Edouard Philippe commence son discours sur la réforme des retraites. 
"Nous proposons un pacte pour les nouvelles générations."
"Je ne veux pas d'un rapport de force. J'entends les inquiétudes qui s'expriment. Je les comprends, et nos arguments buttent sur le même mur de défiance."
"Je ne veux pas d'un rapport de force. J'entends les inquiétudes qui s'expriment. Je les comprends, et nos arguments buttent sur le même mur de défiance."
"L'ambition d'universalité portée par le gouvernement est une ambition de justice sociale. Nous ne voulons léser personne mais protéger davantage le pouvoir d'achat des travailleurs et des retraités".
"Il n'y aura ni vainqueur, ni vaincu. Nous voulons que les Français se retrouvent autour des principes d'universalité, d'équité, de responsabilité."
"Nous demanderons aux partenaires sociaux de fixer la valeur et l'évolution du point, sous contrôle du parlement"
"La seule solution, c'est de travailler un peu plus longtemps"
*rire des fraudeurs fiscaux*
*rire des fraudeurs fiscaux*
Le début, ce serait donc la génération 1975 :
"Nous avons choisi de ne rien changer pour les personnes nées avant 1975, qui auront plus de 50 ans en 2025"
"Nous avons choisi de ne rien changer pour les personnes nées avant 1975, qui auront plus de 50 ans en 2025"
"Pour ceux qui sont concernés, toute la carrière avant 2025 donnera lieu à une retraite calculée avec les anciennes règles"
"Nous conserverons 100% des droits acquis dans l'ancien système"
On va bientôt parler revalorisation des enseignants. Stay tuned.
"Je prends des engagements fermes pour les enseignants"
"Il serait innaccpetable que les enseignants perdent le moins euro de pensions. Et ça ne se produira pas. Nous inscrirons dans la loi que le niveau de pension sera comparable aux foncitons équivalentes de la fonction publique"
"Nous commencerons dès 2021 les revalorisations. Nous insisterons sur les débuts de carrière mais pas seulement. Le ministre réunira rapidement les syndicats avec une disucssion qui se terminera à l'été 2020 qui déterminera les évolutions de salaires et l'organisation du travail"
Rien de nouveau, donc, par rapport aux annonces de ces derniers jours du ministre.
Simplement, la partie sur "l'organisation du travail" confirme bien la volonté, déjà exprimée par E Macron, de "profiter" de la revalorisation pour faire évoluer le métier enseignant.
Simplement, la partie sur "l'organisation du travail" confirme bien la volonté, déjà exprimée par E Macron, de "profiter" de la revalorisation pour faire évoluer le métier enseignant.
