Ce sont des voix rarement entendues : celles des femmes résidant dans des centres d’hébergement d’urgence. Des résidentes du Palais de la Femme, géré par l’Armée du Salut à Paris, dénoncent depuis des années leurs conditions de vie. Par @maia_courtois bastamag.net/femmes-precair…
Lieu d'accueil de femmes sans-abri, ayant souvent subi des violences conjugales, sexistes ou sexuelles, des résidentes affirment pourtant qu'«un sentiment d’insécurité règne au Palais». En 2016, deux décès de femmes déclenchent la création d’un collectif. bastamag.net/femmes-precair… 
Alors que ces femmes précaires fuient les #violencessexuelles, à partir de 2017, des hommes sont introduits dans la résidence sociale. La dénonciation de leur présence devient un leitmotiv du collectif. De nombreux témoignages font état d’agressions ou de #harcelementsexuel.
Très vite, le Collectif des femmes du Palais devient un espace d’entraide. Dès 2019, il prend de l’ampleur. Le groupe Femmes #GiletsJaunes se crée pour dénoncer la «maltraitance institutionnelle». Les femmes du Palais deviennent visibles. Ce qui ne plait pas à la direction.
Depuis l’automne 2020, le collectif des femmes du Palais n’existe plus comme avant, même si des formes de solidarité subsistent.
Quand les femmes précaires dénoncent la «maltraitance institutionnelle», reportage à lire sur @Bastamag au lendemain du #8mars bastamag.net/femmes-precair…
Quand les femmes précaires dénoncent la «maltraitance institutionnelle», reportage à lire sur @Bastamag au lendemain du #8mars bastamag.net/femmes-precair…
Merci à @karacole__ pour la version audio de ce reportage signé @maia_courtois
À retrouver en fin d'article 👉bastamag.net/femmes-precair…
À retrouver en fin d'article 👉bastamag.net/femmes-precair…
https://twitter.com/karacole__/status/1369240938120413191
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