2/ L'épidémiologiste 🇺🇸 Shanna Swan a alerté sur la 📉de la numération des spermatozoïdes depuis 1973. Selon elle, divers polluants environnementaux utilisés dans la fabrication de produits de tous les jours sont en cause: phtalates, bisphénol A, plastiques et PFAS. #fertility
3/ Elle ajoute que ces produits chimiques réduiraient la taille du pénis.
Or "le lien de causalité est loin d’être établi": corrélation n'est pas causalité (cum hoc ergo NON propter hoc).
4/ "De nombreuses études menées dans différentes parties du monde montrent une diminution des spermatozoïdes, ce qui est préoccupant, mais nous ne comprenons pas vraiment ce qui en est la cause". #pastresrassurant
5/ 🪤🖱️ En revanche, "les allégations de réduction de la taille du pénis sont manifestement des pièges à clics".
6/ La taille des organes génitaux est déterminée avant la naissance, c'est donc éventuellement l’environnement pendant la grossesse de la mère qui pourrait être significatif pour la taille du pénis.
Attention, ça va encore être la faute de la mère!
7/ Lors de notre échange sur Néolithique et Anthropocène, @JPDemoule a rappelé que la taille du pénis d'homo sapiens est supérieure au strict nécessaire pour la reproduction, l'évolution ayant sélectionné un "avantage reproductif" #yadelamarge sondekla.com/user/event/117…
Si avec ce #Thread, je n'atteins pas les 10k followers, c'est que je ne comprends rien aux rouages de la communication🤪
🏹3è épisode du cours public "De l'extractivisme au métabolisme urbain" @MichelLussault: Anthrome, une traversée de l'histoire humaine.
Extraction, transformation, subsistance, déforestation depuis l'aube du Néolithique
Résumé🧵1/ @EcoleUrbaine
2/ La subsistance est au centre des préoccupations et des rapports de/au pouvoir. La question anthropocène peut se formuler en spirale relationnelle de production de la subsistance, càd de production des ressources à partir de matériaux
3/ L’espèce humaine est spatiogénique: l’espace de l’espèce humaine (écoumène) n’est pas un espace naturel, c’est par définition un espace anthropisé donc artificiel.
❤️Un véritable florilège des pensées urbaines concentrées en un article: @MichelLussault Thierry Paquot, Jean-Marc Offner, Ariella Masboungi & @lblepage
De quelle manière cette épidémie pousse les villes à se réinventer? 🧵1/ @EcoleUrbaine
2/ Une autre histoire de la sécularisation, "ds laquelle la proclamation d’un monde sans Dieu est le fruit d’une "impérialité" hantant l’Europe et ses colonies depuis l’échec de la réunification de l’Empire chrétien par Charles Quint".
3/ "En l’absence d’un Royaume de l’au-delà, la Terre devient le seul monde "sacré", et l’exploitation de ses sols et sous-sols la source unique de la légitimité de l’Empire.
2/ 🌑💫"Du fait des limites physiques liées à la gravitation et à l’énergie, le coût de ces activités dans l’espace extra-terrestre est extrêmement élevé, ce qui limite leur viabilité".
3/ 🌊L’exploitation des fonds marins, qui abritent des écosystèmes encore peu connus, inquiète. L’instance de régulation, "l’Autorité internationale des fonds marins (ISA) planche depuis plusieurs années sur l’élaboration d’un futur code minier".
2/🌏#Earth is surrounded by a constellation of tens of thousands of #satellites in orbit, but also of billions of #spacejunk of more or less large size, fragments coming from rockets or satellites, travelling at a very high speed: important risks of #collision.
3/💥#Kessler syndrome: we are rapidly moving towards a tipping point where the volume of space debris in low orbit is such that collisions are frequent, generate other debris and exponentially increase the probability of collisions.
2/ 🌏La #Terre est entourée d'une constellation de 10n de milliers de #satellites mis en orbite, mais aussi de milliards de #DechetsSpatiaux de taille +ou- grande, des fragments issus de fusées ou de satellites, évoluant à une vitesse très élevée: importants risques de #collision
3/ 💥Syndrome de #Kessler: nous nous dirigeons rapidement vers un seuil critique où le volume des débris spatiaux en orbite basse est tel que les collisions sont fréquentes, génèrent d'autres débris et augmentent de façon exponentielle la probabilité de collisions.