En 1998, au Tour de France, 99% du peloton utilisait l'EPO, entre autres produits, ce dopant si efficace pour fournir de l'oxygène aux muscles. Cette EPO est alors complètement indétectable aux contrôles, comme le sont en 2021 les nouvelles hémoglobines.
Disons que pour les nouvelles hémoglobines, nous sommes comme en 1991 : avec un nouveau «truc» miraculeux pour la performance. Ce truc «passe» aussi au travers de tous les contrôles, qu'ils soient urinaires, sanguins ou ceux du fumeux «passeport biologique».
Les substances dopantes utilisées ces derniers temps par les cyclistes se présentent sous forme d’hémoglobine soluble, une poudre lyophilisée à mélanger avec du sérum physiologique à 0.9% à injecter.
Certaines hémoglobines solubles sont issues de vers marins et sont particulièrement efficaces. Celle d'un laboratoire français transporte 40 fois plus d'oxygène que l'hémoglobine humaine tout en étant 250 fois plus petite qu'un globule rouge.
Ce laboratoire français pionnier de la recherche dans les hémoglobines d'origine marine, s'est fait voler ses brevets par les géants de l'industrie pharmaceutique.
Les grands groupes pharmaceutiques développent la biologie synthétique, d’où sont issus les vaccins à ARN synthétique par exemple, mais aussi des hémoglobines synthétiques, pour notamment se passer des dons de sang en recourant à du sang artificiel.
Ces recherches ont des applications dans le domaine du dopage. Même si on trouvait quelque chose aux contrôles, ce serait un produit inconnu.
Les hémoglobines synthétiques et/ou solubles agissent encore mieux que les perfluorocarbones (PFC) en dissolvant l'oxygène dans le plasma, circuit séparé de celui des globules rouges, transporteur d'oxygène. Le passeport sanguin est berné.
Actuellement, divers types de ces hémoglobines circulent dans les sports d'endurance. Seule l'hémoglobine du laboratoire français serait détectable, mais pas longtemps : une microdose est détectable entre 4 et 24 h.
Mais c’est vers les nouvelles hémoglobines synthétiques qui existent qu'il faut porter son attention. Elles sont une bonne dizaine et elles ne semblent plus provoquer d'infarctus. Cependant, le risque thrombo-embolique existe encore.
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#Thread La dictature sanitaire qui éclot en France et les discriminations associées paraissent surréalistes vu de Suisse.
Les hôpitaux suisses n’ont que le mot «liberté vaccinale» à la bouche, et le simple fait de comptabiliser les vaccinés est débattu. heidi.news/sante/vu-de-su…
Le pouvoir des Suisses s’évalue dans les urnes, pas aux muscles du bras de l’exécutif. Si tu rends la vaccination Covid obligatoire en Suisse, tu auras un référendum dans l’heure et les citoyens vont voter. Et il y a de fortes chances qu’un tel projet ne passe pas... Vive le #RIC
L’OMS, dans un document paru le 13 avril 2021, dit :
« Comme pour les autres politiques de santé publique, les décisions relatives à la vaccination obligatoire doivent s'appuyer sur les meilleures preuves disponibles et être prises par des autorités de santé publique légitimes,
« Les syndicats policiers décriés pour leurs positions d’extrême droite sur les réseaux sociaux n’auraient pas fait le film autrement. » cinematraque.com/2021/07/13/bac…
« La BAC prend ses racines dans la police coloniale en Algérie. Les méthodes de cette police ont été ensuite exportées dans les années 70 sur le sol métropolitain dans une ambiance nauséabonde ou les ratonnades avaient la cote, y compris et surtout à Marseille.
Le terme BAC s’officialise en 1991 sous Mitterrand. Dès le début des années 90, des BAC se déploient sur l’ensemble du territoire. Les «bavures» dont elles sont, en partie, comptable vont plonger plusieurs cités à plusieurs reprises dans des nuits d’émeutes durant les années 90.
Brésil, État du Mato Grosso : la forêt a laissé place au soja-OGM traité aux pesticides et destiné à engraisser les animaux d’élevage, notamment en Europe.
BigAgro décrit ces champs OGM et chimiques comme « le plus grand spectacle sur terre » et l’unique solution viable pour nourrir la planète ; Tout comme BigPharma décrit ses produit brevetés et lucratifs comme l’unique solution viable à nos maux.
Le Mato Grosso a perdu l'an dernier 240.000 hectares, soit 20 fois la superficie de Paris. Parmi les premières victimes, les peuples autochtones. Les immenses exploitations sont désormais aux portes du parc Xingu, une zone protégée. storymaps.arcgis.com/stories/3bd7d2…
#Covid : Le vaccin de J&J expose à un « risque accru » de développer le syndrome de Guillain-Barré* selon l'Agence américaine du médicament (FDA).
*Maladie neurologique et auto-immune, causant des paralysies, et potentiellement mortelle. bfmtv.com/amp/sante/rris…
Le syndrome de Guillain-Barré survient quand le système immunitaire se met à attaquer le système nerveux périphérique, causant des degrés variables de paralysie allant de l’engourdissement à la paralysie complète en passant par la paralysie faciale.
Ce syndrome peut s’avérer fatale lorsque la paralysie touche les nerfs impliqués dans des fonctions vitales, comme ceux qui contrôlent la respiration.
Des tests cellulaires destinés à tester les pesticides réalisés dans des conditions non informatives...
Des animaux utilisés en pure perte car ne constituant pas des modèles représentatifs ni pour l’homme, ni pour les organismes vivants exposés aux pesticides...
Et maintenant on apprend que les analyses génétiques sont totalement déficientes : un troisième trou dans la raquette des analyses réglementaires adoubées par nos agences dites de sécurité tant française (Anses) qu’européenne (Efsa).
La refonte avancée par la loi du 14 décembre 2020 de financement de la sécurité sociale pour 2021, dite loi de #LFSS pour 2021 a notamment pour objet les notions d’« accessibilité » et d’« innovation thérapeutique ».
« Comment accélérer l’accès aux traitements, améliorer l’attractivité et la prévisibilité pour les entreprises ou encore garantir la soutenabilité financière de l’assurance maladie ? »
Du bullshit néoliberal pour justifier l’emprise néfaste du secteur privé sur la santé publique