Un millier de personnes manifeste dans les rues de #Nantes, actuellement rue du calvaire : l'un des seuls slogans est "liberté", beaucoup de monde aimerait approfondir les revendications, jusqu'ici limitées au #PassSanitaire
Dans les rues de Bouffay à #Nantes, après quelques slogans #GiletsJaunes, "Liberté" est redevenu le tube de l'été.
Arrivé place du Bouffay, le cortège est très étalé à #Nantes.
Énormément de monde qui se rassemble devant le CHU de #Nantes, en soutien aux soignant-es.
#14Juillet c'est la révolution !
"Contre la dictature", ça bouge à la préfecture...
La police mutilé, la police assassine
Les policiers se font invectiver, pas de lance à eau pour l'instant pourtant il fait chaud !
La police n'aime pas qu'on ouvre sa palissade visiblement... #nantes
Le cortège stagne devant la préfecture, les rangs avaient grossi jusqu'à 3000 personnes mais sans trop d'objectif. Alors ça tape sur la palissade 😁
Après pas mal de tergiversations, un cortège de quelques centaines de personnes repart rue de Strasbourg, ça parle d'aller à la mairie. Pour le live c'est fini, on vous racontera la fin dans un article !
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Dans cette période troublée par la pandémie et l’autoritarisme, la confusion politique et le complotisme, quelques pistes de réflexion pour combattre le gouvernement :
➡ Être vacciné-e ne signifie pas soutenir le gouvernement, ne pas être vacciné-e ne signifie pas être antivax. Ça paraît bête à dire, mais les clivages sont parfois tellement figés, et les arguments tellement pauvres, qu’il paraît important de partir de là :
sans un minimum de nuance et d’analyse politique, on vire dans une guerre de tranchées souvent stérile dont le seul vainqueur ne peut qu’être le gouvernement.
➡️ À quelques kilomètres de la ville de Saint-Nazaire sur l'estuaire de la Loire, l'entreprise Yara qui supporte l'agriculture ultra-productiviste, fabrique des engrais azotés, dont l'usage massif pollue durablement les sols.
Elle fait partie d'une liste de 13 sites industriels en France qui «font l’objet d’incidents ou de non-conformités récurrentes».
Novembre 2015 en France, une vague d'attentats de DAESH tue des dizaines de personnes à Paris. Ce crime de masse épouvantable est immédiatement utilisé par le gouvernement pour réduire drastiquement les libertés.
L’état d'urgence est décrété, des centaines de personnes sont perquisitionnées, la plupart musulmanes, et des dizaines de militants écologistes sont assignés à résidence. L'antiterrorisme est immédiatement utilisé contre des opposants politiques et des minorités religieuses.
Lundi soir, #Macron lançait une nouvelle vague d'annonces autoritaires affolantes : un traçage général de la population, des atteintes graves au droit du travail au nom du #VaccinObligatoire, des menaces contre les soignant-es et
la création de plusieurs catégories de citoyen-nes, en plus de reculs sociaux majeurs sur les retraites, le tout sur fond d’état d'urgence sanitaire.
➡️ Claude d’Harcourt est un énarque issu de l'aristocratie, qui a notamment contribué à abîmer l’hôpital public à #Marseille avant de débarquer à #Nantes en novembre 2018.
Dès son arrivée, il s'illustre par une extrême brutalité en réprimant avec férocité le moindre rassemblement, en organisant des nasses, des charges et des tirs de munitions contre tout ce qui bouge dans la ville.