Il nous a fait une loi de 1901 à sa sauce pour « progresser dans le recherche de la communion ecclésiale », je rigole doucement.
Bon, allons prendre des photos du fc qui explose.
Bref. Je vois une volonté de siffler la fin de la récré (nul doute que les évêques ne concèderont *ni* largement *ni* généreusement l’usage du missel de 62, puisqu’ils ne l’ont jamais fait). Motivée par quoi? Les critiques permanentes des instituts tradis d’origine lefevriste?
L’arrogance et la médiocrité doctrinale de ces instituts (FSSPX, FSSP, IBP, « c’est nous qu’on a plein de vocations ») le justifiait peut être; mais le faire au nom d’une communion ecclésiale et sur la base de l’enquête auprès des évêques qu’on a vu passer, euh.
La synthèse de ladite enquête a la qualité et l’objectivité d’un article du Monde sur Steiner. (Rudolf, pas George).
Ce qui m’intrigue, c’est que la messe tradi est trustée partout par des instituts qui me semblent échapper à cette obligation d’autorisation épiscopale. Donc qu’est-ce que cette comédie va changer? Rien, ou alors j’ai pas compris.
Ou alors l’essentiel est dans le non-dit, c’est à dire le catéchisme, les mariages, les scouts, les formations? (Après tout je m’en fous, on est très bien et au calme en dehors de l’Eglise).
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Je viens de lire la lettre d’accompagnement du motu proprio. A certains égards c’est encore pire que le MP lui-même; François ne se prive pas de réécrire l’histoire quand ça l’arrange.
Mais cela confirme l’interprétation que j’en avait: le missel de 62 n’est plus rien, le missel de 69 redevient la *seule* norme liturgique dans l’église latine et il est implicitement demandé que les tradis *l’adoptent*.
Donc c’est la ligne dure, soutenue par un argument historique: 1°) l’indult de 84 puis le motu proprio de 88 étaient là pour faire du bien aux lefevristes et cicatriser le schisme,
Puisqu’on parle d’inondations, la frangine et la famille sont revenus de l’arrière pays niçois avec des photos. En amont de St Martin Vesubie, le lit du torrent a été comblé par les rochers qui ont dévalé. Là où on voyait un torrent encaissé, il y a une autoroute de cailloux.
Une nouvelle route a été tracée dans le lit, entre des versants effondrés. On voit ça et là des maisons pleines de pierres, ou coupées en deux.
Les sentiers connus sont devenus des chaos de pierres et d’arbres arrachés.
« Cet hôtel est nul, j’arrive habillée en clodo et on me regarde de haut, le barman ne veut même pas me donner ma chambre »
Si je comprends bien elle a essayé de « démythifier » le séjour au Raffles, comme ces beaufs qui prenaient la première Swiss en jeans coupés et tongs, et le Raffles ne s’est pas démythifié.
Protip : pour mal se conduire au Raffles, il faut aller au Long Bar où il est de *rigueur* de laisser tomber ses coques de cacahuètes par terre. (Faites ça ailleurs à Singapour et c’est la taule)
Accueil pas cool, mais la liquidation judiciaire d’Amoma, ça mérite qu’on débouche le champagne.
Réponse pro du room division manager
Pour ceux qui n’ont pas eu affaire à ce cancer de la réservation hôtelière qu’est Amoma: leur pratique était d’acheter ou de racheter des blocs de chambre ou des bundles (du genre nuits+ croisières) et de les revendre à la découpe, très au-dessous du meilleur prix de l’hôtel.
Maintenant qu’on peut se déplacer en France, je cherche un point de chute pour ma transhumance Paris-Marseille que je ferai sur deux jours. C’est horrib’, tous les hôtels sont fermés. #FirstWorldProblems
Quelques arguments sur les matières à enseigner dans le tronc commun d'un lycée, et pourquoi PowerPoint ne me semble pas stupide a priori. (1/7653235)
L'instruction publique a pour but de donner à l'élève *qui en est capable* les facultés nécessaires pour devenir un homme libre et vertueux, et un citoyen responsable. Libre = instruit, connaissant le monde et la place qu'il y occupe, raisonnable et capable de communiquer.
Le début de cette instruction, tout le monde le connaît, c'est lire, écrire, compter. C'est le rôle du primaire et, de plus en plus, semble-t-il, du collège, hélas.