ℹ️ La Haute Autorité de santé préconise d'élargir la vaccination contre le #monkeypox des cas contact aux enfants "exposés au virus et susceptibles de développer une forme sévère de la maladie", sur avis médical.
Plusieurs dizaines de cas contact ont été vaccinés et le vaccin utilisé est celui appelé Imvanex, initialement prévu contre la variole mais qui est aussi efficace contre le #monkeypox, d'après des études. 👇
Sauf que ce vaccin est autorisé uniquement chez les adultes.
Mais la HAS évoque plusieurs études concernant d’autres vaccins utilisant la même plateforme et "démontrant une bonne tolérance chez les enfants de plus de 4 mois".
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La HAS s'appuie aussi sur un rapport de l'ANSM, selon lequel "les données de sécurité sont en faveur de l’utilisation du vaccin, après une évaluation au cas par cas pour chaque enfant, dans le cadre d’une vaccination réactive post- exposition".
C'est dans ce contexte que la HAS se dit favorable à une vaccination pédiatrique des cas contact de malades du #monkeypox, "dans le cadre d’une décision médicale partagée et avec le consentement des parents, et de l’adolescent le cas échéant".
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La HAS "adaptera cette recommandation préliminaire dès que les données issues des essais cliniques en population pédiatrique seront disponibles et en fonction des nouvelles données épidémiologiques et cliniques".
En attendant, la DGS va décider si elle la suit, ou non.
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Dans ce même avis, la HAS recommande une seule dose de vaccin (et non deux) pour les cas contact vaccinés contre la variole avant 1980. Autrement dit, une dose de vaccin Imvanex ferait office de rappel.
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🦠 277 cas de #monkeypox recensés en France, soit 94 de plus en 5j.
Pour la 1ere fois, une femme "dont le mode de transmission est en cours d’investigation" en fait partie.
Tous les autres sont des hommes, en majorité ayant des relations sexuelles avec plusieurs hommes.
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Les 277 cas 👇
• 195 en Île-de-France
• 16 en Occitanie
• 16 en Nouvelle-Aquitaine
• 14 en Auvergne-Rhône-Alpes
• 12 dans les Hauts-de-France
• 12 en Paca
• 6 en Normandie
• 3 en Bretagne
• 1 en Centre-Val de Loire
• 1 en Bourgogne-Franche-Comté
• 1 en Grand Est
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Parmi 243 cas enquêtés, on recense 11 immunodéprimés mais aucun décès.
Ci-dessous, le nombre de cas quotidiens par date de déclaration à gauche et celui par date d’apparition des symptômes à droite (données provisoires à la fin, du coup). 👇
• 95 217 cas positifs ont été recensés en 24h, au plus haut depuis le 26 avril et en hausse de 46 % par rapport à mardi dernier. #Covid19
• La moyenne sur la semaine écoulée repasse (sans bug) au-dessus de 50 000 cas/jour, pour la première fois depuis le 2 mai. 📈
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Cette reprise épidémique s'explique essentiellement par la propagation des variants #Omicron BA.2.12.1, BA.4 et surtout BA.5, qui représentent désormais près des deux tiers des nouveaux cas.
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L'ampleur que prendra cette 7e vague reprise épidémique est cependant impossible à prédire, tant les paramètres à prendre en compte sont nombreux.
D'une "course contre-la montre" entre vaccins et variants à une autre.
En janvier 2021, elle était entre la vaccination et la propagation du variant #Alpha.
Désormais, elle est entre la mise au point de nouveaux vaccins et l'arrivée de nouveaux variants #Omicron.
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Le vaccin #Moderna bivalent souche d'origine du SARS-CoV-2 et Omicron, par exemple, a été testé à l'époque où le sous-lignage BA.1 était majoritaire.
Qu'en sera-t-il face à d'autres sous-lignages devenus dominants par la suite, à présent BA.4/BA.5 ?
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"Du fait de la supériorité affichée, on anticipe une réponse adaptée à l"ensemble des sous-lignages d'Omicron", répond le directeur médical France de #Moderna dans @le_Parisien... sans convaincre tous les experts.
22% des plus de 80 ans et 10% des 60-79 ans ont reçu deux doses de rappel à ce jour.
En se concentrant sur ceux éligibles (dernière injection reçue il y a 3 mois chez les plus de 80 ans ou 6 mois chez les 60-79 ans), on est à 30%. Et 38% chez les résidents d'Ehpad.
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"Ces taux sont insuffisants et exposent un grand nombre de personnes âgées au risque de #Covid sévère", estime le Pr Fischer.
"Il est nécessaire de redoubler nos efforts pour protéger les personnes fragiles, et cette campagne de 2e rappels est nécessaire", dit le ministère.
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