❌pas de squat ou de burpee
❌pas de programme tout fait qui ne respecterait pas le patient et sa forme le jour où il est présent
❌pas de travail à haute intensité
❌pas de test susceptible de développer des #MPE (malaises post effort) 2/
mais
❎un programme adapté au patient
❎importance du soutien psychologique
❎des attentes correctes et correspondant aux possibles
❎la tenue d'un journal de bord au début pour comprendre ce qui pour le patient engendre de la fatigue (cognitive - planification, concentration,
3/
physique - intensité, durée, sociale - ambiance, concentration, sommeil - qualité, durée).
🔹@guchriste a effectué 1 présentation du #pacing qui doit tenir compte des #MPE & insisté sur l'importance dans le cas des patients #covidlong de prendre en compte la réaction à l'effort
4
Même s'il existe du déconditionnement, il ne faut pas forcer sur l'exercice demandé aux patients.
L'activité physique, mal dosée, peut créer plus de symptômes et aggraver l'état général des patients. Il est donc fondamental d'éviter de forcer #STOP, de se reposer #REST et de
5/
pratiquer le #PACING qu'on peut diviser en 5 étapes :
1⃣ identifier la quantité d'énergie disponible et le comportement face à l'activité en fonction des variations du potentiel d'énergie qui n'est pas constant (cf. les dangers du #boomandbust)
2⃣ régulariser les activités
6/
en fonction de la réserve d'énergie (planifier en évitant les pics d'activités et en répartissant bien les activités sur plusieurs jours)
3⃣ le #pacing : planifier les activités, fractionnées, en insérant des pauses, respectant les limites du moment, priorisant en intégrant la
7/
notion de plaisir.
Le contrôle de la fréquence cardiaque (FC) peut être aidant.
4⃣ augmenter le nombre d'activités de façon très douce (+ 10 % max par semaine, toujours en fonction de la réserve d'énergie, sans provoquer de #MPE, sans essoufflement ...)
8/
5⃣ augmenter l'intensité ((+ 10 % max par semaine, toujours en fonction de la réserve d'énergie, progression individualisée en fonction des symptômes de la personne) tout en continuant sur la régularité et le pacing
9/
🔹@MatSaubade intervient enfin sur la #dysautonomie post covid :
➡️ses symptômes,
➡️les moyens de la rééduquer et notamment les activités à visée parasympathique (puisque dans 80% des cas un manque de stimulation parasympathique est noté)
10/
Il présente également la prise en charge non médicamenteuse du syndrome de tachycardie orthostatique posturale #STOP (OU #POST en anglais) qui concerne une partie des patients CL.
#covid19
Alors que @RMCInfo nous informait que le @gouvernementFR a de nouveau saisi le #COVARS concernant l'#obligation du port des #masques, j'ai réagi en posant la rhétorique question "Mais qui sont tous ces gens qui posent qu'on nous en demande déjà beaucoup et que le 1/
masque, vraiment, ça serait trop ?", l'illustration choisie synthétisant mon avis sur la question : des privilégiés - même si remplir son caddy et se chauffer est / ou va devenir difficile (j'ajouterai une note sur les plus fragiles d'entre nous en toute fin de développement - 2/
car cela appelle tout de même un corollaire à l'obligation qu'elle soit accessible à tous).
Le refus du port du masque
🔲 "parce que je paye des impôts",
🔲 "parce que j'suis pas fragile",
🔲 "parce que j'fais ce que je veux car je suis libre',
🔲"car ça ne sert à rien
3/
Basés sur 2 cohortes de 20.881 et 13.724 patients (resp. cohortes de développement et de validation) et l'analyse de 137 symptômes elle met en exergue la répartition suivante :
1⃣ 33.75% & 25.43%
2⃣32.75% & 38.48%
3⃣ 37% and 23.35%
4⃣10.14% & 12.74% des patients respectivement 2/
L'idée sous-jacente, d'ailleurs exprimée dans l'étude, est que "ces sous-phénotypes permettraient de mieux cerner l'hétérogénéité de ces pathologies et de fournir des indications sur la prise en charge des patients dans la pratique."
Quelques limites sont mises en exergue :
3/
même dynamique que celle qui a présidé à la transformation du #conseilscientifique en #COVARS que la #crise est peut être moins aiguë qu'elle je le fut, parce que nous disposons dans l'absolue des capacités de nous protéger si nous le voulions, mais que la #pandémie n'est pas
2/
finie et que le nombre de décès quotidien (🖤 @CoeurVide19) et le nombre croissant de personnes invalidées par les #séquelles qu'il nous fait toujours approximer comme s'efforce de le faire @SantePubliqueFr par des enquêtes dont elle extrapole les chiffres pose problème pour
3/
Comme le souligne @EricTopol, "la vaccination des enfants [et des adolescents, âgés de 3 à 17 ans] est une mesure de santé publique importante qui permettra de prévenir la mortalité dans cette population, notamment en période de forte circulation virale."
2/
Cf. l'étude appariée menée sur près de 140.000 personnes ⤵️ bmj.com/content/379/bm…
Alors que le dernier décompte que j'ai vu évoquait 99 décès d'enfants en 2022 (chiffres arrêtés au 18/11/2022), et malgré l'opposition farouche d'associations qui font du lobbying jusque dans les
Nous sommes tous, au-delà des #vulnérables qui risquent la mort (les facteurs de risques sont des comorbidités) à risques de séquelles parfois très invalidantes & cela tant que les chercheurs n'auront pas établi l'intégralité des caractères protecteurs ou favorisant le #covidlong
Il est donc important de :
🔹dire qu'il est fortement recommandé de porter le masque
🔹de le porter quand on est en position de responsabilité pour donner l'exemple
Merci en particulier aux autorités, aux hauts fonctionnaires et aux parlementaires d'être de ceux qui vont mettre
de prendre des décisions éclairées concernant le fait de suivre - ou pas, les recommandations des autorités et notamment, pour les dernières en date, celle de notre chef du @gouvernementFR@Elisabeth_Borne.
1️⃣ #commedhabitude 🎶 le sujet du #covidlong est absent, ce qui génère
2/
des effets de bord assez fâcheux pour la suite du raisonnement de Mme Crémieu, car l'invisibilisation des #handicaps laissés par les #séquelles post-infecteuses de patients qui n'étaient pas porteurs de #comorbidités et donc pas #àrisques, doit amener à réfléchir sur qui est 3/