Les rafales pourraient atteindre "de l’ordre de 100 à 120 km/h" sur la côte basque, et "des précipitations vont progressivement s’enrouler autour de cette dépression, du sud jusqu’à la Normandie, en passant par l’Île-de-France".
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Deux tempêtes en deux jours, donc. Mais du coup, qu'en est-il de l'impact du réchauffement climatique ?
D'après les climatologues interrogés, il n'y en a pas sur la fréquence, la dynamique et l'intensité (en terme de vent) des tempêtes hivernales.
En revanche, les précipitations/inondations pourraient s'accentuer avec le réchauffement.
"Une tendance générale se dessine pour une augmentation de la quantité de pluie tombant au cours des épisodes les + extrêmes", notamment car l’atmosphère est + chargée en vapeur d'eau.
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Par ailleurs, sur les côtes françaises, "on aura un niveau moyen des mers de plus en plus élevé, ce qui accentuera le phénomène de surcote et le risque d’inondation".
C'est aussi ce que dit le Haut Conseil pour le Climat dans un récent rapport.
Une bonne nouvelle qui se poursuit : entre 0 et 2 cas de #PIMS seulement sont recensés chaque semaine chez les enfants/ados depuis fin juillet, contre plus de 25 par semaine lors des principaux pics.
Plus globalement, le risque de #PIMS a fondu depuis l'arrivée d'#Omicron.
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Cette très forte baisse du risque de #PIMS pourrait notamment s'expliquer par "une moindre capacité d’#Omicron à déclencher une hyperinflammation" et le fait que les #PIMS semblent surtout fréquents après une primo-infection, comme expliqué cet été.👇
🧒 Bilan actualisé au 8 janvier des décès d'enfants & adolescents avec infection #Covid19
• 114 décès recensés
• investigations terminées pour 97 d'entre eux
• "lien possible avec le #Covid" identifié pour 41 d'entre eux
• "comorbidités très sévères" chez 35 d'entre eux
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"Lorsque les enfants présentaient des comorbidités sévères, le lien entre le #Covid et le décès était difficile à établir", indique SPF.
Et "dans certains cas, l’infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie".
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La flambée des contaminations #Omicron a entraîné plusieurs décès d'enfants et d'adolescents.
Mais "l’analyse des données toutes causes confondues ne montre aucun excès de mortalité chez les moins de 15 ans en 2020, 2021 et 2022" (même si on est au-dessus de l'attendu).
D'après un preprint, 73% des personnes âgées en France comptaient recevoir une nouvelle dose de rappel cet automne.
C'est nettement moins qu'en Italie ou en Belgique... et beaucoup plus que la réalité (20% des plus de 70 ans ont reçu un rappel adapté cet automne). #Covid19
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Ce recueil de données date de l'été dernier.
L'enquête CoviPrev menée du 5 au 12 décembre donnait des résultats semblables (81% des plus de 65 ans qui se déclaraient éligibles étaient favorables à une nouvelle dose de rappel).
Alors bien sûr, des personnes peuvent vouloir se faire vacciner... avant de se rendre compte qu'elles ne sont pas dans les critères précis d'éligibilité (au moins 3 ou 6 mois depuis la dernière dose et 3 mois depuis une infection).
Du coup, sur l'ensemble de la saison, le nombre cumulé d'hospitalisations ne sera pas nécessairement beaucoup plus élevé que d'habitude.
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A ce jour, les @CDCgov estiment qu'il y a eu cette année aux Etats-Unis "au moins 24 millions de malades, 260 000 hospitalisations et 16 000 décès dus à la grippe" (dont 79 chez des enfants, cf graphique ci-dessous).