L'#inflation, c'est le rationnement des pauvres. La restriction de nos libertés économiques et les pénuries organisées ne servent qu'un but : l'instauration du néo-servage davocratique par la domestication progressive des populations, "crise" après "crise"...
Depuis 2020, les élites occidentales ont entrepris le siège d'une citadelle : celle de nos libertés fondamentales. Quatre narrations de crises (sanitaire, sociale, sécuritaire, climatique) sont tour à tour utilisées comme des béliers pour faire tomber nos digues et nos remparts.
Le problème n'est pas tant celui de la réalité de ces "crises" que de leur narration dont ils se sont arrogés le monopole. Le catastrophisme systématique permet de substituer au Politique et à l'état de droit un régime de gouvernance technocratique et d'état d'urgence permanent.
Le théâtre des opérations n'est donc pas celui que vous croyez : la guerre s'est déplacée du terrain idéologique au terrain cognitif. Son enjeu ? La captivité des subjectivités, prises en étau de toutes parts jusqu'à leur reddition sans condition (cf. double-contrainte). #PsyOP
Pour prendre une image, on peut se figurer le corps social comme un système informatique infecté par un virus de type "Trojan" (ici l'État Profond) qui, sous des apparences inoffensives, en capte toujours plus de ressources sous prétexte de résoudre des bugs dont il est la cause.
Aussi contre-intuitif que cela paraisse, ils ne sont pas incompétents : ce qu'ils font, ils le font délibérément parce qu'ils suivent un agenda et une feuille de route, et que la résolution de vos problèmes ne figure pas sur cette feuille de route. Bien au contraire. #Agenda2030
Pour prendre une autre image : pensez aux avalanches qui sont délibérément déclenchées pour mieux les contrôler.
Un dernier exemple d'actualité.
Il existe deux types de pyromanes :
- ceux qui allument des incendies ;
- ceux qui empêchent des milliers de pompiers volontaires de faire leur travail sous prétexte qu'ils ne sont pas "vaccinés".
Bref, vous avez compris.
Ainsi, leurs "crises" se conjuguent les unes aux autres pour tisser la toile de fond narrative de la plus vaste opération d'ingénierie sociale jamais concue et justifier l'avènement d'un système inspiré du crédit social chinois et de l'univers carcéral US.
Ce que j'avais imaginé il y a plus d'un an (j'étais alors un complotiste) commence déjà à être évoqué dans les médias : du #PassSanitaire au #PassEnergetique (ou #PassClimatique), il n'y a qu'un pas qu'ils ne tarderont pas à franchir. Pour votre bien.
La plupart des gens n'accepteraient pas spontanément une réduction brutale de leur niveau de vie, la spoliation de leur épargne, la confiscation de leurs libertés fondamentales et les ingérences incessantes de l'État dans leur sphère privée.
C'est pour court-circuiter ces résistances qu'ils jouent constamment la carte de la peur, du chaos et de la fuite en avant. Ça s'appelle la stratégie du choc (Naomi Klein) et c'est théorisé depuis des décennies. Voilà pourquoi l'actualité vous paraît de plus en plus anxiogène.
À défaut de crises, il serait donc plus pertinent de parler d'un véritable coup d'État doublé d'un hold-up, le tout rendu possible par l'avènement des nouvelles technologies de domestication, de surveillance et de traçage (ce que Schwab appelle la "4ème révolution industrielle").
Car ces "crises" justifient toujours les mêmes réponses : 1. Restrictions des libertés individuelles 2. Effacement de la souveraineté des États au profit d'une gouvernance technocratique transnationale 3. Transfert progressive des prérogatives régaliennes du public vers le privé
C'est d'ailleurs à peu près ce qu'explique l'inénarrable Jacques Attali ici.
L'article 1 vise à sanctuariser le principe de #LibertédExpression attaqué depuis des années, mais aussi les données personnelles à l'heure des #GAFAM, de l'#IA et des #BigData. Le second point reprend la proposition de Mirabeau en vue de rétablir le #PortDarmeCitoyen en France.
L'article 2 introduit une réforme majeure avec l'adoption du principe de "Nation en armes", ou d'armée de milice, analogue à la conception suisse de la défense nationale. Il s'agit notamment d'éviter l'instrumentation de la force publique à des fins contraires à la démocratie.
🔴 [THREAD] Ce que la recrudescence des #ViolencesPolicieres et le verrouillage concomitant de nos institutions disent de l'état de notre démocratie et de nos libertés fondamentales. Ou comment la France a progressivement basculé dans un régime post-démocratique.
Une précision d'abord : nul besoin d'être de gauche pour s'indigner devant les images des #ViolencesPolicieres que nous avons vu ces derniers jours et qui rappellent celles des #GiletsJaunes. L'emploi disproportionné et injustifié de la force publique n'est jamais admissible.
Ce sujet gêne la droite française parce qu'il vient bousculer le tropisme sécuritaire de ceux qui font l'économie de questionner le rapport de plus en plus malsain et asymétrique entre l'État et les citoyens. C'est pourtant un sujet fondamental qui dit tout de la crise du régime.
1. Le monde réel, c'est pas une série Netflix : il n'y a pas les bons d'un côté, et les méchants de l'autre. Les racines du conflit #UkraineRussie sont anciennes et complexes et ne peuvent se résumer à la narration binaire qu'en font aujourd'hui les médias.
2. En déclenchant la guerre, la Russie entend porter un coup d'arrêt aux velléités d'extension de l'#OTAN en Europe de l'Est, à l'instar des USA qui n'hésitèrent pas, eux-aussi, à brandir la menace nucléaire pour empêcher l'installation de missiles soviétiques à Cuba en 1962.
3. À cela s'ajoute évidemment la question des républiques séparatistes pro-russes du #Donbass, de la Crimée, du non-respect des accords de Minsk et de la volonté de l'Ukraine de garantir sa souveraineté et son intégrité territoriale en se rapprochant de l'Occident.
Ce qu'ils appellent le #GreatReset, c'est une rupture de civilisation. Cette "nouvelle normalité" qu'ils veulent nous imposer, et dont le #PassSanitaire est la première étape, est directement inspirée des méthodes de domestication pénitentiaire issues de l'univers carcéral.
Il s'agit d'abord de généraliser le régime de la liberté conditionnelle : l'exercice de chacun de vos droits fondamentaux sera désormais conditionné par votre degré d'obéissance au système. Vos libertés les plus élémentaires seront donc modulées en fonction de votre conduite.
En pratique, il s'agit d'instaurer un système implicite de notation permettant de classer les citoyens selon leur degré d'obéissance et de conformité. Votre note détermine alors le nombre de libertés qui vous sont accordées, et qui pourront vous être retirées à tout moment.
🔴 [THREAD] De la crise sanitaire à l’état d’exception permanent : comment la France est devenue la matrice d’un nouveau totalitarisme techno-sanitaire (et pourquoi, si nous ne réagissons pas maintenant, nous n’en sortirons jamais).
Mars 2020. Souvenez-vous, tout a commencé comme ça : un spot anxiogène diffusé en boucle à la TV. Interdiction des déplacements, distanciation physique, attestation dérogatoire : au nom de la santé publique, nous étions désormais tous assignés à résidence jusqu’à nouvel ordre.
Dans son allocution, #Macron donne le ton : nous sommes en guerre. L’ennemi est invisible. Et il est partout. Un discours qui tranche avec l’attitude habituelle des autorités, qui ont plutôt tendance à minimiser les scandales sanitaires (sang contaminé, Tchernobyl, Lubrizol...).
🔴 [THREAD] #Covid19 et #GreatReset : voici pourquoi la « crise » ne fait que commencer, et pourquoi, si nous les laissons faire, nous ne serons JAMAIS déconfinés.
Les mesures de restrictions de nos libertés paraissent évidemment incompréhensibles si l’on croit que leur finalité est sanitaire. Mais quand on comprend les objectifs réels de certains lobbys, alors tout s’éclaire et ce qui semblait incohérent devient alors parfaitement logique.
La plupart des gens ne peuvent pas imaginer le degré de cynisme et de mensonge que peuvent atteindre les élites d’un système en crise : que le confinement perpétuel de nos libertés et la démolition controlée de l’économie soit un projet délibéré ne leur paraît pas concevable.