Et on est ici dans un vrai angle mort, car juridiquement les boucles de messages WhatsApp n’ont pas le même statut qu’un contenu publié sur une page Facebook ou compte Twitter.
Et les pouvoirs publics n’ont, semble-t-il, pas véritablement saisi la dimension du problème.
Et les pouvoirs publics n’ont, semble-t-il, pas véritablement saisi la dimension du problème.
https://twitter.com/LADN_EU/status/1326827074926104576
Toujours en retard par rapport à la réalité des usages, l’action des pouvoirs publics se focalise à outrance sur les réseaux sociaux historiques, alors que les usages ont désormais migré vers des modes de communication pouvant relevant de la correspondance privée.
Et ça serait une profonde erreur de cantonner cet article (super bien fait) de @LADN_EU aux groupes de parents d’élèves conspi-trololol, spagrave.
Car c’est exactement ce mode opératoire, passant sous les écrans radars, qui conduit des antennes mobiles à brûler spontanément…
Car c’est exactement ce mode opératoire, passant sous les écrans radars, qui conduit des antennes mobiles à brûler spontanément…
…ou, plus terrifiant, à ce que se mette en place un mécanisme de légitimation d’intimidation de profs, avec les funestes conséquences que l’on a pu connaitre avec l’assassinat de #SamuelPaty, dans lequel les boucles WhatsApp ont été le détonateur plus que des pages FB
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