Points intéressants = l'ivermectine: (je résume et traduit)
-on accusait les détracteurs de cacher la vérité d'un traitement sûr et efficace à la demande des grandes sociétés pharmaceutiques ou de l'État profond.
- L'ivermectine est un agent antiparasitaire (gale, filariose)
- L'ivermectine se lie à certains canaux chlorure sur les cellules nerveuses et musculaires, paralysant l'organisme qui y est exposé. Ces canaux sont présents dans les systèmes nerveux des vers et des insectes.
- Les humains ont aussi les canaux, mais seulement dans notre cerveau et notre colonne vertébrale. Puisque l'ivermectine ne peut pas traverser la barrière hémato-encéphalique, nous sommes épargnés par ses effets.
- Une grande partie de l'enthousiasme vient de cette étude montrant que le mé
dicament peut avoir des propriétés antivirales en affectant une protéine appelée importine que beaucoup de virus détournent pour leurs propres usages néfastes. sciencedirect.com/science/articl…
- Les chercheurs ont infecté une culture cellulaire avec le SRAS-CoV-2 et ajouté des concentrations d'ivermectine. Ils ont ensuite mesuré la réplication virale et découvert que le médicament – au moins dans une boîte de Pétri – pouvait considérablement inhiber la reproduction.
- Mais il y a un problème. La concentration inhibitrice du médicament, d'environ 2,5 micromolaires, n'est pas réalisable chez les humains. En fait, le dosage standard d'ivermectine atteint des concentrations d'environ 25 nanomolaires, 100 fois moins que ce qui était nécessaire
- Les concentrations pulmonaires sont un peu plus élevées que les concentrations sanguines mais toujours 50 fois inférieures à ce qui est nécessaire pour inhiber le virus dans les cellules en culture.
Donc, si l'ivermectine doit fonctionner chez les humains atteints de COVID-19, cela doit être via un autre mécanisme – anti-inflammatoire ou quelque chose du genre.
Dans une autre analyse, les auteurs ont combiné les données de 24 essais randomisés sur l'ivermectine - un total de 3328 patients - pour examiner une variété de résultats allant de la résolution des symptômes au décès. academic.oup.com/ofid/advance-a…
- Onze essais portant sur environ 2000 patients au total disposaient de données sur les décès. Leur combinaison a donné un taux de mortalité de 3 % dans le bras ivermectine et de 8,7 % dans le bras comparateur, un résultat statistiquement significatif.
Mais il y a un petit problème ici.
N'oubliez pas que les données que vous obtenez d'une méta-analyse sont aussi bonnes que les données que vous y introduisez. Et il y a certaines choses à critiquer à propos de ces données.
Premièrement, l'inclusion d'études entièrement non publiées est vraiment problématique, car il n'y a aucun moyen pour quiconque de vérifier les résultats.
Certaines de ces études ne seront probablement jamais publiées, et pas parce que les forces obscures conspirent contre l'ivermectine ; ils ont juste de vrais problèmes.
Une étude qui détermine le bénéfice de mortalité est celle-ci , en Iran, hébergée sur un serveur de préimpression. researchsquare.com/article/rs-109…
Il s'agit d'un essai randomisé portant sur des patients hospitalisés avec COVID-19. Mais c'est bizarre. Selon le tableau 1, 29% d'entre eux étaient PCR-négatifs. ce pourcentage est beaucoup plus élevé dans les deux groupes témoins (47%) par rapport aux groupes ivermectine (20%)!
Les calculs suggèrent qu'un tel écart ne se produirait que 2 fois sur 10 000 si la randomisation était, eh bien, aléatoire.
L'autre essai qui semble conduire à ces résultats, également pas encore évalué par des pairs, est l' essai Elgazzar d'Égypte. researchsquare.com/article/rs-100…
Ici, l'ivermectine a été comparée à l'hydroxychloroquine chez 400 personnes atteintes de COVID-19. Les résultats ont été assez frappants, en termes de décès. Dans le groupe modérément malade, il n'y a eu aucun décès dans le groupe ivermectine,
quatre dans le groupe hydroxychloroquine. Dans le groupe gravement malade, deux décès dans le groupe ivermectine, 20 dans le groupe hydroxychloroquine.
Maintenant, vous remarquerez que l'hydroxychloroquine n'est pas un placebo, il y a donc une chance que ce que nous voyons soit un signe que l'hydroxychloroquine est mauvaise, pas que l'ivermectine est bonne.
Mais, inspiré par le journal iranien , je suis allé de l'avant et j'ai de nouveau regardé le tableau 1. Il y avait plusieurs déséquilibres statistiquement significatifs entre les caractéristiques de base.
Ça veut pas dire que l'ivermectine n'est pas utile. Ce que cela signifie, c'est que nous ne savons toujours pas. Nous n'avons pas de preuves à toute épreuve.
Mais qu'est-ce qu'on fait jusque-là ?
Eh bien, la réponse facile est de simplement couper le nœud et de se faire vacciner ; alors vous n'aurez même pas besoin d'ivermectine.
Tous ces chercheurs devraient, dans l'intérêt de la santé publique, publier non seulement leurs résultats, mais aussi leurs ensembles de données analytiques dans un format anonymisé sur un site comme datadryad.org afin que la communauté puisse les examiner directement.
من غير ما نتعمق برشة في تفاصيل تلقيح الأطفال ضد الكورونا. برشة بلدان تخمم برشة و تشك قبل ما تاخذ القرار هذا. فما برشة اعتبارات ايتيقية و علمية لازم تتناقش قبل و كل بلاد عندها اعتباراتها الخاصة المجتمعية و الديموغرافية.
أما ألي متأكد منو و ألي نجمو نعملوه بسرعة و من غير نقاشات كبيرة هو تلقيح المحيطين بالأطفال: ألي يخدموا في المحاضن، المعلمين، الأباء و الأمهات ...
نعطيكم مثال: تلقيح السعال الديكي ما يتعطاش للصغار قبل الشهرين و نشوفو كل عام حالات خطيرة من المرض هذا عند ألي عمرهم من 0 إلى 60 يوم. كيفاش لقاو حل لحمايتهم؟ تلقيح جميع المحيطين بالصغار ألي عرضة لحالات الخطيرة للسعال الديكي، هكا ينقص إنتقال العدوى للصغار بخلق "حلقة حماية" للرضيع.
Je disais hier que c'est inutile de prédire une énième vague de la pandémie #Covid_19 car les risques existent toujours et les moyens de prévention sont connu. Je partage un #Thread copié d'un article de @business qui explique bien la situation.
Titre:
"Voici la quatrième vague (ou pas)
Bien qu'il y ait un désaccord sur le retour de Covid, c'est le bon moment pour concentrer le message sur ce qui est connu – et inconnu – sur les risques."
Les prédictions sont devenues un test de Rorschach où les gens peuvent trouver le malheur, l'espoir ou le réconfort. Mais ce qui devient clair, c'est que les responsables de la santé publique ne savent pas vraiment pourquoi cette pandémie monte ici et tombe là.
Reportage du Journal le monde paru aujourd'hui sur #COVID19france à l'hopitâl Bichat Extraits
" Quatre des cinq patients dont elle s’occupe – dont un père de famille de 43 ans endormi près de la photo de ses enfants – sont sous ECMO: du jamais vu depuis le début de l’épidémie."
« Une de ses collègues, malade, est venue travailler au lieu de s’isoler », raconte-t-il encore essoufflé, regrettant que certains « jouent ainsi avec la vie des gens »
« On ne sent pas qu’on s’éteint. C’est ce qui fait que la maladie est aussi dangereuse »
"Chaque mois, entre 100 et 110 décès sont enregistrés contre 70 à 80 auparavant."
"Il n’est « pas possible » d’aller au delà de ces quatre lits supplémentaires, sauf à faire une croix sur les cancers et les urgences. "
Faits importants concernant les vaccins (après avoir assister à un webinar grâce à Dr samar samoud) 1- Les essais cliniques concernant les vaccins du #SARS_CoV_2 ont été fait dans les règles de l'art, c'est le chevauchement entre les phases qui a permis de raccourcir la durée
2-Une prise de risque financière a été prise par les labo, ce chevauchement entre les phases ne leur profite pas financièrement; des autorisations d'urgence non définitive peuvent leur coûter d'énormes pertes si le vaccin ne donne pas les résultats attendus.
3-Le vaccin intramusculaire protège les voies respiratoires inférieurs (poumons) càd le vaccin protège la personne mais pas l'infection
Il s'agit d'une immunité non stérilisante.
Par contre il existe des essais de vaccins intranasaux qui aident à créer une immunité stérilisante
Suite du Thread précédant:
Une menace imminente ou des signaux évoquant la mortalité favorisent la génération de croyances protectrices. Ce mouvement s’accompagne souvent d’une valorisation des croyances patriotiques, nationalistes, et à un renforcement des pratiques religieuses
Au cours des prochains mois, l’humanité restera confrontée aveccette nouvelle source de terreur que représente la pandémie. Cestravaux suggèrent que la crise du coronavirus pourrait entraîner desbouleversements dans les croyances individuelles et collectives.
Elle pourrait provoquer une forme de transvaluation de la manière dont nous comprenons notre singularité et la structure de notre environnement, favorisant le renforcement de certains schémas de croyances.
Extraits d'un article: #Thread
"Dans les prémisses de l’épidémie plusieurs recherches ont souligné un retard dans la perception du risque, tant au niveau individuel que sociétal. Elles objectivaient alors un optimisme irréaliste de nombreux individus face à la menace croissante
estimant qu’ils ne couraient pas le risque d’être contaminés malgré l’accumulation croissante de preuves....
Après un temps initial de banalisation du risque associé au Covid-19, souvent comparé à celui de la grippe saisonnière,
les médias ont massivement diffusé un flux d’information faisant état du nombre quotidien de décès, des déficiences sanitaires, et de l’instabilité économique. Le confinement de 3 milliards d’individus à travers le monde,