de voile de mariée, qui fera office de rustine comme sur la chambre à air d’un pneu crevé".
🎃 Il a beaucoup été question de #courge toxique depuis ce week-end, d'où cette question : comment détecter celles qui sont dangereuses pour la santé ? 🧐
L’histoire de Bertrand, qui perd ses poils et ses cheveux après avoir avalé une courge verte amère, met en lumière les risques - rares mais bien réels - sur notre santé d’une substance présente dans certaines courges.
Le mot grand public "courge" est un mot-valise qui regroupe de nombreux légumes différents : courgette, citrouille, potiron, etc. Il englobe aussi les coloquintes ornementales, censées décorer et ne pas être avalées, malgré leur ressemblance avec leurs cousines comestibles.
❗️ Attention, nouvelles règles ! La vaccination contre les infections à #méningocoques chez les enfants devient particulièrement dure à suivre, à force d'être élargie. 🤯
On vous explique tout, avec évidemment une infographie ⤵️ @le_Parisien
@le_Parisien Rappel : les méningocoques peuvent provoquer de graves maladies, le plus souvent des méningites.
Près de 200 cas durant les 2 premiers mois de l’année, "du jamais-vu depuis au moins 25 ans". Plus de 60 morts depuis l’été dernier, dont 13 en janvier.
@le_Parisien La HAS a recommandé d’élargir la vaccination en allant encore plus loin que les nouvelles règles depuis le 1er janvier. Le ministère s’engage à la suivre, avec entrée en vigueur "dans les prochaines semaines".
Voici donc le (probable) nouveau cadre, cas par cas.
🏴 Le Premier ministre britannique veut abolir le NHS, le système de santé anglais, enkysté par "de vastes couches de bureaucratie" et de moins en moins efficient.
Cette courbe (via @Telegraph) parle d'elle-même : le nombre de rdv en attente à l'hôpital explose.
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@Telegraph Autre graphique, tout aussi frappant : le nombre de patients qui attendent plus de quatre heures pour être pris en charge après avoir été admis dans un hôpital a lui aussi explosé ces dernières années.
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@Telegraph Vous en voulez encore ? La part de patients pris en charge dans les quatre heures qui suivent leur arrivée aux urgences ne cesse de diminuer.