« Les syndicats policiers décriés pour leurs positions d’extrême droite sur les réseaux sociaux n’auraient pas fait le film autrement. » cinematraque.com/2021/07/13/bac…
« La BAC prend ses racines dans la police coloniale en Algérie. Les méthodes de cette police ont été ensuite exportées dans les années 70 sur le sol métropolitain dans une ambiance nauséabonde ou les ratonnades avaient la cote, y compris et surtout à Marseille.
Le terme BAC s’officialise en 1991 sous Mitterrand. Dès le début des années 90, des BAC se déploient sur l’ensemble du territoire. Les «bavures» dont elles sont, en partie, comptable vont plonger plusieurs cités à plusieurs reprises dans des nuits d’émeutes durant les années 90.
En supprimant la police de proximité en 2003, Sarkozy donne plus de pouvoir à la BAC dans les quartiers pauvres. C’est une équipe de la BAC qui est responsable de l’électrocution de deux enfants, Zineb et Bouna, en 2005.
C’est un fait, la BAC est une police politique depuis ses origines, et son action permet aux politiques d’en tirer bénéfice aux moments des élections.
Ceux qui l’intègrent ne sont pas aussi candides que ce que tente de montrer le cinéaste. On entre dans la BAC pour l’adrénaline et on sait dans quelle ambiance on risque de se baigner. Mais en bout de course, les bacqueux sont des pions.
Ce sont des soldats pris dans la communication politique dont le but est de vendre, aux contribuables, une guerre contre la drogue.
Une bataille qui fait plus de victimes que la dope elle-même et dont l’argent qu’elle engrange irrigue autant les milieux illicites que l’économie légale ainsi que les institutions de la république.
On pourrait dire que le film n’est qu’un divertissement maladroit, que ce n’est pas sa mission de préciser ce qu’est la BAC. Dans ce cas, si l’œuvre est juste un moment d’adrénaline en vidéo, pourquoi terminer son film par des plans finaux minimisant les actions de ces shérifs ?
Pourquoi mettre en avant le rôle essentiel des syndicats policiers, qui protègeraient les petits flics contre la puissance d’un État corrompu ?
Jimenez ne s’intéresse même pas au milieu qu’il filme, les quartiers nord de Marseille, qui semblent devant sa caméra n’être qu’une masse de malfrats et de balances.
Si l’agressivité des gangs marseillais n’est pas si exagérée, elle est balancée dans le film avec toute la maladresse d’un scénario mal ficelée. On pense à cet instant où la jeune indic introduit une suite d’exactions par une ligne de dialogue lourdement explicative.
Le spectaculaire du moment ne peut que faire plaisir à ces gamins qui se rêvent en Tony Montana. Ces séquences impressionnantes de brutalité, perpétrée par les caïds, glorifient ces sévices.
Si ces groupes armés usent des réseaux sociaux pour diffuser les tortures qu’ils infligent à leurs ennemis, c’est qu’à l’instar des cartels mexicains la violence est un langage qu’il est nécessaire de diffuser.
Mais on ne saura rien des quartiers nord, sauf à l’occasion d’une scène fugace, où Jimenez filme une habitante voilée qui crie sur un flic de façon hystérique et incohérente.
Le regard de Jimenez sur ces quartiers trahit une vision, finalement, bien plus nauséabonde que celle qui est décrite dans son film par les flics eux-mêmes. » cinematraque.com/2021/07/13/bac…
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#Thread La dictature sanitaire qui éclot en France et les discriminations associées paraissent surréalistes vu de Suisse.
Les hôpitaux suisses n’ont que le mot «liberté vaccinale» à la bouche, et le simple fait de comptabiliser les vaccinés est débattu. heidi.news/sante/vu-de-su…
Le pouvoir des Suisses s’évalue dans les urnes, pas aux muscles du bras de l’exécutif. Si tu rends la vaccination Covid obligatoire en Suisse, tu auras un référendum dans l’heure et les citoyens vont voter. Et il y a de fortes chances qu’un tel projet ne passe pas... Vive le #RIC
L’OMS, dans un document paru le 13 avril 2021, dit :
« Comme pour les autres politiques de santé publique, les décisions relatives à la vaccination obligatoire doivent s'appuyer sur les meilleures preuves disponibles et être prises par des autorités de santé publique légitimes,
En 1998, au Tour de France, 99% du peloton utilisait l'EPO, entre autres produits, ce dopant si efficace pour fournir de l'oxygène aux muscles. Cette EPO est alors complètement indétectable aux contrôles, comme le sont en 2021 les nouvelles hémoglobines.
Disons que pour les nouvelles hémoglobines, nous sommes comme en 1991 : avec un nouveau «truc» miraculeux pour la performance. Ce truc «passe» aussi au travers de tous les contrôles, qu'ils soient urinaires, sanguins ou ceux du fumeux «passeport biologique».
Brésil, État du Mato Grosso : la forêt a laissé place au soja-OGM traité aux pesticides et destiné à engraisser les animaux d’élevage, notamment en Europe.
BigAgro décrit ces champs OGM et chimiques comme « le plus grand spectacle sur terre » et l’unique solution viable pour nourrir la planète ; Tout comme BigPharma décrit ses produit brevetés et lucratifs comme l’unique solution viable à nos maux.
Le Mato Grosso a perdu l'an dernier 240.000 hectares, soit 20 fois la superficie de Paris. Parmi les premières victimes, les peuples autochtones. Les immenses exploitations sont désormais aux portes du parc Xingu, une zone protégée. storymaps.arcgis.com/stories/3bd7d2…
#Covid : Le vaccin de J&J expose à un « risque accru » de développer le syndrome de Guillain-Barré* selon l'Agence américaine du médicament (FDA).
*Maladie neurologique et auto-immune, causant des paralysies, et potentiellement mortelle. bfmtv.com/amp/sante/rris…
Le syndrome de Guillain-Barré survient quand le système immunitaire se met à attaquer le système nerveux périphérique, causant des degrés variables de paralysie allant de l’engourdissement à la paralysie complète en passant par la paralysie faciale.
Ce syndrome peut s’avérer fatale lorsque la paralysie touche les nerfs impliqués dans des fonctions vitales, comme ceux qui contrôlent la respiration.
Des tests cellulaires destinés à tester les pesticides réalisés dans des conditions non informatives...
Des animaux utilisés en pure perte car ne constituant pas des modèles représentatifs ni pour l’homme, ni pour les organismes vivants exposés aux pesticides...
Et maintenant on apprend que les analyses génétiques sont totalement déficientes : un troisième trou dans la raquette des analyses réglementaires adoubées par nos agences dites de sécurité tant française (Anses) qu’européenne (Efsa).
La refonte avancée par la loi du 14 décembre 2020 de financement de la sécurité sociale pour 2021, dite loi de #LFSS pour 2021 a notamment pour objet les notions d’« accessibilité » et d’« innovation thérapeutique ».
« Comment accélérer l’accès aux traitements, améliorer l’attractivité et la prévisibilité pour les entreprises ou encore garantir la soutenabilité financière de l’assurance maladie ? »
Du bullshit néoliberal pour justifier l’emprise néfaste du secteur privé sur la santé publique