Premièrement, et comme développé dans ma première partie, la robustesse du calcul de l’inflation est mauvaise. Comment discuter d’un sujet qu’on ne peut même pas réellement quantifier ?
J’avais donc commencé à écrire un thread en me faisant l’avocat du diable, partant du principe que l’inflation serait une chance. Vaste sujet. Mon premier angle d’attaque prévu était la robustesse de son calcul.
"Bank runs, deposit insurance and liquidity" a été écrit en 1983 par deux doctorants en économie : Diamond et Dybvig. Il deviendra un article référence dans le domaine des faillites bancaires et des crises de liquidités. 
Quoi de plus intéressant que de creuser toujours un peu plus autour d’el famoso #Satoshi Nakamoto ? Ici, la problématique est la suivante : Est-ce que ce monsieur minait de la même manière que tout le monde au moment de la genèse de Bitcoin ?
L’histoire de redressement la plus méconnue concerne le citrate de sildénafil. Il s’agit d’un inhibiteur de la PDE5. C’est dit. 
Pour comprendre le sujet, essayons de faire un parallèle. Prenons un groupe de 10 personnes qui ne se connaissent pas. Admettons que ces personnes décident de créer un business ensemble.
L’analyse technique, c’est étudier les cours d’actifs dans le but de pouvoir anticiper les variations de ces derniers. Grâce à des indicateurs et des représentations graphiques, on va ainsi essayer de déterminer des probabilités de scénarios ou de volatilité. 
Le BMC est une organisation créée à l’initiative de @saylor (le célébrissime CEO de MicroStrategy) dans une volonté de transparence, de partage de bonnes pratiques et d’éducation autour du domaine.
Premier point à clarifier, on va distinguer ici CeFi et DeFi. La Cefi (finance centralisée) n’a rien de nouveau : vous confiez votre argent à une plateforme ou un service et en échange, on nous propose un minimum de rendement.
L’être humain à tendance à se focaliser sur les personnes qui réussissent. Malheureusement, cette fascination entraîne des conclusions erronées et pousse les gens à surestimer leurs propres chances de succès. 
Tout commence dans les années 1940. William Shockley co-invente le premier transistor, composant essentiel aux processeurs informatiques notamment. Le mec est décrit par ses pairs comme brillant mais autoritaire, parano et mégalomane. 
Digne d’une des meilleures tragédies grecques (au moins), cette histoire reste malgré tout méconnue, surtout pour les nouveaux dans le milieu. L’épopée commence à Dijon, avec un jeune nommé Mark Karpelès, mi-geek, mi-génie, passionné d’informatique.
