1/4 - Soyons clairs, la communication sur le mode de transmission du coronavirus est un échec cuisant, une faillite collective. Le #SARSCoV2 se transmet quasi-exclusivement par aérosols en lieux clos et mal ventilés dans lesquels nous passons plusieurs heures, souvent sans masque
2/4 - Mais on continue à promouvoir la désinfection des surfaces et le lavage des mains alors qu’on laisse le public se contaminer sans retenue dans des espaces intérieurs que l’on sait être les lieux de contaminations sans chercher à les rendre salubres.
Marche-t-on sur la tête?
Marche-t-on sur la tête?
3/4 - Il est possible de réduire à zéro le risque de transmission d’un agent microbien en passant d’une concentration de CO2 de 3200 ppm à 600 ppm et ainsi de casser la dynamique épidémique.
Mais on ne mesure pas le CO2, on n’aère pas les pièces, on ne filtre pas l’air intérieur.
Mais on ne mesure pas le CO2, on n’aère pas les pièces, on ne filtre pas l’air intérieur.
4/4 - Aujourd’hui il nous faut d’urgence des normes contraignantes vis-à-vis de la qualité de l’air dans les espaces clos recevant du public, c’est peut-être, couplée à la vaccination et au port du masque, la mesure totalement oubliée qui peut faire la différence cet hiver.
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