1. Depuis qq temps, je suis assailli de demandes de chaînes de télévision officielles algériennes pour parler du conflit du Sahara occidental.
Par principe, je n'ai aucun problème à donner mon avis (si ça peut intéresser quelqu'un).
Mes positions n'ont pas varié depuis 20 ans.
Par principe, je n'ai aucun problème à donner mon avis (si ça peut intéresser quelqu'un).
Mes positions n'ont pas varié depuis 20 ans.
2. Et personne, ni la #DST, ni la #DGED, ni Santa Cruz de Patagonie, ne vont me dicter ma conduite.
D'ailleurs, qu'est-ce que ça va changer pour moi ?
Mes nombreuses fiches de police politique sont bien garnies (et pleines d'erreurs !) et ne risquent pas de s'effacer de sitôt.
D'ailleurs, qu'est-ce que ça va changer pour moi ?
Mes nombreuses fiches de police politique sont bien garnies (et pleines d'erreurs !) et ne risquent pas de s'effacer de sitôt.
3. Mais tant que des confrères algériens sont en prison, je refuse de passer sur des chaînes télé ou de radio appartenant à l'État algérien. Je parle de @khaleddrareni.
Comme je refuse tout contact avec les officiels turcs tant que des journalistes de ce pays végètent en prison.
Comme je refuse tout contact avec les officiels turcs tant que des journalistes de ce pays végètent en prison.
4. Évidemment, je parle des États, pas des peuples. Je considère les Turcs comme des frères, et encore plus les Algériens avec lesquels nous partageons une histoire, des ethnies, des religions, des langues et le sentiment que nous appartenons à ce grand ensemble appelé le Maghreb
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