En 2020, la surmortalité NON due au Covid est globalement plus élevée que la surmortalité due au Covid selon une étude.
Cause : le désespoir. Suicide, alcool, hausse des addictions, mal-être, isolement, ruine des précaires.. zerohedge.com/political/stud…
L’étude utilise les chiffres du CDC pour la période de la semaine 5 à la semaine 40 de 2020.
La surmortalité aux US sur cette période est de 241.000 (sur 2,24 millions de décès, comparé à 1,95 millions en 2019).
L’étude note qu’il faut différencier les décès « avec Covid » (pas directement liés au Covid) des décès « du Covid » (directement liés au Covid) sachant que l’assurance maladie accorde +20% de remboursement quand le décès est catégorisé Covid.
Si on regarde les donnés pour les 85ans et+ (une catégorie historiquement peu tournée vers le suicide et pour qui le Covid peut être fatal) : l’excès de mortalité est dû au Covid durant le pic de mars-avril, mais dans une moindre proportion que les chiffres officiels
«Covid undercount» :
L’auteur prend comme référence les semaines 13 à 17 où le Covid est alors testé avec précision alors que le remboursement de +20% par l’assurance maladie n’a pas encore été mis en place.
Ceci afin de réajuster le biais de catégorisation après cette période
La figure 2 montre la surmortalité tout âge confondu. On voit que le nombre de décès dûs au Covid a été clairement surestimé à partir du moment où les remboursements ont augmenté alors que la surmortalité non-due au Covid est bien plus haute qu’en 2019
La figure 3 s’intéresse aux hommes âgés de 15 à 64 ans
L’auteur ajoute un indice relatif au taux de chômage (UI claims)
Le nombre de décès non-dûs au Covid ↗️ à partir de mars et dépasse rapidement les décès dus au Covid pour redescendre progressivement avec le taux de chômage.
Chez cette catégorie de personne, entre les semaines 5 à 40, on dénombre 14.000 cas de NCED (surmortalité non-due au Covid) contre 12.000 cas de surmortalité dûs au COVID.
*Chez les 15-24 ans l’écart est encore plus grand : 2300 NCES contre 240 décès dûs au Covid.
Ces données suggèrent que de nombreux décès catégorisés « dûs au Covid » ont en réalité des causes différentes ou multiples, mais aussi que la surmortalité due au « désespoir » est sous-évaluée.
Selon cette étude, on constate en effet une augmentation d’environ 45% des décès dus aux dépressions, à l’isolement et au mal-être par rapport à 2018.
Que ce soit à cause des politiques gouvernementales arbitraires ou de l’auto-contrôle social qui soumet les comportements à l'hystérie populaire, l'isolement social a donc des conséquences néfastes sur la vie de beaucoup de gens, et bien plus que le Covid chez les - de 65 ans.
Il paraît important que d’autres études soient menées, y compris en France, afin de calculer la surmortalité non-due au Covid et le chiffre réel de la surmortalité due, directement, au Covid, en prenant en compte les biais de catégorisation.
Autrement dit, le Covid est un facteur parmi d’autres de la surmortalité en 2020, et même si c’est un facteur prépondérant, la cause principale de la surmortalité semble être moins le virus lui même que la gestion de l’épidémie et les politiques de santé menées par l’Etat & l’OMS
Et ceci non seulement Parceque les mesures sanitaires ont augmenté le taux de décès de personnes psychologiquement fragiles, mais aussi parce que la gestion de l’HP et les politiques du Gvt favorisent les décès dûs au Covid chez les personnes les plus vulnérables physiquement.
Il faut lire le rapport du Sénat pour constater à quel point la gestion de l’épidémie par le Gvt est un désastre total, qu’il aurait été difficile de faire pire, et que les plus vulnérables ont été abandonnés par l’Etat, si ce n’est poussés à la mort
En France, pour livrer leur bilan des décès dus au Covid-19 les autorités s’appuient «sur la base Si-Vic» esante.gouv.fr/projets-nation… qui repose sur une méthodologie recommandée par l’OMS et «sur un système de suivi mis en place dans les Ehpad et les établissements médico-sociaux».
Selon le ministère, une personne est comptée comme victime du Covid-19 si «elle présente un diagnostic de Covid-19 confirmé biologiquement» et «des signes cliniques et des signes visibles en TDM (tomodensitométrie) thoracique évocateurs du diagnostic de Covid-19».
Et selon le Sénat, le SiVic, qui a vocation à fournir des données pour renseigner les pouvoirs publics dans leur action en cas d’attentat terroriste, est incapable de fournir des données de qualité concernant une crise épidémique d’une telle ampleur
Study : DEATHS OF DESPAIR AND THE INCIDENCE OF EXCESS MORTALITY IN 2020
#Thread Après la Norvège, les premiers chiffres tombent aux US :
55 décès suspects aux États-Unis à la suite d’une injection du vaccin à ARN de Pfizer ou de Moderna, selon un rapport soumis aux autorités fédérales. m.theepochtimes.com/55-people-died…
Ni le CDC ni la FDA ne disposent d'une base de données centrale répertoriant les effets indésirables. Le système utilisé est le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), une base de données fédérale où le personnel soignant peut, à son initiative, déclarer un événement.
Ces données sont donc ni exhaustives ni définitives.
J’ai pas traduit «summary» j’ai dit qu’une étude (en cours) et 400 pages sur un vaccin génique* expérimental, à la technologie non éprouvée, sensé être administré en masse, pour un #NoFake ça envoie peut être du lourd mais dans la Recherche c’est sommaire, c’est même rien du tout
Déjà, au delà du vaccin de Pfizer ou de celui de Moderna, la technologie employée, l’ARN modifié synthétique, jamais autorisée sur l’humain auparavant, n’est pas encore officiellement reconnue comme efficace, médicalement, par la communauté scientifique.
Les plastiques sont produits par l’industrie pétrochimique, ils pourraient être facilement remplacés par des materiaux à base de cellulose, d'amidon ou même de chanvre, mais la majorité sont fabriqués à partir de produits pétroliers polluants, pour des questions de rentabilité.
L’AGRA « Alliance pour une révolution verte », financée par la fondation Gates, dirige son « aide humanitaire » vers le développement d’une agriculture OGM, chimique et intensive en Afrique depuis 2006.
Gaël Sliman a longtemps hésité entre l’influence et le sondage, et visiblement, il hésite encore. L’institut Odoxa reprendre le flambeau d’une conception pour le moins ambigües du métier de sondeur.
Odoxa le fait volontairement en dégageant les bons pourcentages pour les bons clients, au lieu d’essayer de refléter au mieux l’opinion réelle du pays. ojim.fr/agence-odoxa-s…