Extremely disappointed by this move of Dylan's. As a recipient of the Nobel Prize in literature, he should understand what value his songs have for humanity as a whole, and consider giving them to mankind by emancipating them into the Public Domain. bbc.com/news/entertain…
Instead, he preferred to keep them locked under copyright for many decades to come, by selling them in exchange for a large sum of money to a predatory company. What cultural, artistic or social values was Dylan supposed to stand for, again? The times they aren't a-changin'!
This is particularly disappointing given that D. himself recognized the value of imitating others (and was criticized for doing so). From his Nobel speech: “By listening to all the early folk artists and singing the songs yourself, you pick up the vernacular. You internalize it.”
Contrast this with Woody Guthrie, Dylan's idol, who entered the copyright record for ‘This Land is Your Land’ as such: “and anybody caught singin it without our permission, will be mighty good friends of ourn, cause we don't give a dern. Publish it. Write it. Sing to it.”
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I should probably write a preventive thread about this, because I feel I'm going to get a few comments of the kind “more than 60% in place <X> have been infected by covid, and infections are still taking place! this proves that herd immunity DOES NOT WORK! ChEcKmAtE!!!”. •1/24
So yes, I've claimed a number of times, and I still do, that the trivial estimation of the collective immunity threshold given by the formula 1 − 1/R, which gives 60% for R=2.5, is pessimistic (but that it's hard to figure out the true value). •2/24
This is essentially because the reasoning behind this formula assumes a homogeneous population (everyone is equally likely to get infected) with perfect mixing (everyone is equally likely to infect anyone) and deviations from this lower the threshold. •3/24
Je viens de regarder l'épisode de la série “Quand l'Histoire fait dates” consacré à la bataille de Talas en 751: arte.tv/fr/videos/0861… — je dois avouer mon inculture (et/ou mon européo-centrisme) en ce que je n'avais pas entendu parler de la bataille de Talas… •1/6
… Du moins jusqu'à la semaine dernière, parce que j'ai appris son importance justement avant-hier, ce qui m'a permis de dire à mon poussinet «quoi? tu ne connaissais pas la bataille de Talas‽ j'en parlais justement avant-hier avec ta mère». 😅 •2/6
Ceci dit, l'importance de la bataille semble un peu disputée. Patrick Boucheron, dans cette émission, en fait une date-clé dans le développement des deux empires musulman et chinois et dans l'histoire de l'Asie centrale, et même dans la conversion des Turcs à l'Islam. •3/6
Il y est question des langues qui ont changé d'alphabet, à commencer par le turc, par décision d'Atatürk, mais aussi l'Ouzbek (arabe traditionnellement, puis latinisation à partir de 1928, puis cyrillique à partir de 1940, et maintenant retour à l'alphabet latin). •2/10
Mais aussi des tentatives de latiniser le chinois, avec le «Latinxua Sin Wenz» dans les années 1930 (je n'en avais jamais entendu parler). Par contre, bizarrement, le documentaire parle peu de la simplification des idéogrammes chinois. •3/10
Très intéressant documentaire diffusé par @ARTEfr, ‘L'Odyssée de l'écriture’, sur l'histoire de l'écriture, en trois parties (1 “Les origines”, 2 “L'Empreinte des civilisations” et 3 “Une nouvelle ère”), visible sur leur site jusqu'au 19 janvier: arte.tv/fr/videos/RC-0… •1/17
J'ai vu la première partie hier, qui est intéressante et très bien expliquée, sur les origines de l'écriture d'une part, et de l'alphabet de l'autre. Mais je n'y ai pas appris grand-chose de plus que ce que je savais déjà. Je n'ai pas encore vu la troisième partie. •2/17
Par contre, j'ai trouvé la deuxième partie absolument fascinante. Elle se penche sur les supports et techniques d'écriture entre l'antiquité et le développement de l'imprimerie à caractères mobiles et sur l'impact que ceux-ci ont eu. J'essaie de résumer: •3/17
Je trouve détestable la présentation du fil ci-dessous (à répéter «bullshit» et «mensonges» et finir par une photo de chat(‽)), mais le point central est juste et peut-être mal compris: l'espérance de vie a priori des personnes décédées covid est autour de 11 ans. 🧵 •1/22
Je fais régulièrement un calcul de l'âge moyen de décès et de l'espérance de vie moyenne des personnes décédées du covid en France depuis le début de l'épidémie, et actuellement je trouve: âge moyen 80.8 ans, espérance de vie moyenne 11.1 ans. •2/22
(Petits caractères: calcul sur la base de la répartition par âge et par sexe des décès hospitaliers publiées sur Géodes et de tableaux d'espérance de vie par âge et par sexe. J'interpole par des fonctions continues affines par morceaux. Détails ⤵️ •3/22
This is maybe worth underlining: epidemiologists care about the logarithmic derivative of the number of cases (or deaths, whatever), because it measures epidemic growth, whereas ordinary people care about the ordinary derivative, because it measures the risk to them. •1/8
(The logarithmic derivative isn't quite the same thing as the effective reproduction number — there's also the question of the serial interval — but the two are quite connected, see thread below.) •2/8
The logarithmic derivative z′/z makes sense to look at because, during an exponential growth phase z ∝ exp(k·t), it's constant (k; while the ordinary derivative z' too grows exponentially): it measures relative growth per unit time, and tells us how the epidemic develops. •3/8